• 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐍𝐄𝐔𝐅 | 𝒘𝒉𝒆𝒓𝒆 𝒎𝒚 𝒅𝒆𝒎𝒐𝒏𝒔 𝒉𝒊𝒅𝒆 •

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Surpriseeeee !!!! (Ce n'est pas une surprise pour celles et ceux qui me suivent sur insta lol)

Bon ce n'était pas prévu mais je me suis dit qu'il fallait que je me rattrape pour les semaines où je n'ai pas posté !! 😩🤚

Sooooo, here we go !! Ce chapitre, c'est le chapitre huit mais du point de vue d'Archibald !!!!!

Je ne vous embête pas plus, on se retrouve à la fin du chapitre !

Bonne lecture,







💍



where my demons hide



CHAPITRE NEUF














ARCHIBALD



Je déteste les hôpitaux.

Cet endroit est bourré de parasites en tout genre que ça ne m'étonnerait pas qu'il y ait, un jour, une épidémie à cause d'une quelconque infection nosocomiale.

Les mains dans les poches de mon pantalon, bleu marine, je scrute les gens qui vont et viennent.

Un couple dont la femme est enceinte jusqu'aux dents, certains avec des cadeaux pleins les bras, d'autre n'ayant que des mouchoirs pour pleurer leur proche, probablement décédé ou dans un état critique. Des médecins, des infirmières qui courent partout, allant d'un point A à un point B.

Qu'est-ce que je déteste les hôpitaux.

Posté près de l'accueil, j'attends Ariel. Elle m'a contacté pour parler de notre futur mariage autour d'un déjeuné.

Je jette un coup d'œil à ma montre et note qu'elle met du temps à arriver. C'est possible d'être en retard même quand on a rendez-vous dans un même endroit ?

Sacré femme.

N'empêche, je déteste les retards alors elle a intérêt à se dépêcher si elle ne veut pas que je m'en aille et que je m'occupe de ce stupide mariage moi-même.

Si ça ne tenait qu'à moi, je ne ferais aucune cérémonie, aucune fête, ou que sais-je. J'irais à la mairie et on signerait les documents qui attesteront que nous sommes mari et femme et puis basta.

Une cérémonie..quelle ironie.

Ariel et moi, nous nous marions même pas par amour. Je ne vois, franchement, pas l'intérêt de fêter un mariage dépourvu de sentiments.

Les apparences.

Ouais, c'est ça. C'est juste pour sauver les apparences.

Mon regard divague à travers cet énorme hall et s'arrête sur elle. Ariel.

Je fronce les sourcils. Quelque chose ne va pas chez elle.

Elle a bu ou quoi ?

Elle peine à marcher tout droit. Je m'avance vers elle et remarque son visage qui devient pâle. J'accélère le pas dans sa direction mais elle s'arrête, brutalement.

— Ariel !

Je parviens à l'atteindre avant que son corps ne touche le sol et la serre contre moi. Rapidement une foule se forme autour de nous et ça m'oppresse.

— Bougez de là ! Appelez un médecin ! Je hurle.

Je tente de tapoter, doucement, sa joue mais elle est déjà partie. Elle s'est évanouie.

𝐅𝐀𝐋𝐋𝐄𝐍 𝐁𝐑𝐈𝐃𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant