Chapitre VIII: Au pauvre du père.

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Chapitre 8

- Chapitre cours.

Point de vue Cassie.

J'ai failli lui dire la vérité. De toute manière il ne m'aurait pas cru, il m'aurait demandé de faire un test ADN et qu'on lui confirme devant lui pour pas que je triche... C'est pour ça que je n'ai rien dit. Car la famille Stevens sont parano quand il s'agit de moi, ils ont toujours cru que j'en voulais à leur argent une simple roturière de bas étage. Maintenant je me demande bien se qu'il pense de moi. Quoique je m'en fiche. C'est pas eux qui m'intéresse mais leur fils.

J'ai cru qu'il allait reconnaître quelque point commun avec lui. Celia, William. Père, fille. Si William serait née en même temps, ils auraient pu être des jumeaux tellement ils sont identique. Ils ont les même rougeur sur le visage et le même grain de beauté en dessous de l'oeil. La même couleur de cheveux, noir corbeau. Les yeux noir sombre qu'on peu si perdre. Et encore personne n'a vu l'énorme tâche de naissance qu'il y a en bas du dos de Celia en forme de verre à vin. Identique à celui de son père qu'il porte au même endroit. La même forme du visage.

Heureusement que ce n'est qu'une photo et que de la, il n'a pas pu voir se qui cloche.

Celia est le nom de la mère de William, que Kilian à fait exprès de choisir avec soin alors que je n'arrivais pas à en trouver un. Je pense qu'il sait que le jour où je reverrais William devant moi avec Celia, il fera, peut-être avec un peu de chance, la différence.

Une heure après le départ de mon ex, je me suis remis au boulot sur différents dossiers que je dois signé à tout pris avant la fin de la journée.

Lizzie me rapporte une tasse de thé puis s'arrête et me regarde bizarrement

- Que se passe-t-il Lizzie.

- Euh... bah... il y a monsieur Stevens qui veut te voir

Je fais la grimace. Me dite pas qu'il est revenu. Pourtant il me semble qu'il n'a rien oublié.

- Monsieur Stevens ? Je demande.

- Le père cette fois-ci.

Je venais de mettre ma tasse de thé à la bouche et je recrache tout se que j'avais à l'intérieur.

- Fait le entrer. Je lui dit.

Elle ressort de mon bureau et je me plonge encore une fois dans mes dossiers. Elle reviens cette fois-ci avec le père Stevens.

- Bonjour monsieur Stevens. Je dis une fois qu'il est en face de moi. Je vous en pris assied-vous. Lizzie s'il te plaît ramène un café pour monsieur Stevens.

- Oui Cassie.

Elle ressort, monsieur Stevens s'assoit et fait comme chez lui en prenant le cadre photo de Celia dans ses mains. Je fais la même tête que je faisais quand William à vu la photo dans le dossiers. J'ai la poisse.

Il fait une salle tête. C'est bon, je suis morte, il c'est qui elle est.

- Qui es cette jolie petite fille ?

Je m'enfonce dans mon siège priant pour que celui ci m'aspire.

- Personne qui vous concerne. Je dis la même phrase que j'ai sorti au fils.

Il inspecte une nouvelle fois la photo. Et j'inspire bruyamment pour lui faire montrer mon agacement.

- Monsieur Stevens, pourquoi êtes vous venu ?

- William va bientôt se marié et je suis venu spécialement pour t'inviter au fiançailles qui a lieu la semaine prochaine.

Je sourit. Je rêve ou il essaye de me narguer. Ça marche pas avec moi. Enfin plus.

- Je serais là avec un grand plaisir. Merci énormément d'avoir pensé à moi.

Comme si j'allais laissé ses fiançailles voir se mariage se faire. Il me regarde choquer de mes dire.

- Vous pensez que j'allais faire quoi ? Que j'allais être triste parce que vous avez jamais voulu que votre fils et moi ont soit ensemble ? J'ai changé, je ne suis plus cette fille fragile que vous avez connu petite venu des quartiers pauvre. Une chose monsieur Williams. Vous ne m'empêcherez pas de faire ce que j'ai à faire. Car j'ai encore quelques corde à mon arc. Et même si il y en a une qui se brise, il y en a toujours d'autre de remplacement.

Lizzie rapporte le café du père Stevens. Je lui sourit.

- Tu restes est restera une roturière. Souffle-t-il.

- Faite attention à ce que vous dites Pierre.

Je me met en colère. Et ma tête me fait mal, je me la tient est essayé de ne rien montrer. J'avais l'habitude de l'appeler par son prénom quand j'étais petite. Mais la je suis grave énervé et je le montre du doigt.

- La roturière peut vous faire éjecter de la jet set en claquant des doigts aujourd'hui. J'ai tellement de dossier sur vous.

J'ai un mini rictus malgré que je suis en colère et je pense que toute l'entreprise ma entendu. Celui ci s'enfonce sur la chaise et me regarde avec un demi sourire comme si j'étais pas sérieuse. Mais vu mon regard noir. Il se ravise et me dit.

- Tu n'oserais pas. Tu tiens trop à William pour ça.

Si je n'avais aucun respect pour les personnes plus vieux que moi je lui aurais déjà sauté à la gorge. Cette homme est un réel virus.

- Oh mais ne vous en faite pas. William sera épargné. Bon maintenant que vous avez fait un petit détour dans mon entreprise pour m'invité à des fiançailles que je vais m'amuser à saccager pour vous pourrir la vie, pouvez-vous partir j'ai du travail. Ou sinon j'appelle la sécurité.

Il lève les mains et se lève avant de partir. Je tiens toujours ma tête et cherche mes médicaments et au moment où je vais en prendre un, il y en a plus.

Je sors de mon bureau. J'avais pas vu qu'il était tard. Plus personne est dans l'immeuble et je suis la dernière. J'éteins les lumières et m'apprête à mon tour à partir. Je n'ai même pas terminer mes dossiers. Ce n'est pas grave. Lundi. L'air frais me fait du bien malgré ce mal de tête. Je m'avance vers ma voiture...

Mon Ex est devenu une bombe (Tome I) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant