MON NEKO ( Drarry)

LE BERCAIL

À 6830 kilomètres de Londres,un jeune homme brun à la chevelure en bataille à force de fourrager dedans regagné son domicile à New-York. Les yeux vissés sur l'écran de son portable, lisant un énième message de sa mère, la seule sorcière qui aimait utilisé la technologie moldu. Dès que la porte fut fermée, Harry suspendit son manteau noir à la patère et longea le couloir jusqu'au salon.

L'endroit était chaleureux et joliment décoré, un feu ronflait dans la cheminée et un éclairage doux donnait à la pièce un caractère cosy.

- Harry ? Déjà là mais je croyais que tes collègues allé te retenir plus longtemps.

- Salut Ron! C'est ce qui était prévu mais dès que j'ai informé ma mère de la fin de mon stage et que je rentrais au bercail. Mon téléphone n'a plus cessé de sonner donc plus moyen de discuter avec les autres.

- Désolé vieux,rigola le rouquin. Mais fallait t'y attendre avec son caractère.

- Ouais, je l'avais oublié. Et toi? Tu as survécu aux adieux avec ton professeur ?

- Pitié Harry,m'en parle pas. Dit-il en allant s'effondrer sur un fauteuil. Lorsque Ron avait fini ses études à Poudlard,tout le monde s'attendait à le voir épouser Hermione et finir gardien pour une équipe de Quiddich .
Malheureusement,il ne réalisa ni l'un,ni l'autre. D'abord ses chaleurs ,lui  firent s'éprendre d'un beau garçon au teint mat puis il trouva sa vocation dans les potions.
Sachant que personnes ne le comprendrez,il garda le tout secret mais tenta de séduire tout de même sa moitié sauf que celui-ci ne saisissez rien dans ces tentatives d'approche.

Tout cela demeura discret pour tout le monde sauf pour notre miss-je-sais-tout qui compris la situation et en a fait une grosse crise d'hystérie. Ameutant toute la fratrie Weasley sur la conduite honteuse de leur avant dernier. Accablé de toute part,il trouva un soutien chez son seul ami qui ne le jugez pas et l'invita même à le rejoindre aux États-Unis.
Là où, Harry lui décrocha une formation en potion avec un maître dans l'art sauf que celui-ci tenta pendant trois ans de caser le Neko roux avec sa fille mais sans succès.

De plus le ministère américain harcela presque le pauvre Weasley a devenir un de leurs citoyens. Vraiment comment les en vouloir à chercher de gagné un autre Neko sur leur sol ?

- Ne me dis pas qu'il a encore tenté quelques choses avec sa fille ?

- Harry mon pote, c'était affreux. Elle n'arrêtait pas de se coller à moi avec sa poitrine et me griffer avec ses ongles manucurés. À la fin elle a même essayé de m'embrasser,dit-il d'un air horrifié.

- À ce point là ? rétorqua le brun alors qu'il venait s'asseoir sur l'accoudoir du fauteuil et prenez son ami dans ses bras. Ils sont vraiment obsédés à l'idée de s'unir avec un Neko. Mais ce n'est pas si grave puisque tu y as survécu mon Ronny.

- Au fait,je ne te l'ai pas dit mais on m'a offert un Manoir si j'accepte de rester sur le sol américain.

- Tu n'est pas obligé de tout refuser Ron.

- Ah non,tu n'es pas sérieux ? Si tu pars alors je le ferai aussi. sans toi,je ne pourrai tenir longtemps, me laisses pas seul encore une fois. Je te promets d'être fort de plus il doit déjà être marié aujourd'hui et je n'aurai qu'à contenir mon chagrin.

Harry fixa longtemps la mine triste de son ami et le serra fort dans ses bras. Il lui embrassa le front recouvert des boucles rousses puis pris une décision.

- D'accord,on restera ensemble. Je préviens ma mère que je rentre avec mon ami. Le rouquin lui adressa un sourire rassuré et replongea dans l'étreinte chaude de son ami.
Mais par contre j'ai une condition, ajouta-t-il. Tu iras travaillé dans son entreprise. Ron le regarda avec étonnement. Fais pas cette tête,le croiser de temps en temps te fera du bien alors accepte au moins ça si tu ne peux pas être avec lui. Et puis j'ai entendu dire que le professeur Snape trouve leur travail acceptable et tu sais combien c'est difficile de tirer ce genre de compliments à ce batard. Puis il vient parfois travailler dans leurs locaux.

Voyant l'intérêt dans les yeux du rouquin , Harry se félicita d'avoir utilisé ce point en dernier recours. Malgré que leur professeur, leur a fait vivre un enfer à l'école. Ils ne pouvaient nier que cet homme était un génie en potion tout de même.

- Humm... D'accord,tu as gagné. On part quand ?

- Demain soir, on ira prendre notre porte au loin et retour à la maison.

Ce soir-là,ils parlèrent et rièrent longtemps. Se remémorant le passé , planifiant quelques activités et se couchèrent chacun avec une certaine appréhension pour l'un concernant un certain blond et l'autre concernant sa famille.

                  .                                         

Lily Potter, une femme qui retenait l'attention avec ses longs cheveux roux et surtout son regard transperçant d'un vert des plus pur presque fluorescent caché en partie par une frange effilée.
Était heureuse aujourd'hui,enfin après presque cinq ans d'absence son enfant,son fils unique.
Harry était rentré à la maison,le jeune homme était arrivé la veille en compagnie de Ronald son meilleur ami,un Neko de la famille Weasley.

Lily avait fréquemment effectuer des déplacements à New-York pour y voir son enfant mais le savoir enfin définitivement de retour chez eux,la comblait de joie. Il n'était plus le jeune homme d'à peine 17 ans qui avait subitement décider de quitter le logis familial afin de poursuivre des études et formations à l'étranger.
Âgé à présent de 22 ans , c'était un véritable homme au charme rayonnant et à la tête bien faite. Plus mature, plus serein,plus calme et réfléchi. Le Harry Potter d'aujourd'hui n'avait plus grand chose à avoir avec celui d'autrefois.
Les années avaient fait leur œuvre et même s'il n'avait rien perdu de la joie de vivre qui le caractérisait tant quand il était petit garçon,il était dorénavant beaucoup plus posé et ses émotions se lisaient moins sur son visage.

C'est donc dans cette attitude qu'elle prit la cheminée pour aller vers la demeure de sa meilleure amie afin de lui faire part de son bonheur.
La rousse fut accueilli par une belle femme aux cheveux aussi brillant que le soleil,aux yeux aussi profond que l'océan et à la magnifique peau aussi blanche que les premières neiges.
Connaissant le caractère tactile de son amie, Lucrezia ne fut pas étonnée quand Lily se Jetta à son cou pour lui faire la bise en signe de salutation.

Elles s'installèrent dans un jolie salon au ton rose et blanc où le thé leur fit servit. Et Lily se lança dans un long babil pour lui raconter la soirée de la veille.

- Veut-il toujours devenir Auror, comme l'a été son père ? Questionna Lucrezia en servant de nouveau une tasse de thé à la rouquine aux yeux verts qui souriait de toutes ses dents.
Inconsciente que par sa faute la situation allait bientôt s'empirer dans la maison de son amie.

À suivre...