Une mariée dans le désert ( Les frères du désert Tome 2 )

Chapitre 24

Se laissant tomber dans le chagrin, Zara s'était mise volontairement dans le noir en écoutant les gouttes d'eau claquer contre les vitres. Serrant les couvertures contre sa poitrine, elle voyait les heures défilaient sans trouver le sommeil encore trop préoccupé à pensés à la révélation de Ziad, comme une vie comblée il avait tout bien pensé pour son avenir et elle n'en faisait pas partie, profondément touchée elle essayait de contenir ses larmes.

- Zara ? Vous ne dormez pas ?

Passant le drap sur son visage pour essuyer ses larmes à mi-chemin, elle avait tourné sa tête pour le voir dans l'encadrement de la porte torse nue.

Déposant ses yeux sur ses muscles gonflés et ses abdos tracés jusqu'à ses aines, Zara avait détourné le regard un instant impressionnée de voir pour la première fois la nudité d'un homme et pas n'importe lequel.

- je ne suis plus habituée au froid et à la pluie.

Au même moment un grondement de tonnerre au loin accompagné d'un éclair vif l'avait fait sursauter.

Approchant d'elle dans la pénombre, seule les éclairages de l'extérieur habitaient la pièce.

Assis près d'elle, il avait allumé la lumière de chevet pour plonger ses yeux dans les siens.

- ça ne devrait pas tarder à s'arrêter dit-il d'une voix rassurante.

- ou.. Oui vous avez sans doute raison.

Était-ce l'orage ou la présence de Ziad qui l'avait fait trembler ? Zara ignorait si c'était les deux avant qu'il ne caresse son visage d'un geste doux de la main. Presque dans l'obscurité malgré la lumière, sa main rude et virile caché une partie de son visage. Ne désirant qu'une seule chose qu'il continue, il s'était penché pour déposer un baiser sur son front, fermant les yeux à son contact en oubliant le tonnerre si proche comme était son envie de se cacher dans ses bras fermes, Zara sentait sa bouche glisser le long de son visage en laissant son souffle caresser ses joues.

D'un mouvement abrupte, il avait attrapé sa lèvre supérieur dans sa bouche en laissant Zara électrifiée, n'osant plus bouger elle avait fermé les yeux en le sachant tout près de sa bouche.

Envahi par l'envie d'être à sa merci, Zara tentait de résister peut-être trop jeune et trop timide pour vivre un moment unique avec cet homme expérimenté allait-elle se ridiculiser ? Tremblante de peur et d'envie, Zara voulait être à lui pour une nuit en lui donnant l'unique chose qui faisait d'elle l'innocence pure.

Reposant sa bouche contre la siennes en murmurant dans sa langue, Zara avait ouvert le bouche pour lui donner l'opportunité d'aller plus loin. Sans attendre il avait ardemment possédé sa bouche et Zara savait à ce moment-là qu'aucun retour en arrière n'était possible.

Dévorant sa bouche avait passion, elle avait essayé de le suivre quand son visage pris en coupe avait donné à l'homme tous les droits possibles pour explorer sa cavité un peu plus. Peinant à respirer, Zara cherchait à agripper ses épaules pour se mettre tout contre lui, soulevé avec délicatesse elle s'était collé contre son torse dure en cachant sa tête dans sa nuque.

La serrant dans ses bras sans lui faire du mal, Ziad voyait tous ses désirs se transformer en réalité, détachant sa natte pour que son rêve devienne dans les moindres détails parfait, il avait rugit de désire quand ses long cheveux blond c'était éparpillés sur le lit.

Faisant disparaître sa nuisette rapidement, Ziad l'avait fait retomber sur le lit en perdant l'esprit peu à peu. Nue et offerte à lui son corps magnifique était une perfection telle que Ziad s'était débarrassé de son pantalon pour que son corps réagisse sans mal au siens.

- tu es si belle souffla-t-il en glissant ses mains sur ses seins.

Impressionné par la carrure complète de l'homme, Zara avait rougi quand son sexe s'était présenté dressé et prêt à prendre sa virginité.

Embarrassée passionnément, Zara n'avait plus peur, sa main experte c'était logé entre ses cuisses et les premiers souffles de plaisir s'échapper de ses lèvres sans pouvoir les arrêter. Lui laissant toute opportunité d'approfondir Zara avait entouré ses cuisse contre ses hanches et il n'en fallut pas plus pour qu'il la pénètre lentement, arquant son bassin au moment où la barrière c'était brisé Zara essayait de ne pas montrer le léger picotement qu'elle ressentait à son passage. Ouvrant les yeux en le découvrant au-dessus de son visage, son regard c'était assombrit avant qu'il ne ferme les yeux pour continuer, passant ses mains au-dessus de sa tête pour pousser son corps vers lui aidée de la tête de lit, Zara prise d'une vague de sensations unique avait tressaillit quand il avait saisi ses poignets férocement en déposant une pluie de baiser dans son cou.

Le souffle court, Ziad n'avait jamais connus une telle émotion respirant l'odeur de la jeune femme, il devenait peu à peu fou en se demandant pourquoi son intimité était si étroite, pénétrant sa chair un peu plus chaque seconde Ziad avait serré les poignets de la jeune femme en accélérant le rythme désireux d'entendre ses gémissements encore et encore. Portant ses lèvres sur ses seins la vision de ce qu'il désiré depuis des jours dépassé tout ce qu'il avait tant souhaité.

Les poignets libérés, Zara avait agrippé ses épaules en l'écoutant dominer l'orage par ses grognements de plaisir, la jouissance sur le point d'éclater Zara sentait l'homme venir en déferlant à lui seul sur leurs corps un rythme imprimé langoureux et intense, mêlant son plaisir au siens Zara sentait la fin éclater pendant de longues minutes. La tête enfouie entre ses seins, Ziad face une telle émotion d'érotisme en était devenu incontrôlable en la serrant contre lui en oubliant presque qu'il tenait entre ses bras un corps fragile.

Les yeux grand ouvert, Zara fixait l'abdomen de Ziad se soulever en se mordant les lèvres, elle ne regrettait pas cette nuit merveilleuse mais le rêve s'arrêter là toute la peur qu'elle avait mise de côté était en train de renaître de ses cendres, avec l'inquiétude que sa sœur rentre à tout moment en les découvrant enlacés l'un l'autre. Les larmes aux yeux elle était passé sous l'emprise du bras de l'homme sans faire de bruit, attrapant son manteau elle était sortie sur la pointe des pieds en vérifiant si sa sœur n'était pas présente quelque part, partant en direction des ascenseurs ses chaussures à la main elle attendait impatiente que les portes ne se referme pour pouvoir prendre l'air au plus vite.

Un claquement sourd l'avait fait sursauter, quand un bras puissant s'était logé entre les deux portes pour les ouvrir.