Chapitre XXX: Deuxième destination, lune de miel

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Chapitre 30

Point de vue William

Cassis est devenue bizarre après ce coup de fil. Je ne sais pas qui à bien pu l'appeller pour qu'elle face cette tête d'enterrement. On en parlera plus tard.

La reunion se termine quelques heures plus tard et nous sortons tous. Nous saluons les coréens et nous commençons a partie.

- C'était qui au téléphone ? Je lui demande.

Elle se stoppe dans sa démarche avant de me regarder.

- C'était Johanna. Me repond-elle en détournant les yeux.

Je sais qu'elle ment, mais je ne dirais rien par pour le moment. Elle recommence à marcher comme si ce n'est rien. Je voudrais bien savoir ce qui la tracasse.

- Et elle voulait quoi ? Je lui demande sachant qu'elle va me mentir encore une fois.

- Juste pour me prévenir qu'elle avait des dossiers a me faire signer rien de trop grave. Me sourit-elle en appuyant sur le bouton de l'ascenseur.

Je ne dis rien. Le jour ou elle voudra m'en parler elle le fera la connaissant.

Le lendemain nous partons enfin pour notre deuxième destination. Un lieu surprise pour Cassie, l'endroit qu'elle avait rêvé d'aller depuis qu'on est tout petit. Dubaï.

L'avion fait vraiment dormir Cassie. Et moi pendant ce temps là, je suis sur mon ordinateur en train de finalisé quelques dossiers.

Nathan m'a envoyé un mail me disant que c'était l'apocalypse. Et que mon père selon benjamin avait dit qu'il allait récupérer l'entreprise. Il m'a donc envoyé les papiers de l'accord pour la fusion entre Stevens Compagnie et Edouard compagnie. Ainsi mon père ne pourra plus rien faire etant donné que Cassie sera elle aussi la propriétaire. Astucieux non ?

Je l'avais dit que j'allais m'en occuper de cette histoire. Si mon père croit que je suis un débile il peut se mettre le doigt dans l'oeil.

Prêt à l'atterrissage, je reveille Cassie avec un sourire.

- Bienvenue à Dubaï, mon amour. Je lui dis.

Elle me regarde avec un énorme sourire.

- Tu es sérieux ?

Elle regarde par les hublot avant de sauter de joie en tapant dans ses mains tel une gamine.

- Oh mon dieux c'est le seul endroit ou je ne suis pas aller.

- Je sais. Kilian me l'a dit.

C'est vrai que Kilian la connais plus que moi même malgré que nous somme sortie ensemble deux ans au college et au lycee et trois mois il y a deux ans. Du coup, il n'y a que lui qui a pu me dire tous ce qu'aimait réellement Cassie.

L'avion se pose et une fois qu'il c'est arrêté, nous prenons nos bagages et nous partons a notre nouvelle hôtel en taxi.

Maintenant, il nous reste plus que deux semaines avant de rentrer a la maison. Et si on en profiter au maximum ?

A l'hôtel et dans notre suite, Cassie la première chose qu'elle fait c'est défaire les valises et ranger nos vetements. Bien entendu je l'aide. Une fois terminer je lui propose d'aller a la plage. Ce qu'elle accepte tout de suite.

Du coup nous voici en train de marché pied nu au bord des vagues et main dans la main. Que ça fait du bien de se retrouver rien que tout les deux sans personne d'autre.

Alors que j'étais dans mes pensés me disant que j'aime se moment passer rien que tout les deux, je me reçois des éclaboussure. Je sors de ma torpeur et aperçois Cassie avec un énorme sourire en coin.

Je rêve ou elle ma réellement jetée de l'eau dessus ? Je la regarde, elle essaye de ne pas rigoler, mais n'arrive pas a se retenir. Je m'avance vers elle, on a tout les deux les pieds dans l'eau.

- Prepare toi a courir. Je lui dit en mouillant mes mains.

Elle s'execute et je cours en essayant de garder le plus possible d'eau dans les mains. Ce qui m'a l'air d'être mission impossible car Cassie court très vite. Plus vite de se que je pensais. On dirait meme qu'elle a fait le marathon pendant ses deux dernière années.

Je réussi tout de même à la ratrapper. On tombe tout les deux dans l'eau et nous voilà mouiller.

- William putain. Ce plein-t-elle d'être mouiller.

- Pas ma faute, j'ai glissé.

On explose de rire et j'en profite pour lui faire plein de chatouille. Ses rires double, d'un seul coup.

- C'est bon arrête.

Le soir, nous allons dans un restaurant chic. Et il faut que je lui parle de la fusion d'Edouard compagnie et de Stevens Compagnie, en espérant qu'elle accepte l'idee.

- Au fait, j'ai demandé à Nathan les papiers pour une fusion entre ton entreprise et ma mienne.

Elle pose sa fourchette avant de me regarder droit dans les yeux sans émotion.

- Okay. Me dit-elle simplement ce qui me reste sans voix.

- C'est tout ? Tu es d'accord ?

- Si ça permet a ton père de ne pas te viré de l'entreprise et me mettre l'une des actionnaires majorité, je ne suis pas contre.  J'y ai pensé figure toi.

Voilà pourquoi je l'aime. On a toujours était sur la même longueur d'onde.

- Je ne voudrais tout de meme pas que ton père pense que je ne pense qu'a l'argent néanmoins ce que tu sais et faut. Etant donnée que j'en ai moi aussi. Si je le fait c'est pour toi et parce que je t'aime. Je ne veux pas que ton père te mette hors circuit de l'entreprise. Je ne veux être coupable de rien. Par contre tu sera toujours le PDG de Stevens compagnie et moi la PDG de Edouard compagnie. On aura simplement 50 50 les deux entreprises.  Ah et aussi, il faudrait mieux que tu coupes tes cartes de crédit et en reprenne d'autre on ne sait jamais si ton père essaye de te couper les vivres a moi que tu comptes vivre a mes frais ? Dit-elle en pouffant de rire.

A vrai dire j'ai retenu que le "Je t'aime". C'est la première fois que je l'entends dire depuis qu'elle est revenu à New-York. Enfin quelque chose de censé sortant de son adorable bouche que je me suis précipité de me lever pour embrassée.

- William. Tu ma écouté au moins.

- Oui, je t'écoute.

- Alors qu'es que je viens de dire ?

- Que tu m'aimes.

Elle roule des yeux avant de les froncer et explose de rire.

- Tu es sérieux, tu as retenu que ça.

- Bah venant de ta bouche, c'est rare.

- William. S'offusque-t-elle en faisant la moue.

- Moi aussi je t'aime.

- Oui, ça je le sais. Sinon tu ne m'aurais pas épousé.

- Qu'elle romantique tu fais.

- William. Je vais réellement me mettre en colère.

Je lève les mains en l'air en signe de "J'ai rien fait". Mais voyant qu'elle n'était pas sérieuse, on explose de rire.

- On rentre à l'hôtel maintenant ? Demande-elle d'une voix mielleuse. J'ai plein de projet pour nous ce soir.

Je roule des yeux avant de relâcher ma fourchette une fois mon plat terminer et de me lever pour la prendre par la main et de l'emmener en direction de l'hôtel. Faite que cette soirée ne se termine pas. En tous cas moi, je suis le plus heureux du monde. J'ai tous ce que j'avais besoin. Une femme que j'aime plus que tout et une petite fille qui a fait mon bonheur en cinq seconde. Que demander de plus ?

Mon Ex est devenu une bombe (Tome I) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant