Mon Ex est devenu une bombe (Tome I)

Chapitre XLII: Adieu

Chapitre 42

Point de vue Cassie

J'entends la porte d'entrée claquer puis plus un bruit dans la maison. J'en profite pour mettre des vetements, mon maquillage et quelque chaussure dans une valise. Je descend avec et je vais sur l'ordinateur de bureau qui est dans le salon. Je ne pensais pas que ça prendrait cette tournures. Je télécharge les papiers du divorce et je les signe. Je prend une feuille de papier et je commence à écrire une lettre. Les larmes me monte au yeux. Je ne pensais pas qu'on en arriverait là. Je pensais vivre ma vie avec l'homme que j'aime. Après tout, c'est pour lui que j'ai fait tout ça. Changer, devenir riche carrément a son niveau, pour que plus personne ne me dise que je ne suis pas adéquate à William.

William,

Je ne pensais sérieusement pas qu'on en arriverait là. Si je demande le divorce ce n'est pas pour toi mais pour moi. J'en peux plus j'ai besoin de réfléchir et de respirer. Ce mariage etait une erreur. On aurait pas dû être ensemble à nouveau. Je pensais bien faire en pensant te récupérer. Mais cette vie de famille ne me va pas du tout. Continue ta vie sans moi. Oublie moi et refait ta vie. Je te laisse la maison, Celia et l'entreprise. Après tout, je suis aussi une mauvaise mere qui laisse sa fille toute seule en plein milieu de l'après midi. Courage tu y arriveras. J'essaierai de faire de même de mon côté. Essayer de recoudre mon coeur brisé. Je me rappelle encore de cette fois ou tu m'as demandé d'être ton amoureuse, on avait que huit ans et pourtant, je ne pensais pas qu'on allait faire un si long chemin ensemble. En tous cas je ne regrette rien. C'est sur ces derniers mot que je te dis au revoir a toi et à Célia. Embrasse la de ma part.

Ta Cassie qui t'aime.

Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer. Mais si je ne le fait pas. Si je ne le quitte pas, dieu seul c'est ce qui leur arriverons.

Je me laisse aller cinq minutes le long du mur, avant de me lever, de prendre ma valise et Célia. Etant donné que William n'est pas là, je vais aller la déposé chez Johanna.

Je prend ma voiture et met la petite sur son siège auto. Je la regarde dormir. Car a mon avis ça sera la dernière et je commence a conduire jusqu'a la maison du fils du premier ministre.

Je sonne. Personne ne repond. C'est normal, vu l'heure qu'il est je doute que quelqu'un réponde, mais je persévère et je sonne plusieurs fois. Et la je vois une lumière allumé et le cliquetis de la porte s'ouvrir.

- Celia mais que...

- Désolé de te déranger Johanna. J'ai un voyage important a faire et es ce que tu peux me garder Celia, William passera la chercher demain. Appel le il ne sais pas que je pars et je ne voudrais pas l'inquiéter.

- Tu mens me dit-elle. Que se passe-t-il réellement Cassie ?

- Je... Oublie rien de grave. Garde la moi. Je reviens dans deux jour.

- Okay comme tu veux. Embrasse William de ma part. Me dit-elle.

- Je n'y manquerai pas. Je mens.

Je fais un bisou a Célia avant de lui faire mes adieux puis je prends la route, d'où je pleure comme une madeleine.

Je ne sais pas ou je vais mais je roule comme une force née laissant guidée ma colère, ma frustration, mon inquiétude, mon manque et mon coeur brisé.

Je m'arrête à l'aube dans un fait food. Je commande de quoi manger et je repars aussitôt.

C'est comme ça toute la journée. Celia me manque. William me manque. Je suis a deux doigts de faire machine arrière. J'ai laisser ma famille est mes amis derriere moi. Même l'homme que j'aime le plus au monde après mon père. La seule chose que j'ai a present ce sont mes remordq et ce petit etre qui grandi de jour en jour en moi. Il ne connaîtra ni son père, ni sa soeur. Ni les amis de son parent, ni toute sa famille.

Mon téléphone sonne SMS. Je regarde qui c'est et vois que c'est encore en inconnu. C'est soit Donovan, soit Mathias ou soit Gwen.

" Trace tout droit et ne reviens plus jamais."

Et c'est ce que j'ai fait. Comme si il y avait une bombe dans ma voiture et que je ne pouvait pas arrêter.

Deux mois plus tard.

Je suis fauché. J'ai plus un sous sur moi aillant laisser mes cartes de crédit dans le passé. Pour subvenir a mes besoin, j'ai dû vendre ma voiture. Maintenant, je prend les transport en commun.

Je vis a Washington maintenant et la vie est plus dure sans un sous. Ça fait longtemps que je n'ai pas vécu comme ça.

J'ai postulée dans un café, je suis serveuse maintenant. Ils  m'ont quand même accepté malgré mon gros ventre. Je suis enceinte de cinq mois et demi.

Mon ancienne vie me manque plus que tout. William me manque, Celia me manque ma famille et mes amis me manque, mais je ne peux pas revenir en arrière. Je l'ai fait pour les protégé. Et je sais que je ne serais plus jamais heureuse et que je n'aimerais plus jamais personne. Je suis condamné à etre malheureuse toute ma vie.

- Cassandra, la commande de la table 4 s'il te plaît.

- J'arrive tout de suite.

Je me dirige vers le contoire et sert mon nouveau clients, un habitué. Heureusement que j'ai de l'expérience dans le domaine de serveuse. Je me suis même trouvé un nouveau passe temps. La peinture.

Je vis aussi dans un petit appartement qui ressemble fortement à celui que j'avais à l'époque, ça me change de mon immence maison. Comme  je le disais, mon ancienne vie me manque énormément et dès moment je reste planté devant l'aéroport et me dit que c'est le moment d'y retourner. Mais je ne peux pas. Déjà parce que je n'ai pas d'argent sur moi, mais en plus je mettrais William et Célia en danger.

Mon service est terminé et je vais me changé en vitesse, je n'ai qu'une envie prendre un bon bain chaud. Mais je sais qu'une fois a la maison comme toujours, je vais me mettre a pleurer car je me sent seule. J'ai appris a dormir avec William à mes côtés, j'ai appris a me réveiller a ses côtés. Son sourire me manque sa voix me manque, son parfum me manque. Et dire que je me suis privé de tout ça pour le protéger. Il y a même des jour pour entendre rien que tout petit peu sa voix, je l'appel en inconnu sans jamais parler.

Alors que je me faisais réflexion, je n'ai pas vu quelqu'un me dire de me pousser. Un voiture me percute de plein fouet...