tu es à moi

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《je te promets de me battre avec toi et pour toi si tu veux bien m'accepter dans ta vie. Je ne reculerai devant rien, fais moi confiance》

Ce sont les seuls mots que je peux sortir et je le pense réellement. En la prenant dans mes bras j'ai juste envie de l'aimer, de la chérir, qu'elle me fasse confiance et qu'elle soit mienne.

Cherifa : merci Bachir dit-elle calmement.

Moi : je le pense vraiment, tu dois avoir faim maintenant hum dis-je en rigolant pour détendre l'atmosphère.

Cherifa : ( en se retirant ) il y'a quoi au menu monsieur romantique.

Moi : j'avoue que je ne sais pas encore dis je en retournant pour m'assoir en face d'elle.

Elle sourit enfin.

Cherifa : j'en étais sûr.

Moi : la prochaine fois c'est moi qui cuisine.

Cherifa : je ne te savais pas aussi "jongué"* ( coquin).

Moi : djissagoma sama jongué sakh* ( tu n'as encore rien vu).

Elle ne peut pas s'empecher de rigoler. On a diné au calme et on a appris à se connaître. On a parlé de nos goûts, de nos plans à Dakar, de nos rêve et c'est juste magique. Après le dîner, je lui ai proposé de descendre dans le jardin. Nous nous sommes assis au bord de la piscine.

 Nous nous sommes assis au bord de la piscine

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Cherifa : c'est une trés belle maison.

Moi : ma mère l'adore aussi, c'est elle qui l'a choisit.

Cherifa : elle a vraiment du goût.

Moi : oui c'est vrai.

Cherifa : ton père est un homm trés généreux. Tu sais madame Ba est mon ancienne voisine et quand je lui ai dit que j'ai vraiment besoin d'un travail, elle en a parlé ton père. Lui il n'a pas hésité à me donner ce travail. Tu dois surement le voir comme un idole.

Moi : je crois que je le vois juste comme un papa. Mais c'est vrai j'ai beaucoup d'admiration pour lui. Il a réussi à construire son empire. Par contre je ne sais pas si il est fier de moi et de mes choix.

Cherifa : je suis sur qu'il est fier de toi, tu es une personne respectueuse et respectable aussi. Tu es intelligent et tu as un cœur en or.

Moi : tu penses vraiment ?

Cherifa : tout le monde le pense.

Moi : hum j'espère bien... bon cendrillon, je te ramène avant que ta mère ne s'inquiète.

Cherifa : oui allons y il fait tard.

Chronique de Bachir : une erreur fatale [ tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant