Who she supposed to be ? (Mave Burton)

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Dans la douce lumière matinale, Fergal reste allongé, ses yeux parcourant tendrement le visage endormi de Mave. Elle est là, lovée contre lui, son souffle tranquille contre sa poitrine, ses doigts glissés entre les siens comme si elle craignait de le voir s’évanouir dès l’aube. Il passe doucement une main dans ses cheveux et murmure, sa voix empreinte d’amour et de sincérité :

"Je vais nulle part, princesse... Je t’aime trop pour ça. Si un jour je dois partir, tu viens avec moi. Je t’abandonne pas."

Il dépose un baiser léger sur son front, une promesse muette, un geste rassurant, et sa main caresse lentement ses cheveux. Peu à peu, Mave s'éveille, ses paupières papillonnant doucement, et ses yeux gris se posent sur lui, encore embrumés de sommeil. Elle le détaille longuement, le dévorant du regard avec cette intensité si particulière. Ils échangent un sourire complice, puis leurs lèvres se rencontrent dans un baiser tendre, long et amoureux. Dans ce moment suspendu, il n’y a que le battement de leurs cœurs et la douceur de leurs respirations partagées.

Plus tard dans la matinée, alors que Fergal traîne encore dans la chaleur du lit, Mave est déjà debout, se dirigeant vers la salle de bain, la porte laissée entrouverte. Elle est vêtue simplement d’une petite culotte, son dos nu offrant un spectacle dont Fergal ne peut détacher les yeux. En la voyant se pencher légèrement au-dessus du lavabo pour se laver les dents, il sent un désir puissant s’emparer de lui, son esprit vacillant devant la sensualité innocente de ce simple geste.

Discrètement, Fergal se lève et la rejoint. Sans un mot, il se glisse derrière elle, entourant sa taille de ses bras et posant son torse contre son dos. Il dépose un baiser léger sur sa joue, puis descend lentement jusqu’à sa nuque. Ses lèvres effleurent sa peau, laissant une traînée de frissons le long de sa colonne vertébrale. Il continue d’embrasser chaque centimètre, descendant vers son épaule, glissant sur l’omoplate.

Sa voix, grave et rauque, se fait entendre dans un murmure à son oreille :

"Tu sais... j’arrive plus à me concentrer quand t’es comme ça... si parfaite, dans cette petite culotte… Je me dis que c’est presque un crime de te laisser seule comme ça."

Sa main se pose sur sa hanche, caressant la peau nue avec une douceur contrastée par ses mots, chaque murmure chargé de désir.

"Je pourrais te regarder comme ça toute la journée, mais... je veux surtout te toucher. T’as aucune idée de ce que tu me fais, princesse…"

Fergal s'approche lentement de Mave, ses yeux brulants de désir fixés sur elle, incapable de résister plus longtemps. Mave, assise sur le bord du lavabo, le dévore des yeux, ses lèvres à peine entrouvertes, son souffle rapide. Elle est en petite culotte, sa peau douce et nue sous la lumière de la salle de bain. Le simple fait de la voir ainsi, vulnérable et provocante à la fois, enflamme Fergal.

Il passe une main ferme mais délicate sur sa cuisse, puis remonte lentement, ses doigts caressant la peau chaude jusqu’à sa hanche. Son regard ne quitte pas le sien. Ses lèvres effleurent le creux de son cou, déposant des baisers lents, ses mots se glissant entre eux comme une promesse :

"Je vais te faire perdre la tête, princesse… tu me rends tellement fou quand tu es comme ça…"

Mave le fixe avec des yeux pleins de désir, une étincelle malicieuse dans le regard. Elle se mordille la lèvre inférieure, jouant de ses doigts contre les muscles tendus de son torse, descendant vers la ceinture de son caleçon. Son sourire est provocant, et sa voix, à peine un murmure, le provoque davantage.

"Je veux te voir craquer pour moi… te sentir complètement à moi."

Fergal grogne légèrement, sa main se glissant doucement le long de ses hanches, puis descendant jusqu'à la courbe parfaite de son ventre. Il s'approche de son oreille, son souffle chaud la faisant frissonner, et murmure avec une intensité crue :

"Tu sais ce que tu me fais, là, à te tenir si parfaite devant moi... Je me retiens juste parce que je veux savourer chaque seconde... Mais crois-moi, quand je craquerai, tu vas sentir chaque instant."

Mave, toujours plus provocante, se penche légèrement en arrière, offrant à Fergal une vue irrésistible de son corps, ses courbes accentuées. Elle glisse une main le long de sa nuque, caresse ses cheveux et murmure, ses mots chargés de tentation :

"Et si c'était moi qui te faisais craquer en premier, hein ? Tu penses pouvoir tenir encore longtemps, Fergal ?"

Il grogne à nouveau, incapable de se contrôler plus longtemps. Il l’attrape par la taille, ses lèvres capturant les siennes dans un baiser ardent et possessif. Ses mains descendent sur son dos, se pressant contre elle, et son souffle se fait plus rapide, plus lourd. Leur étreinte devient plus passionnée, presque brutale dans l’intensité de leur désir. Entre deux baisers, Fergal laisse échapper dans un souffle rauque :

"Tu m’appartiens... entièrement… et tu vas sentir à quel point je te veux."

Mave, le souffle court, sent chaque mot comme une vague de chaleur qui traverse son corps. Ses mains explorent les muscles tendus de son torse, ses ongles traçant des lignes sur sa peau, tandis qu’elle murmure avec provocation :

"Alors montre-moi… montre-moi ce que tu attends depuis tout ce temps…"

À ces mots, la tension monte encore d’un cran, et Fergal craque enfin, la soulevant du lavabo et la pressant contre lui, leurs corps se fondant l’un contre l’autre dans une explosion de passion, les baisers se succédant sans fin, brûlants de désir, alors que leurs mots se transforment en murmures crûs et sensuels, l’air saturé de leur envie irrépressible.

Fergal la regarde avec cette intensité brûlante dans les yeux, chaque mot qu'il prononce chargé de promesse, de désir. Son regard descend lentement le long de son corps, s'attardant sur chaque courbe, chaque détail de sa peau à peine recouverte, comme s'il mémorisait chaque centimètre. Sa main glisse lentement le long de sa cuisse, et son souffle effleure ses lèvres alors qu'il murmure d'une voix grave :

"Si tu continues à me provoquer comme ça, ma belle, je te jure que tu ne pourras plus marcher après…"

Mave frissonne sous ses mots, un sourire plein de défi et de désir se dessinant sur ses lèvres. Elle le fixe, ses yeux brillants d’envie et de malice, et d’une voix douce mais pleine d’audace, elle continue de le provoquer :

"Je n’attends que ça… Montre-moi à quel point tu me veux."

Elle laisse ses mains explorer son torse musclé, ses doigts suivant chaque ligne, chaque muscle, en descendant doucement vers la ceinture de son caleçon. Sa voix, douce et provocante, le défie encore :

"Dis-moi ce que tu feras pour me faire craquer. Montre-moi jusqu'où tu iras…"

À ces mots, Fergal resserre son étreinte, glissant une main sur sa hanche et lui murmure à l’oreille, sa voix grave et rauque :

"Alors dis-moi… dis-moi ce que tu veux que je te fasse, avec tes propres mots. Je ferai exactement ce que tu me demanderas."

Elle frissonne, son souffle s'accélère, mais elle garde ce regard de défi, s’approchant de lui, ses lèvres effleurant les siennes, et d’un murmure à peine audible, elle répond avec un sourire audacieux :

"Je veux que tu me fasses perdre la tête, que tu me montres tout ce que tu ressens, sans aucune limite… jusqu'à ce que je ne pense plus qu'à toi, à chaque seconde."

Les mots de Mave enflamment Fergal, et il ne peut résister plus longtemps. Il l’embrasse avec une passion dévorante, ses mains explorant chaque courbe de son corps, ses murmures et ses promesses devenant de plus en plus brûlants, laissant libre cours à ce désir fou qu’ils ressentent tous les deux.