Encore Humaine [teen wolf]

Chapitre 40

« Nous devons les attirer là où nous sommes sûrs de les vaincre, dit Aiden. »

Quand Deucalion était arrivé, Derek avait appelé le reste de la meute pour qu'on établisse un plan.

« Mais où est-ce-qu'on est le plus avantagé ? demandai-je.

- Personnellement, je dirais le lycée, dit Isaac.

- Je pensais à mon ancienne maison, dit Derek.

- Pourquoi ? dirent jumeaux.

- Si nous avons un problème, nous pouvons nous enfuir dans la forêt, dit Scott.

- Derek, ta maison est quand même petite, dis-je.

- Oui, je sais mais c'est le seul endroit où les autres sont sans danger.

- Les autres ? dis-je.

- Humains normaux, comme ton père. »

J'avais oublié que les gens« normaux » pouvaient être des cibles.

« Certains seront à l'extérieur et d'autres à l'intérieur, dit Derek.

- Je ne suis pas très convaincue, dis-je.

- Jade, c'est le meilleur endroit, me dit sèchement Derek.

- De toute façon il faut se dépêcher, ils ne vont plus au lycée, ils savent que nous préparons quelque chose, il faut être plus rapide, dit Allison, je sais manier l'arc, toi Jade l'arbalète, mon père sera là, on va les vaincre.

- Alors comment on va s'y prendre ? demandai-je. »

Tout le monde débattait de son coté, personne ne comprenait rien. Derek était devenu sec avec moi, je ne comprenais pas pourquoi. Alors que j'étais dans mes pensées Deucalion en eut marre, il hurla.

« Je vais décider de comment ça va se passer, dit -il.

- Quoi ? Dit Isaac, je n'ai pas confiance.

- Qu'est-ce-que tu proposes ? demanda Derek.

- Toi, les jumeaux et moi, nous les attendrons à l'intérieur... commença Deucalion.

- Et moi ? demanda Scott.

- Nous allons les attirer sous la maison, toi tu resteras devant la porte, les chasseurs vous serez autour de la maison, vous tirez que si vous vous sentez en danger, dit Deucalion.

- Et moi ? demanda Isaac.

- Toi, tu resteras avec les chasseurs s'il y a un problème.

- Lydia devra être présente, dis-je.

- Oui, elle sera avec toi, me dit Deucalion.

- Non, elle ne peut pas être avec moi, dis-je.