Firdâws-La Muette.

Pour commencer.

Le soir quand mon père rentre de son "travail", ma génitrice lui raconte toute les bêtises que j'ai pu faire et lui il me les fait payer.
Il est très fort alors je ressent tout ses coups mais grâce à l'habitude je ne laisse plus rien paraître. Aucun bruit ne sors de ma bouche. Lorsqu'il pose ses poing sur moi je deviens comme morte.

Sa a le don de l'énerver. Il voudrait que je souffre que je le supplie de me lâcher. Se serai trop beau de lui faire cette honneur.

Après plus de 20 minute de souffrance il me lâche enfin et s'en va se doucher. Moi j'essaie de me lever ce qui n'est pas facile mais pas impossible non plus. Je pourrais avoir des abdos vu le nombre de fois que je soulève mon corps et retombe.

Pendant ce temps ma génitrice prépare le repas. Ils ont peur que j'essaie de les empoisonner, avec quoi? Beh j'en sais rien, alors c'est elle qui prépare. Moi je m'occupe du ménage et des courses.

Donc je me lève enfin puis nettoie les trace sur le sol. J'attend que monsieur sorte de la douche puis je vais chercher la trousse de secours pour essayer de camoufler les traces. Demain j'ai cours et il faut qu'elles se voyent le moins possible.

...: FIRDÂWS VIEN POSER LA TABLE PUTAIN!

Mon père est Le seul qui m'appeler par mon prénom dans cette ville. Sinon c'est à base de La Muette. La fille sans voix. La meuf la bas. Fin bref ils connaissent mon prénom mais sa sert à rien c'est pas comme si ils l'utilisent.

Mon père est un peu moins méchant que ma mère, disons que Ya dès moment où il n'est pas tout le temps odieux il peut se montrer neutre. C'est pas pour autant qu'il me souris ou qu'il me montre un peu d'affection. Non. Il ne me calcule pas et me laisse faire ma petite vie tranquillement.

Je range les pensemant puis je vais mettre la table. Eux ils mangent ensemble et moi à par. Jai pas le droit d'écouter leur conversation et je donne de mauvaise énergie d'après eux. Sa me dérange pas plus que sa. Du temps que jai ma nourriture sa me convient.

Elle me donne mon assiette ( de la salade, du poulet et des frites) puis je vais dans ma "chambre". Une cave réaménager.
Oui je mange très bien, faut que jai un minimum de peau sur les os pour pas que sa paraisse trop suspect au yeux de la population.

Je mange et débarrasse mon assiette. J'attend qu'ils m'appellent puis je vais débarrasser et ranger la cuisine. Une fois finis je monte dans ma chambre et allume ma petite lampe pour pouvoir écrire. Je sors un de mes cahiers et un stylo et laisse ma main glisser sur la feuille blanche à moitié plier.

Les mots viennent tous seul, ils s'enchaînent et laisse place à des phrase dur et remplie d'amertume.

J'écris pendant plusieurs heures puis je m'endors sur mon cahier.

[...]

TOC TOC TOC
: DEBOUT JAI FAIM!

Ah oui, c'est mon réveille humain.

Je me lève range le peu de chose qu'il y a dans cette pièce et me dirige vers la salle de bain en prenant bien soin d'emporter mes habilles pour la journée:
Un jeans noire et un pull beaucoup trop large noire qui appartient à mon père plus une paire de botte noir militaire. Les meme habilles que je porte toute la semaine. Je les laves les mercredis et les samedis.

Bref une fois ma toilette fait, je mempresse de faire le petit déjeuner puis de réveiller mes parents qui se sont rendormis après MAVOIR réveiller. C'est bizare, pourquoi ne pas l'acheter un réveil tout simplement? J'en sais rien.

Ils se lèvent vienne déjeuner, je débarrasse et sors en vitesse pour allez au lycée.

J'aime bien les cours et tout le reste mais j'aime pas les gens qui y vont. J'y vais à contre cœur mais c'est toujours mieux que de rester avec la folle et ses pulsions incontrôlable.

J'habite en Espagne, mes parents on fuit la France. Je ne sais pas pour qu'elle raison mais j'aimerais bien le savoir. On parle français mais aussi espagnole donc je suis plutôt a l'aise en langue.

Une fois arriver en cours la journée se passe tranquillement. Je passe inaperçu au yeux des gens et sa ne me déplaît pas plus que sa.

Les journées sont fade et noire, elles se ressemblent toute! Pas une pointe de bonheur ou une lueur d'originalité.

Je rentre chez moi épuiser par cette longue journée de travaille et prie pour que cette folle de génitrice ne sens prennent pas à moi et me laisse me reposer tranquillement mais elle n'est pas du même avis. A penne un pieds dans l'appartement quelle m'attrape par les cheveux et elle me traîne dans le salon en prenant bien soins de refermer la porte avec son pieds.

Elle: TOUT SA CEST DE TA FAUTE! SI TU SERAIS PAS NÉE ON EN SERAIS PAS LÀ! TES QUUNE PUTAIN DE BATARDE UNE FILLE SANS FAMILLE PERSONNE NE TAIME ET NE TAIMERAS JAMAIS!!!

Elle continue de me frapper tout en me lancer des phrase plus dure les unes que les autres.

A force on s'habitue même si sa me fait toujours un petit effet je ne l'implore plus de me lâcher je la laisse faire.

Les larmes coulent sur mes joues mais comme à mon habitude je ne laisse aucun bruit traverser ma gorge.

Une fois qu'elle a fini de s'acharner sur moi elle rentre dans sa chambre pendant une dizaine de minute et en ressort avec un sac qu'elle me jette à mes pieds.

Elle: Je vais chez la voisine quand je revient tu n'est plus la. Nettoie avant de t'en allez.

Je fouille dans le sac et voie qu'il est vide.

Donc je me lève difficilement et emporte le sac avec moi. J'y met tout les sous-vêtements que je possède, quelques cahiers, je prend dans l'armoire à mon père dès pull chaud et de l'argent.

Je connais toute leur cachette, jai nettoyer ces endroit pendant plusieurs longue années donc je prend aussi mon passeport et ma carte d'identités. De la nourriture puis je m'en vais.

Ou vais-je allez? Je n'en sais rien mais une chose est sur, je quitte l'Espagne.