Chapitre 36

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« Adonis, dis-je sèchement.

- Ma très chère Jade, comment vas-tu depuis notre dernière rencontre ? Si tu t'inquiètes pour moi, je vais merveilleusement bien.


- Comment ce fait-il qu'il soit en vie ? demanda Peter.


- Je vous signale que je suis juste à côté, mais bon je veux bien vous répondre. Lorenzo, enfin les hybrides m'ont sauvé et on fait de moi un des leurs. »

Derek serra les poings.

« Pourquoi as-tu enlevé Stiles et Lydia ? demandai-je.

- Lorenzo en avait besoin.


- Stiles oui, mais pourquoi Lydia ?


- Lorenzo la voulait.


- Est-ce-qu'il sait ce qu'elle est ?


- Une banshee ? Oui. »

Je me déplaçais dans la pièce, je voulais le mettre à terre et le torturer pour savoir où étaient mes amis. Sans qu'il ne s'en rende compte, je me retrouvai derrière lui et le plaquai au sol.

« Adonis, dit nous où sont mes amis, dis-je avec une voix menaçante.

- Tu crois qu'en me menaçant je te dirai où ils sont ? Tu as tort, je ne dirai rien. »

Je le retournai et je le frappai en plein visage, puis il réussit à arrêter un de mes poings et me plaqua au sol. Derek lui sauta dessus et ils se mirent à se battre. Peter me lança un regard plein de menaces, puis il essaya de les séparer tous les deux, mais Adonis mordit Derek. Derek perdit peu à peu l'équilibre, et il s'écroula.

« Alors Derek qu'est-ce-que ça te fait de voir que je suis plus puissant que toi ? »

Derek ne répondit pas, je pris son visage entre mes mains.

« Je suis désolée Derek. » Il me regarda, mais il n'entendit pas mes paroles, à cause du poison qui l'avait rendu aveugle et sourd.

« Jade, Lorenzo a exigé que tu retrouves tes amis, toi et toi seule, si tu les veux en vie. »

Puis Adonis partit, Peter me regarda.

« Tu es fière de toi ? Tu ne peux pas te contrôler ?! s'énerva-t-il.

- La vie de mes amis est en jeu !


- Tu as fait encore une fois mordre mon neveux, je dois réagir comment ?


- Tu veux juste son pouvoir ! Tu t'en fous de la famille ! hurlai-je.


- Tu n'en sais rien !


- Oh que si ! Je te connais mieux que tu ne le penses.


- Ah oui ? Grâce à ton petit papy Gérard ?


- Comment tu le sais ?


- Je le sais, c'est tout.


- Pourquoi tu as parlé de Gérard, il n'a rien à faire dans ce sujet.


Encore Humaine [teen wolf]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant