Who she supposed to be ? (Mave Burton)

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Le soir de l’anniversaire de Fergal avait pris une tournure particulièrement sensuelle. Mave, toujours pleine de surprises, avait préparé un cadeau qui alliait luxe et attention. Une Rollex étincelante et une paire de Jordans noire et violette, des pièces qu’elle savait qu’il adorerait. Lorsqu’il découvrit les cadeaux, son regard brillait à la fois de surprise et d’amour.

« Mave, mon cœur… fallait pas. Ça a dû te coûter une fortune ! » dit-il, admiratif.

Mave se rapprocha de lui, glissant sa main doucement le long de son avant-bras, le caressant avec tendresse. Son regard était plein d’amour, cet amour profond qu’ils partageaient depuis tant d’années. « Pour toi, ça ne compte pas… » murmura-t-elle en souriant, un sourire doux, mais teinté d’une promesse à venir.

Il ne put s’empêcher de céder à l’élan qui montait en lui. L’amour qu’il ressentait pour elle, combiné à cette étincelle de désir qui ne faiblissait jamais entre eux, était plus fort que tout. Fergal l’embrassa, d’abord tendrement, puis avec une intensité croissante. Petit à petit, ils glissèrent ensemble sur le canapé, ses mains explorant son corps avec une impatience et une passion qui témoignaient de leur besoin irrépressible l’un de l’autre.

Leurs langues se cherchaient, se trouvaient, et les baisers se faisaient plus profonds, plus langoureux. Chaque touche de leurs mains, chaque contact de leurs lèvres portait en lui cette urgence, comme si le monde pouvait disparaître tant qu’ils étaient ensemble.

Le souffle court, Mave murmura doucement à son oreille, sa voix pleine de malice et de sensualité : « Je porte ce petit tanga Victoria’s Secret que tu aimes tant… »

Les yeux de Fergal s’assombrirent de désir alors qu’il se léchait les lèvres, ses doigts glissant lentement sur son corps, caressant ses courbes par-dessus ses vêtements. Il prenait son temps, appréciant chaque seconde, chaque soupir qu’elle laissait échapper sous ses caresses. Il se redressa légèrement et, avec une force douce, la souleva de ses bras puissants pour la porter jusqu’à leur chambre. Leurs corps étaient déjà en feu, et l’atmosphère dans la pièce devenait presque palpable de tension.

La lumière tamisée de la pièce baignait la scène d’une lueur rouge, accentuant le caractère intime du moment. Fergal la déposa doucement sur le lit, l’allongeant avec précaution comme si elle était la chose la plus précieuse au monde. Son regard était intense, mais empreint d’un amour indéfectible.

Il s’approcha du tiroir de la table de chevet et en sortit un jeu de liens en cuir, ses doigts effleurant la matière avec une lenteur délibérée. Il se pencha vers elle, un sourire séducteur aux lèvres, et murmura, sa voix grave : « C’est mon anniversaire… je peux faire ce que je veux, non ? »

Mave le regarda avec un mélange de provocation et de plaisir. Elle adorait jouer avec lui, et ce regard qu’il posait sur elle, empreint de désir, la rendait faible à chaque fois. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire taquin alors qu’elle répondait, sa voix légèrement rauque de désir : « Oui, Daddy Balor… »

Fergal se lécha lentement les lèvres, un geste qui avait toujours fait frémir Mave de désir. Il s’approcha d’elle, et la pièce sembla s’embraser tandis qu’ils plongeaient tous les deux dans cette danse passionnée.

La pièce était emplie de cette énergie intime, cette tension palpable entre Mave et Fergal. Le surnom "Daddy Balor" qu’elle lui avait murmuré avait eu l’effet immédiat qu’elle recherchait. Fergal sourit, les yeux embrasés de désir, et se pencha vers elle. « J’adore quand tu m’appelles comme ça, Mave… » murmura-t-il d’une voix rauque.

Mave, allongée sous lui, le regardait avec ce sourire doux, mais chargé de promesses. Il prit son temps, nouant délicatement les liens de cuir autour de ses poignets fins, les sécurisant avec soin. L’odeur du cuir neuf, mélangée à leur respiration saccadée, ajoutait une intensité particulière à ce moment. Une fois qu’elle fut solidement attachée, il l’admira un instant, la voyant à la fois vulnérable et si pleine de désir.