Mon Ex est devenu une bombe (Tome I)

Chapitre XL: Kidnappé

Chapitre 40

Point de vue Cassie

En debut d'apres midi, je me suis endormie dans la chambre d'ami. Même Celia je l'ai mise à la sieste. J'entends du bruit dans la maison. Je ne relève pas, ce doit être William qui est entrée. J'essaye de me rendormir. Des pas se fait dans la même pièce, je relève la tête mais quelqu'un me met un mouchoir sur la bouche et je me retrouve endormie.

Quelques heures plus tard, je me réveille. Il fait nuit. Je suis sur le canapé d'un salon.

- Alors on ce réveil ? Me dit la personne.

Je me relève aussitôt paniqué quand je vois la personne en face de moi. J'aurais dû m'en doutée que c'était lui les messages et les appel inconnu. Et il n'est pas seul. Ils sont trois dans la même pièce.

Il s'agit de Mathias, Gwen et Donovan. Je ne vous ai jamais parler de ce dernier. Nous sommes sortie deux mois ensemble après que mon entreprise est vu le jour, j'étais encore un peu grassouillette et en plein régime.

- J'aurais dû m'en doutée.

- Dit moi Mathias avait pas tord quand il disait que tu étais devenu magnifique.

Oh mon dieu. Je déteste qu'on me le face rappeler. Le pire c'est qu'ils ne m'ont même pas attaché. J'aurais bien pu m'enfuir quand je le voulais. Mais ils sont trois et je suis toute seule avec un bébé dans le ventre. Je ne ferais pas le poid et je ne voudrais pas faire une fausse couche.

- On a apris que tu avais été opéré et que tu es resté trois mois dans le coma. C'est vrai.

- Ouais. Mais en quoi ma vie te concerne Mathias ? Je demande outrée.

- Oh je posais juste la question. Car ta convalescence à fait le buzz dans les journaux. Cassie est devenu une star maintenant. Ricane-t-il par la suite.

Je souris face a sa blague super nul d'ailleurs.

- Bon, c'est quoi vos plan pour la suite ?

Dans ce genre de situation, j'ai appris a ne pas paniqué. Avec mes séance de yoga de l'an dernier pour ne pas aggraver mon AVC j'ai dû apprendre a resté calme dans toute les situation.

- C'est simple, on te relâche si tu accepte de divorcé avec William.  Dit Gwen en mettant ses mains sur les hanches.

Je les regarde les uns après les autres comme si ils deliraient complètement.

- Ca va etre un peu difficile étant donnée que...

Je me lève pour être à leur auteur. Et leur fait montrer mon ventre.

- William est moi ça toujours été le destin. Si je divorce de lui et que je part sans laisser de trace, il sera en mesure de me retrouvé.

- C'est la meilleure, tu lui as fait un rejetons dans le dos et tu en refait un autre ?

- Je ne lui ai pas fait un enfant dabs le dos comme tu dis si bien Gwen, tu connais pas la réelle histoire. Et ce bébé. William est toute ma famille sont au courant. Je ne l'ai pas caché.

- Peu importe. Fait-elle. Tu divorcera de William.

- Sinon quoi ? Je la défit du regard.

- Cassie, je sais très bien comment vous m'appeler tous, mais ne me sous estime pas. Un accident, d'une petite fille est si vite arrivé.

- Ne menace pas ma fille.

- Alors fait ce qu'on te dit.

Après un long défit de quelques heures, ils me fond partir. Il est pratiquement dix heures du matin. Je n'est plus le choix cette fois-ci, ils m'ont eu et je baisse les armes. Je n'ai réellement plus la force de me battre pour mon propre bonheur.

Je m'assis sur un banc. Les gens doivent me prendre pour une folle avec simplement un pyjama. Je pari que demain sera écrit dans les journaux " Cassie Stevens vagabonde dans les rues de New-York avec un pyjama, pas coiffé et pas maquillé." mais la je m'en contre balance.

Il m'ont donner deux jours. Je dois les protéger. Gwen m'importe peu, c'est de Mathias et Donovan que je crains le pire. C'est deux gars, sont plus violent qu'un chef de mafia.

Je dépose les mains sur mon visage et les larmes me montent aux yeux. Que faire. Je repense encore à tous ce qui c'est passé dans ma vie.

Je sais que William doit être en colère que j'ai laisser Celia toute seule. Meme si je sais que ce n'est pas ma faute. Il doit être aussi inquiet de ne pas me trouvée. Il a dû alerté tout le monde et ils doivent être tous à ma recherche.

Une voiture s'arrête net devant moi et j'aperçois les jumelles. Mes larme redoublent et je me laisse tomber dans leur bras.

- Mais putain Cassie ou etait tu passé. William te cherche de partout. Me dit Maya

Je n'ai pas la force de repondre pour le moment, je n'ai qu'une envie c'est de serrer les filles dans mes bras.

- Cassie, que s'est-il passé ? Me demande Maya assis à present à côté de moi dans la voiture.

Je leur raconte et Billie qui conduit, tape un bon coup sur le volant.

- Putain Cassie. Tu... Tu ne vas réellement pas faire ça. Va voir la police, merde.

- Je t'es dis que non.

- Tu ne vas tout de même pas baisser les bras quand même.

- Je n'ai plus la force de me battre contre tout le monde. Je veux simplement protéger mes enfants et la personne que j'aime. Et puis tu veux que la police face quoi ? Sans preuve, ils ne peuvent rien faire.

- Donc en résumé. Tu comptes réellement quitté William après tous ce que vous avez traversé sans rien lui dire ?

- Je ne sais pas encore.

On arrive devant la maison. Je fais un câlin aux filles avant d'entrée à l'intérieur. J'aperçois William, devant la télé avec son ordinateur sur les jambes. Il me voit arrivé et cligne plusieurs fois des yeux.

- Mon dieu Cassie, tu étais ou ?

Je le regarde un moment et avant que les yeux ne déverse le moindre larme. Je monte à l'étage et m'enferme dans la salle de bain.

J'allume l'eau et me laisse glisser toute habiller dans la baignoire tout habillée avant de me laisser pleurer.

J'entends William crier derriere la porte, il tape comme un fou.

- Cassie ouvre moi cette porte.

Je ne repond pas. J'essaye de me détendre pour oublier le sens de ma vie. Et dire que normalement à l'heure qu'il est, je suis censé etre heureuse. Une femme comblé. Un mari que j'aime plus que ma propre vie, une petite fille formidable et l'attente d'un nouveau née. Une famille sur qui je peux compter sans parler de mes amis.

J'ai tous ce que j'ai essayé de construire jusqu'a présent pour etre enfin heureuse. Mais voilà que tout me glisse des mains et que ma vie n'a toujours été qu'un château de carte qu'on a réussi a détruire en peu de temps.