Chapitre 27 : Fuire.

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Important : Bonjours, j'aimerai savoir si quelqu'un ne serai pas disponible pour m'aider à corriger les fautes sur mes chapitres, j'essaye de corriger au maximum mais comme vous avez pu le remarquer elles restent nombreuse. Merci d'avance . Gros bisou et bonne lecture.

! NOUVEAU TRAILER !




" J'en ai même plus envie de t'aimer, tu m'as trop déçue mais j'arrive quand même pas à passer à la suite. "

PDV SERENA COSTELLO
12 Novembre 2016, 02h45, Maison d'Aiden, Trapani, Sicile, Italie.

Toujours allongé dans le lit, je ne trouvais pas le sommeil. Notre altercation continuait de tourner en rond dans ma tête.

Je me sentais si stupide si naïve, j'avais l'impression de tant donner pour un homme qui s'en foutais de moi.

La seule chose qu'il ne comprenait pas c'est que mon bonheur était à ses côtés et que je m'en fichais pas mal d'être en sécurité ou non.

Il m'avait dit que je devais partir pour un certain temps mais je savais très bien qu'il n'était pas question de partir un mois ou deux.

La porte de la chambre s'ouvrit dans un grand fracas, j'alluma la veilleuse de ma table de nuit à fin d'y voire plus claire compte tenue de l'obscurité de la pièce.

Il était là, à quelques mètre de moi me fixant de ses yeux rougis sans doute du à de la drogue. Ses yeux était rouge et gonflé, il puait l'alcool à 100 km/h. Pourquoi s'infligeait-il tout ça ?

- Serena... Dit-il en soufflant. Tu vois ce que tu me fais ? Ajoutât-il. Ce que je lui fais ?
- Je...
- Ferme-là je veux pas t'entendre ! Tout ça c'est de ta faute putain ! Dit-il en s'approchant dangereusement de moi. Mais je ne lui est rien fait bordel. Mais tu comprends rien, tu ne penses qu'à toi. Dit-il en m'agrippant fortement les cheveux et en me relevant, mettant mon visage au même nivaux que le siens. T'es personne Serena pour me dire de ne pas faire les choses, c'est moi qui décide puttana ! Criât-il en me poussant au sol. Pourquoi ne rends tu pas les choses moins difficile !

Les larmes dévalaient maintenant mais joues. Je n'écoutais plus toutes les mauvaise choses qu'il me disait. Je savais que son énervement était multiplier à cause des multiples substance qu'il a du ingérer, mais je ne pouvais pas lui servir de punching-ball.

Il commença à m'assigner des coups de pieds dans tout le corps. Par réflexe je me mis en boule essayant du mieux que je pouvais de me protéger, laissant simplement mon dos mes jambes et mes bras apparents.

J'avais mal, mais la douleur physique n'était pas importante face à la douleur psychologique. Une deuxième fois il levait la main sur moi, malgré le fait qu'il ne sois pas dans son état normale, je souffrais quand même de cet acte.

Je le suppliais de s'arrêter, mais il ne m'écoutait pas, il continuais de m'injurier et de m'ordonner de me taire continuant de me frapper.

Au bout de quelques temps il s'arrêta net, je me décidais donc de relever le visage en sa direction, son regard était triste, j'avais l'impression qu'il culpabilisait. Comment arrivait-il à changer d'émotion toute les 2 minutes ?

Mafia Love  :  Arrange Wedding [Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant