𝗜𝗜 : 𝗢𝗖𝗘𝗔𝗡 𝗘𝗬𝗘𝗦

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𝗖𝗛𝗔𝗣𝗧𝗘𝗥 002 : 𝗢𝗖𝗘𝗔𝗡 𝗘𝗬𝗘𝗦

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𝗖𝗛𝗔𝗣𝗧𝗘𝗥 002 : 𝗢𝗖𝗘𝗔𝗡 𝗘𝗬𝗘𝗦

2 novembre 2023 :


Théo Becker

00H58 - PARIS
(Jardin du foyer de Théo) :

J'enjambe le mur qui sépare la rue du jardin de mon lieu de vie, et retombe sur mes deux pieds dans le trampoline que j'ai placer exprès quand je rentre à des heures tardives.

Genre trois heures du matin, comme en ce moment même.

Vas-y Théo, rappelle toi bien que tu as une chance sure deux de dormir dehors en fonction du sommeil des autres.

Théodore arrive quelques secondes après moi, et rebondit également sur le trampoline. Une fois avoir rebondit deux-trois fois sur celui-ci, je descend par l'echelle pendant que mon meilleur pote fais un salto avant. Il se casse la gueule sur l'herbe, je pars en fou rire.

– On sous-estime les saltos après plusieurs verres de vodka.

Il se relève sous mon rire encore présent, et nous traversons la pelouse verte parfaitement tondue. Une fois devant la fenêtre de ma chambre qui se trouve à l'étage, j'attrape une poignée de graviers, et lance toutes les pierres sur la fenêtre. Je dois attendre une quinzaine de secondes avant que Linda n'apparaisse par la fenêtre.

– Bordel vous avez de la chance que je sois encore réveillée. A deux doigts de dormir dehors bande de bouffons !

– My bad ! Répond Théodore en levant les bras, réutilisant la rèf qu'il a inventer il y a quelques mois.

J'éclate de rire pendant que ma colocataire lève les yeux au ciel. Linda est comme ca. Toujours à nous faire la morale, toujours aigrie, ne fais jamais de blague.

Ouais elle est casse-couilles quoi.

Surprotectrice est le bon mot.

– Encore les gangs ? Demande-t-elle en s'adossant à la fenêtre, bien décider a nous faire galérer dans la nuit et le froid.

– Ouais, on a eus un... (il me regarde du coin de l'œil, et je l'invite a continuer de parler d'un hochement de tête) Imprévu.

C'est surtout qu'on est aller se bourrer la gueule dans un bar et que ça s'est éternisé.

Et, j'avoue, on s'est tappés. Heureusement que la nuit ne laisse pas voire les hématomes sur sa gueule.

Elle hoche la tête, et sa chevelure décolorée disparait de notre vue pour réapparaître quelques secondes plus tard avec un drap de lit, qu'elle attache à la barre du rideau au dessus d'elle avant de nous le lancer.

J'empoigne la corde de fortune, et l'enroule autour de mon poignet pour ne pas me casser la gueule si je lâche tout. Je commence à monter en m'aidant du mur beige de la bâtisse, Théodore est juste derrière moi, il éprouve un peux plus de difficultés.

Entre-Deux [JOYSTU]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant