Survive To The Death

Herschel.

Mon souffle se ralentit, j'ai l'impression que le temps s'est arrêter. Que le monde redevienne comme il le voulait. Que les rôdeurs sont juste des gens à soigner dans des hôpitaux, que tout de celà ne s'était pas produit. Que nous étions juste des voyageurs en requête d'un abri, et d'un médecin. Mais tout cela n'est qu'un foutu rêve qui ne sa réalisera pas même dans les plus profondes et grandes requête envers le seigneur. Les morts on repris le commandement, mais aussi les vivants. Une vie innocente vient juste d'être achevé, encore une..c'est comme ci ça ne s'arrêter jamais, un cercle sans fin, une  renaissance, la vie après la mort.

Il s'effondre au sol sous l'ecroyable cri de mon père, lui qui voulait un monde meilleure, pour sa femme, ses filles, son beau fils. Lui, qui voulait reprendre sa vie en main et redevenir vétérinaire. Lui, qui est un homme de confiance, de grand esprit et de savoir. Lui, qui n'a jamais pu croire que ces choses était des monstres. Lui, qui était bien installé dans sa ferme, qui cultivait, qui fesais le maximum pour sa bien-aimée qui avait rejoins la mort en l'enlaçant. 

— Noooooooooooon !" crie mon père à plein poumon.

Tout c'est passe si vite, en une déco de la lame avait tranché sa gorge tel un couteau qui coupe le pain. Je pressé la détente, et les balles afflue à flot. J'essaye tout de même de viser le gouverneur, Après tout c'est lui qui à causé tout celà, mais sans réussite. Je commence à courir vers derrière une baril, et essayé de me protéger comme je le peux. Peut après Ethan me rejoins en essayant lui aussi d'éviter les balles, qui affluent sans cesse. Le bruit des balles est là seule chose qui résonne dans mes oreilles. Daryl m'avait dit d'amer dans le bus, Mais avant il faut en finir, il faut tuer ses hommes, puis lui, le gouverneur.

Tout ça, juste pour une prison." pensais-je.

Je tente une nouvelle fois de tirer mais aucune balle ne sort, Je balance le fusil à terre et commence à courir vers le bus avec Ethan quand je vois qu'il n'est pas là. Merde. Les coups de feu se font rare, la première pensée qui me viens est d'aller vers le banc près du panier de basket. Mais impossible d'y accéder, car le tank roule,  Je frôle la mort à deux doigts et court le plus vite possible et m'enfonce en forêt avec Ethan. Je ne sais pas ou sont les autres, Mais pour l'instant il faut que je parte d'ici.
On continue de courir, Quand on se rend compte qu'on est assez loin de la prison, qui doit être sûrement en ruine.
Je suis essoufflé, alors que je reprend mes forces en m'arrêtant, Je sens qu'on me pousse sur le côté.
Un rôdeur.
Il me fait tomber au sol, en même temps mon énergie est au plus bas.
Je vois qu'il se fait transpercer le crâne, Je le pousse sur le coter. Et souffle. Ethan me tend sa main, que je prend.

— Merci." soufflais-je.

Le vent s'est levé, les coups de feu ne se font plus entendre. Une fumée noir envahi le ciel. Je fini par m'effondrer contre l'écorce d'un arbre. Et ferme l'oeil. Ethan s'asseoir à coter de moi, tout aussi épuisé.

— Dis moi qu'on est en vie Ethan.
—On est en vie."

Le soleil apparaît sur nous, comme ci on était à la plage. Après avoir repris mon souffle. Je sors mon couteau de son étui et le plante dans le sol. Il me gêner pour m'asseoir. Ethan lâche son arme au sol.

—Il te reste des balles ?" demandais-je.
— Très peu, environ 3-4.
— Ta un couteau ?
— Oui.
— On va économiser les balles. Les couteau c'est mieux. Pour l'instant on doit trouver un endroit ou dormir ce soir."
— Ta raison."

Je me relève de l'arbre, et reprend mon couteau. Ethan se lève, et met le fusil sur son dos. Et nous reprenons la route en quête d'un abri..