*Soumis a l'Amour*

SA - Chp. 10 Retour a la Case Depart

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*ATTENTION - Scene Adulte*

Angella se réveille dans sa chambre à Angela Davis University en Floride. Sa vie ne serait jamais plus la même qu'avant parce qu'un beau monsieur qui s'avère être un mafioso a envahi son existence a tout jamais. Sa vie avant lui était paisible, calme, normale...et surtout dépourvue de gouts au niveau sentimental. Est-ce qu'elle regrette de l'avoir rencontrer ? Non. Elle se lève et prépare une tasse de café. En attendant, elle se rend dans sa toilette et commence à se brosser les dents. Durant tout le processus de préparation pour affronter la nouvelle journée, elle n'est pas dans sa chambre ; elle n'est même pas dans son pays... Elle est en Espagne...

Voilà que deux jours de cela, elle était en Espagne, embrassant un mafioso dans sa villa avant de partir...

*Knock Knock*.

Angella était trop occupée à remballer ses affaires pour entendre le son des frappes à la porte. Elle rentra dans la toilette, et elle s'est souvenue de prendre sa pilule contraceptive. Elle courut vers la chambre, puis elle prit une bouteille d'Evian.

*KNOCK KNOCK KNOCK* Elle déposa sa bouteille puis ouvrit la porte. Eh merde...

Aujourd'hui est le dernier jour qu'il verrait Angella, ou plutôt le contraire. Le connaissant, Antonio compte bien la surveiller le plus que possible, voir même l'espionner. Il s'était juré de ne jamais faire ce truc pour une femme ; c'était con et immature selon lui. Bah voilà, pour Angella, il était plus que con et immature.

« Oui ? » répond une Angella assez stupéfaite. « Euh...Je n'ai pas encore fini d'emballer alors... Rentre. » Elle se tourne et bien sûr Antonio contemplait sa belle paire de fesses. Il rentre dans la chambre et ferme doucement la porte. Il se tourne pour regarder Angella qui continue à emballer ses affaires.

« Je suis simplement venu te dire que l'avion part dans deux heures et disons 30 minutes donc ne te presse pas trop. » Antonio aurait inventé d'autres sottises pour qu'elle cesse ces gestes qui lui faisaient mal à regarder.

Angella n'a rien répondu ; elle continue en hochant sa tête.

« Tu sais... Tu n'es pas obligé de partir si tôt ». Brusquement elle arrête pour le regarder d'une façon qu'il n'a jamais vue de son doux visage.

« Tu t'te moque de moi là ou quoi ? » Antonio ne répond pas.

Elle le regarde pour essayer de décrypter son regard mais, en vain. Il était dur a lire quand il posait des questions ; ah ces mafiosos. Elle lance un rire involontaire puis continue à emballer. Elle a terminé dix minutes âpres, ensuite elle a pris ses bagages pour sortir de la chambre ; Antonio ne bouge pas. Elle lance un soupir.

« Excuse-moi s'te plait. » Il croise ses bras et la regarde comme si elle est folle.

La colère qu'elle essayait d'ignorer depuis ce matin est montée d'une éclaire. « Excuse-moi Antonio » dit-elle d'un ton menaçant.

Antonio la regarde toujours. Dans un sens, cet air menaçant l'amuse. S'il était le méchant gars qu'il devient de temps à autre, il lui aurait simplement brisé la nuque, ou la balancer hors du balcon de la chambre. Et aussi, ce ton l'excitait. Il admirait les lèvres d'Angella qu'il dévorait déjà dans ses pensées.

« L'avion ne part pas encore, tu peux attendre ici » dit-il d'un ton bien calme.

« Non je veux attendre dehors sur la terrasse, alors excuse-moi ».