Chapitre 17

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   Je laissais mon corps basculer en arrière. Attendant le choc qui me serrait fatal. Mais, au lieu de frapper quelque chose de dur et de douloureux, ma tête à heurter quelque chose de mou et pas inconfortable.

   Il m'a fallu plusieurs secondes pour retrouver mes esprits qui étaient partis vagabonder autre part. Je me suis assise dans les marches, quand je me suis rendue compte que ce sur quoi je suis tombée, était en fait un corps.

   Mes yeux se sont écarquillés quand j'ai aperçu des vêtements qui ne m'étaient pas inconnus. Je me suis approchée du visage de la personne. Mon teint s'est pâlit ; Aaron !

   Des larmes se sont misent à couler avec abondance sur mes joues. J'ai couru vers lui. Quand j'ai vu ses yeux clos, sa bouche entre-ouverte, et une tache rouge, s'écoulant autour se sa tête. 

   Je n'ai pus retenir un hurlement de stupeur

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   Je n'ai pus retenir un hurlement de stupeur. Elisa et Alexis sont arrivés, suivis de peu par la prof et le reste de la classe.

   Sans une seconde de plus, j'ai sorti mon téléphone et appelé les secours :

- Bonjour, pompiers.

- Bonjour venez vite au lycée Fontenelles, il y à un lycéen inconscient avec trauma crânien important et ouverture du crâne !

- On arrive !

   J'ai rangé mon téléphone, et est retirer mon tee-shirt pour essayer de stopper hémorragie d'Aaron. Les gars me regardaient, sous l'effet de la tristesse, je n'ai rien dit. 

   Les pompiers sont arrivés et ont emmener Aaron, j'ai demandé :

- Je peux venir ?

- Vous êtes ?

- Sa petite amie, c'est moi qui vous ai appelés.

- Montez.

   J'ai menti. Mais, je me sentais tellement coupable, après tout c'est ma faute si Aaron est dans cet état à présent. 

   Dans le camion, je tenais la main d'Aaron, je serrais ses doigts dans ma paume. Je le voyais, branché de partout, les bips de l'électro cardiogramme résonnais dans ma tête. 

   Une fois arrivée à l'hôpital, on m'a formellement interdit de rester avec Aaron. Une infirmière m'a emmenée dans un salle d'attente moche et puante. Une fille que je ne connaissais pas, est passée en coup de vent devant moi. Plus loin on entendait des voix qui portaient dans le couloir :

- Laisser moi le voir !

- Je suis désolé mademoiselle, mais ce n'est pas possible !

- Laissez moi voir Aaron !

   J'ai sursauté, sa parlait d'Aaron, je me suis relevée, et dirigée vers le couloir d'ou provenait les voix ; j'y est aperçu un médecin et la jeune fille passée en coup de vent plus tôt. Elle est venue vers la salle d'attente défaitiste.

Mon Combat Pour Lui [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant