Chapitre 11 : L'épidémie - Partie 3

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     Lorsque la terre ferme apparait au loin on ne peut se retenir de crier de joie, cela doit faire approximativement sept heures que nous sommes partis de l'île et on arrive enfin à destination

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     Lorsque la terre ferme apparait au loin on ne peut se retenir de crier de joie, cela doit faire approximativement sept heures que nous sommes partis de l'île et on arrive enfin à destination.

     Après avoir attaché solidement le bateau à quai, on s'élance en courant dans la ville, on n'a pas de temps à perdre.

     Comme si la chance était avec nous, on tombe sur deux vélos en état, on installe les garçons sur la selle puis on fuse dans les rues sans réfléchir.


          « Si on veut être plus efficace on doit se séparer, rendez-vous dès que possible sur le pont, annonce Donovan après quelques instants.

          - D'accord, faites attention à vous alors, je fais ce côté de la ville, acceptais-je avant de tourner dans une autre allée.

          - On va où ? Demande mon petit frère derrière moi.

          - J'ai vu un hôpital sur le plan du port, même en ruine il doit rester des choses intéressantes à ramener.

          - C'est vrai, tu penses qu'on va trouver ce dont on a besoin ?

          - Je ne penses pas j'en suis sûre, ça va aller. » Souriais-je en redoublant d'efforts pour arriver le plus vite possible.


     Les bâtiments défilent autour de nous et en voyant les contours de notre destination se dessiner devant je ressens une vague d'énergie qui me pousse à ne pas lâcher.

     On fouille chaque centimètre pour remplir nos sacs ainsi que ceux que nous avons trouvé sur place, on ne sait jamais ce qui peut arriver alors on ne doit pas faire de choix.

     Soudain un éclair de génie me parvient, les archives ! Il y a surement les informations qu'on cherche à l'intérieur.

     Maintenant il faut pouvoir y accéder, on n'a aucune idée de l'endroit où elles peuvent être, même si j'émet l'hypothèse qu'elles sont au sous-sol.

     Après avoir enfin découvert un escalier qui tient debout, on le descend prudemment, même si on n'est plus concernés par les Walker sur l'île ce n'est pas le cas ici.

     On enchaine les pièces les unes après les autres sans succès, les débris sont nombreux et nous prenons de gros risque à rester ici.

     Mais alors qu'on décide de faire marche arrière une écriture attire mon attention, putain on les a trouvés.

     Je demande à mon frère de rester devant la porte et de me prévenir en cas de danger pendant que je pénètre à l'intérieur.

     Tout semble calme, de toute évidence s'il y a quelqu'un ici il devrait déjà être mort vu la difficulté que j'ai rencontrée pour ouvrir la porte.

Le Dernier Jour de l'HumanitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant