Partie 43

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Partie 43 :

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Partie 43 :

Nos yeux se croisent, il arrête de me chatouiller, mais ses mains n'avaient pas quittés mes côtes. On ne rigolait plus. Il n'y avait que lui qui affichait un demi-sourire sur ses lèvres. Moi, je gardais les yeux écarquillés et fixés sur lui. Je fus perturbée lorsque je le vois fixer mes lèvres tout en se mordant sa lèvre inférieure. Avant que je ne puisse réagir, il s'empare de mes lèvres avec fougue.

Je lui rends son baiser sans réfléchir

(DIFFICILE DE LUI RESISTER).

On s'arrête tout à coup, on se regarde, le souffle coupé. Puis comme deux bêtes affamées, on se dévore de plus belle.

Pape : j'étais sure que je n'allais pas pouvoir me contrôler !
Moi : je crois qu'on fait une bêtise !
Pape : je ne pense pas !  Moi je n'ai jamais cessé de t'aimer tu sais ? J'avais juste décidé de te laisser tranquille ... mais quand je t'ai vu aujourd'hui en serviette tu m'as ... comment dire ? « Excité » si ce n'est pas un peu trop vulgaire !  Tu as réveillé le désir qui sommeillait en moi.

Moi : Pape t'es dingue ! 😄

Il ne souriait plus à présent. Lorsqu'il ouvrit sa bouche pour parler, mon coeur battait la chamade.

Pape : je t'aime Kenza !
Moi : ne me dis pas ça s'il te plaît!
Pape : j'ai dis, je t'aime Kenza !!
Moi : putaiiiin !!

Il m'embrasse encore ... je ne pouvais pas refuser encore cette fois. Je vais jusqu'à enlacer mes bras autour de son cou.

Tout à coup son telephone sonne.

Pape : c'est cette connasse de Mamy ! je ne vais pas decrocher !
Moi : non, décroche et mets sur haut parleur je veux savoir ce qu'elle raconte !

Il soupir puis decroche.

Pape : allô ?
Mamy : allô bébé?
Pape: ne m'appelles plus comme ça, toi et moi c'est fini!
Mamy : mais chéri stp ! c'est que cette kenza elle ne mérite que ce qu'elle a !
Pape : bon ta gueule je suis occupé !
Mamy : tu fais quoi ?
Pape : ....
Moi : il est avec moi poufiasse !

J'étais moi même étonnée par les mots que je venais de sortir de ma bouche.

Mamy : Myriam ?
Moi : non ! c'est Kenza !
Mamy : tu ne paies rien pour attendre pauvre conne ! je vais vous détruire toi et ta sœur ! j'étais sure que tu allais courir retrouver pape dés que je serai hors circuit mais ecoutes-moi bien : TU-VAS-ME-LE-PAYER !!!!
Pape : bon tu nous saoule Mamy ! bye !!!
Mmy : attends je .....

Clic ! Il raccroche sans même la laisser finir. Je souris.

Pape : personne  ne doit nous déranger !
Moi : tu as raison !

On est resté à la plage, profitant de la brise, s'embrassant comme des malades et discutant de tout et de rien ...

Il était maintenant 19h, le soleil n'allait pas tarder à se coucher.

Pape : on se baigne ?
Moi : avec quoi ?

Il me regarde comme si j'avais l'air bête.

Moi : non ! il n'en est pas question !!
Pape : bon, je ne te demande pas de te baigner nue, sauf si ça te tente !
Moi : hun !
Pape : tu portes des sous vêtements non ?
Moi : ouai !
Pape : alors allons y !

Il insiste pendant longtemps puis finalement on y va.
L'eau était bonne. Et j'avoue que cette baignade au couché du soleil était une bonne idée. J'ai eu un anniversaire simple mais qui m'a énormément plu.

On était en train de se baigner,m tout en se faisant des bisous. C'était comme si rien n'avait changé avec Pape. Comme si on était toujours ensemble. Pape m'attrapa par la taille pour m'attirer à lui. On était collé tous les deux, flottant dans cette vaste plage avec personne à l'horizon.
Tout à coup, il prend sa main et la fait glisser sur mon ventre. Je sentais ses doigts s'attarder sur mon nombril, puis mon bas ventre j'en frissonnais intérieurement. Mais lorsqu'il atteint ma culotte et qu'il glissa ses doigts à l'intérieur de celle-ci, Je le stop net !

J'attrape sa main avec force et la sors de cet endroit.

Moi : tu ne  changeras jamais ! Tout ce qui t'intéresse c'est me mettre dans ton lit et surement après tu me jetteras comme de la merde en sortant avec une autre de mes copines ?
Pape : non kenza ! Ce n'est pas du tout ça ! Tu te trompes !
Moi : ne me touches pas !

Je sors à toute vitesse et enfile ma robe et mes chaussures sans même penser à m'essuyer. Je laisse tout ici, la nappe et consor. Il sort lui aussi en courant !

Pape : non kenza stp ! Écoutes-moi !
Moi : je me casse laisse moi !!

Il ne pouvait pas me suivre, il fallait qu'il s'habille aussi.

Je cours à toute vitesse. Arrivée là où il fallait escalader quelques grosses pierres en terre pour sortir, je grimpe difficilement mais j'arrive quand même tout en haut. Il me fallait maintenant descendre le mini ravin en terre caillouteux.
Pape : attends Kenza !

Lorsque je l'entends crier mon nom, j'essaye de descendre à toute vitesse. Ma chaussure se cogne à une pierre, celà suffit pour que je trébuche et tombe en roulant jusqu'à cogner ma tête au niveau d'un rocher. Durant toute ma chute j'entendais Pape criait mon nom puis, le noir total.

Ne lis pas sans voter stp. Merci ❤️

#Myriam et Kenza❤️

Chronique de jumelles trés différentesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant