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أثيل و جميل
Une simple promesse faite à son frère deviendra son obsession, une envie brûlante...
Une simple envie de changer d'air fera d'elle sa proie...
Une Œuvre présentée par : @Mademoiselle_A
❎❎AUCUNS PLAGIATS TOLÉRÉS ❎❎
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La porte sonna de nouveau, cette fois ci c'était moi qui allait ouvrir, je me dirigeai vers la porte pour l'ouvrir et elle laissa apparaître mes frères, tous beaux., tous souriants, ils entrèrent tous, et là je vis un homme, dès que mes yeux se posèrent sur lui, ça m'a fait le même effet qu'il ya quelques jours, le même effet que la première fois où mes yeux se sont posés sur lui. C'est effrayant à quel point il arrive à me dérailler intérieurement rien que par sa présence. Qu'est-ce qu'il fait ici ? Attendez ! Pause ! Por favor dîtes moi que ce n'est pas son fils ! J'ai de la chance n'est-ce pas ? Ne répondez pas c'est ironique.
- Euh... Salem Djamil entre !
- Joyeux anniversaire Azil ! Me dit il accompagné d'un sourire.
- Ahhh Wouldi tu es enfin là !
C'était la voix de ma mère arrivant du sala, elle l'accueilli notre invité, les bras ouverts pour le prendre dans ses bras.
- Oui Khalti désolée d'être en retard.
- Oh ce n'est rien ! Et puis, je suis c'est de la faute d'un de mes hmires de fils.
Ehhh ! Crient en coeur mes frères
- Y a que la vérité qui blesse mes fils ! Leurs répond ma mère.
Bon franchement, je dois vous avouer que je ne faisais pas très attention à ce que disait ma mère elle parlait avec Djamil mais je n'y faisais pas attention, j'étais... Comment vous dire ? Moi-même je n'en sais rien. Je restais là, avec eux, mais en même temps je n'étais pas avec eux, c'est fou à quel point je...Je... Je ne crois pas que vous voudriez savoir. Cet homme me fait un tel effet que...Que... Rien. Il m'hypnotise, je restais comme une potiche à le fixer, devant ma famille enfin ma mère, j'ai honte de moi !
- Azil ! Me réveillaitma mère
- Hein !
- Quoi hein ? Allez dans le salon ça fait mille ans je te le dis tu me captes même pas !
- Ah ! Euh ouai.. ouai allez !
La Honte ! La honte ! La honte ! La honte ! La honte !
Djamil baissait la tête, il avait amené ses doigts à ses yeux pour rire doucement et discrètement tandis que ma mère me lançait un regard que tous les jeunes connaissent, je ne le décrirai pas, je pense que tout le monde ici le connaît.
La honte ! La honte ! La honte ! La honte ! La honte ! La honte !
