Une mariée dans le désert ( Les frères du désert Tome 2 )

Chapitre 4

Regardant par la fenêtre les yeux difficilement ouvert, Zara essayait de trouver de l'air frais mais la chaleur écrasante de bon matin n'était pas sans lui rappeler où elle se trouvait, marchant jusqu'à la salle de bain après s'être rassasié d'un délicieux déjeuner déposer sur la petite table, Zara avait pris soin de soigner sa toilette pour être en accord avec les lieux majestueux, tirant sur le ruban rouge qui encerclé ses cheveux, elle avait fini par s'engager dans le couloir en se retrouvant nez à nez avec Ziad, à quelque mètre de lui Zara s'était gratté le coude gêné par les rougeurs apparente sur son visage en le regardant vêtu de noir marcher vers elle au ralentis, face à ce supplice d'être regardé ainsi Zara avait fini par se lancer.

- j'ai quelque chose sur la figure ? Enigma-t-elle

- non répondit-t-il d'un ton profondément intimidant.

Se passant une main dans ses cheveux attachés, elle s'était raclée la gorge en toussotant légèrement.

- bien que dois-je faire cette fois-ci ?

- suivez-moi....

Marchant derrière lui en détaillant sa carrure, elle avait fini par accélérer le pas en le regardant marché vivement, entrant dans une pièce éclairée par le reflet de la lumière sur les murs nacrés, Zara avait baisser les yeux sur les fresque du tapis en sentant une pressions au creux de ses reins pour la faire avancer jusqu'au fauteuil, sautillant dessus en savourant la qualité, l'homme au regard mystérieux avait rapidement pris la parole une fois devant elle, en remerciant le ciel d'avoir se bureau en bois massif entre eux.

- voilà un crayon, du papier.

Posant les outils en face d'elle, il s'était calé dans son fauteuil en prenant une position digne d'un maître de maison en frottant son menton.

- bien allons-y comment voyez-vous mon mariage ?

Cillant pendant de longue seconde, Zara s'était reprit en serrant le crayon de papier dans sa main.

- mais enfin c'est à vous de me le dire !

Réactive à sa contestation, Ziad s'était penché sur son bureau en fixant sa bouche fermé, admirant les contours rose qui les dessiné.

- j'ai hâtivement fait des recherche sur vos étude inachevés ainsi le dessin vous passionne ? Et bien je vous laisse l'opportunité de le reprendre faite moi des croquis réaliste.

- que... quoi ? Je ne suis pas organisatrice de mariage !

Souriant amusé par la mine déconfite de la jeune femme, Ziad s'était remis contre le dossier de son fauteuil en haussant des épaules.

- qu'est-ce que vous en savez ? Et puis un artiste déborde toujours d'une imagination surprenante, je veux un visuel de mon mariage pour me faire une idée.

- vous n'avez pas tout un personnel pour ce genre de chose ?

- pour mettre tout en place oui, pour l'imaginer non répondit ce dernier nettement.

Soufflant légèrement, Zara avait tapé le crayon contre le bureau.

- si je comprends bien vous voulez un mariage à la hauteur de votre titre ? Demanda-t-elle en haussant un sourcil et bien je me demande bien à quoi ressemblera celui de votre frère.

Levant un doigt pour rectifier ses propos, Ziad avait basculé son corps une deuxième fois.

- c'est là que vous faite erreur nous somme différent l'un l'autre mon frère aime la discrétion moi je veux que les gens admire celle que j'ai choisi pour le reste de ma vie.

Glissant le papier vers elle, Zara gribouillait dessus en laissant sa jalousie se propager sur la feuille blanche avec l'envie dz ressentir la même émotion de bonheur que sa sœur aller vivre.

Voulant changer de conversation au plus vite, Zara tenait là une bonne occasion de rattraper son manque de politesse envers lui.

- je tenais à vous remercier pour ce que vous avez fait pour ma mère vous n'étiez pas obligé s'exprima-t-elle en relevant la tête.

Un sourire satisfait c'était dessiné sur ses lèvres.

- c'est tout à fait normal, j'ai réparé une erreur fâcheuse pour moi comme pour vous. affirma-t-il

- je sais que je vais devoir vous re....

- mettez du cœur à l'ouvrage dans ce que je vous demande et nous serrons quitte. interrompit ce dernier d'un ton ferme.

Avait-elle le choix ? Pensa-t-elle en le regardant.

- bien alors mettons-nous au travail au plus vite. lança Zara en reprenant son crayon.