| love knows no distance

🌊 | 49 (scène à caractère sexuel)

alors que j'arrange la nuisette devant le miroir, je prends un moment pour me contempler. une grande inspiration, et je me sens prête. je retourne dans la chambre où simeon est allongé sur le lit, les yeux fermés. dès qu'il m'entend revenir, il ouvre un œil et m'observe.

simeon : - tu es magnifique, il dit en se redressant.

moi : - merci, je réponds gênée.

il vient lentement vers moi, souriant. je lève doucement la tête pour croiser son regard, remarquant la lueur gourmande dans ses yeux. il descend lentement sa tête vers mes lèvres et commence à déposer des baisers doux et légers sur ma bouche, chaque contact envoie des frissons le long de ma colonne vertébrale.

simeon : - qu'est-ce que tu veux faire ? il me demande entre deux baisers.

je hausse les épaules, incertaine. il plaque soudainement ses lèvres sur les miennes, brutalement, et je le repousse légèrement en posant mes mains sur ses épaules. je sens son sourire contre mes lèvres alors qu'il s'écarte.

moi : - et toi, qu'est-ce que tu veux faire ? je demande.

simeon : - je sais pas non plus, il répond.

moi : - alors, on ferait mieux d'aller se coucher, je dis en souriant légèrement, amusée par sa grimace.

je me décale pour rejoindre le lit, mais je sens les lèvres de simeon m'embrasser tout en portant sa main sur mon ventre. je reste immobile alors que ses lèvres descendent le long de mon cou. sa main remonte lentement, glissant de mon ventre jusqu'à sous mes seins, caressant ensuite mon téton dur à travers la fine nuisette. je me relâche petit à petit, des frissons envahissant ma peau. simeon continue de caresser mon téton, envoyant des ondes de plaisir à travers mon corps. il murmure à mon oreille.

simeon : - t'es si belle, soraya.

je frissonne encore plus fort, fermant les yeux pour savourer ce moment. je sens son souffle chaud contre ma peau, son odeur enivrante qui m'enveloppe.

pdv simeon

je descends légèrement la nuisette de soraya, glissant ma main dessous pour attraper son téton. je le pince délicatement, le faisant tourner sous mes doigts, tirant doucement dessus. elle ne me repousse pas. je relâche mes baisers sur son cou et mon étreinte. elle se retourne, son regard est neutre, mais ses yeux brillent d'une lueur que je peux pas ignorer. son expression m'intrigue et, avec un sourire espiègle, je me dirige vers le lit. je m'installe confortablement, les jambes légèrement écartées, et la regarde intensément.

simeon : - soraya, je dis doucement, tu peux te déshabiller devant moi ?

elle ne répond pas tout de suite, mais sans rien dire, soraya se dirige lentement vers moi. elle passe sa nuisette par-dessus sa tête, dévoilant ses seins moyens, ni trop gros ni trop petits, avec des tétons dressés. sa peau est parcourue de frissons. elle s'approche et se place devant moi. je lève la tête pour la regarder dans les yeux, toujours neutre, mais sa respiration plus rapide trahit son stress. je baisse à nouveau la tête, cette fois vers sa poitrine. lentement, j'approche ma bouche de l'un de ses tétons et le prends entre mes lèvres, tandis que mes doigts jouent avec l'autre. je sens l'une de ses mains caresser mes cheveux, une bosse se forme dans mon pantalon à mesure que mon désir grandit. je caresse ses seins, aspirant ses tétons l'un après l'autre. elle gémit, les yeux fermés, la main tirant légèrement mes cheveux, signe qu'elle s'abandonne sous mes caresses. ses gémissements se font plus fréquents, annonçant une jouissance proche. mon excitation est à son comble, mon membre bien raide, déformant visiblement mon pantalon.

simeon : - soraya, je murmure entre deux baisers sur ses tétons, et si on continuait sur le lit ?

elle accepte, légèrement gênée. sur le lit, je l'embrasse à pleine bouche, la faisant prendre place sous moi. je descends lentement, me plaçant entre ses cuisses. le contact avec sa peau me fait perdre les pédales. je prends ses fesses dans mes mains, dont la douceur surpasse tout ce que j'ai pu imaginer. une onde crispante torture mon sexe comprimé dans mon boxer. elle écarte les jambes, et je comprends immédiatement l'invitation. je résiste pas très longtemps et me penche entre ses cuisses pour l'embrasser. ma langue s'immisce dans sa fente. je lape sa vulve avec une dévorante avidité, chaque coup de langue alimentant mon désir. sa peau est douce et chaude. soraya émet un gémissement de plaisir, un son doux qui me pousse à redoubler d'efforts. je plonge mon visage entre ses cuisses, ma langue rencontrant son clitoris, tout rose et luisant. elle sursaute légèrement, renversant la tête en arrière. je soude mes lèvres à son bouton palpitant et le suce avec la même intensité que lorsque je maltraite ses tétons. sa réaction est immédiate, ses gémissements se font plus forts et son corps se cambre sous mes caresses. je lèche avec avidité, parcourant chaque recoin de sa fente. ma langue fouille les moindres replis de sa vulve, s'enfonçant jusqu'à son vagin. soraya commence à onduler contre mon visage, une main plaquée sur l'arrière de mon crâne, me soudant plus fermement à sa vulve. l'excitation atteint son apogée, je suis prêt à la dévorer. ses coups de reins deviennent plus nerveux, et entre mes jambes, ma queue s'emballe, prête à éjaculer sans même être touchée. avec le bout de ma langue, j'écarte sa vulve suintante, guidant ma langue dans son trou.
soraya réagit en contractant son ventre, son sexe frémit sous ma langue. rien ne peut stopper mon élan. parfois, elle me tire par les cheveux, essayant de freiner mon désir, mais je niche ma langue profondément dans son orifice, aspirant son clitoris avec une passion nouvelle. sa vulve ondule contre mon visage, ses cuisses frappent contre mes oreilles avec une pression si forte que je peux plus fermer les lèvres ni remuer la langue. elle en finit pas de gémir de plaisir. lorsque la tension de son sexe se relâche, elle s'affale sur le lit, épuisée et comblée. profitant de son abandon, je me place entre ses jambes, guidant mon membre dans son sexe. sa féminité m'enveloppe, chaude et humide.
je commence à aller et venir, écoutant ses gémissements qui deviennent plus fréquents et plus forts.

moi : - si... simeon... elle murmure entre deux râles, sa voix tremblante de plaisir.

emporté par cet élan, je laisse se déchaîner ma frénésie, allant et venant presque sauvagement en elle. chaque poussée est plus profonde, plus intense, chaque mouvement déclenche des vagues de plaisir en elle. soraya donne libre cours à ses gémissements. mon membre navigue dans sa vulve, rencontrant peu de résistance. soraya donne des coups de reins pour que je m'enfonce plus loin, son vagin resserrant encore et encore ma verge. elle devient plus raide, ses muscles se contractent autour de moi. mes testicules se durcissent, et je sens l'orgasme approcher. je pousse un petit gémissement étouffé et me répands en elle, en jets abondants. mon sperme gicle violemment, et soraya est saisie de convulsions, son corps se secouant sous l'intensité de l'orgasme. sa bouche s'ouvre sur un long cri, ses mains agrippant les draps. quand elle se tourne sur le côté et attrape la couverture pour se couvrir, je la regarde, épuisée et comblée. elle s'immobilise, et je comprends qu'elle s'est endormie. un sourire de satisfaction se dessine sur mes lèvres. fier de moi, je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche.