SA - Chp. 6.2 Impatience

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Antonio et Victoria explique à toute l'équipe leur plan d'attaque contre le gang Japonais nommé 'Chikara'. Elle reçoit la confirmation qu'ils sont situés à Los Angeles pour le plaisir après avoir fait tomber un coup important, et c'est l'occasion parfaite pour se débarrasser de ces traîtres. Antonio a aussi la délicatesse d'informer les mafiosos Russes et Irakiens de la situation ; ils sont tous d'accord d'aider à réaliser ce bon nettoyage...

Le coup que ces connards ont réalisé impliquent les deux autres organisations concernées ; bien sûr que tout le monde protège leurs intérêts. Ils ont fait sauter une usine de fabrication de formule bébé – une industrie extrêmement lucrative – ainsi qu'un hangar abritant des hackers sans résidence. Tout le monde leur en voulait, mais ne pouvait point identifie le groupe qui déstabilisait les éléments du marché noir.

« Nous on n'a jamais aimé les cafards ; ils sont dégoûtants et dangereux pour la sante on l'admet. Mais les rats comme ceux-là...On veut les exténuer. »

On devient un rat quand on parle a la police, ou quand on trahit un pacte. Ce qui n'a pas été fait. Sans ce contexte, Antonio n'a jamais vraiment compris ce genre de langage, mais le monde est aussi ignoble que les pensées de certaines personnes. Bref, du moment où il règle ses comptes. L'univers s'occupera du reste.

Au Ceasar's Palace, les membres du Chikara jouent du poker ; leur chef, Ichiro Atsuchi, a la tête qui tourne à cause des verres de Scotch qu'il a bu depuis deux heures. Il est entouré de belles jeunes femmes qui plaisantent et crient à voix haute. Alors pour terminer la soirée en beauté, il décide de monter dans sa chambre avec ses trois compagnes, histoire de rendre les choses plus intéressantes. Arrivé dans sa chambre, les filles commencent à se déshabiller ; Homme qu'il est, il reste hypnotisé au pas de la porte de sa chambre en admirant le corps de ses escortes de soirée. La fille aux cheveux rouges lui donne à boire un autre verre avec un sourire malicieux dans ses lèvres, puis l'embrasse tendrement sur sa joue. Il regarde les filles qui se couchent sur son lit et boit le contenu de son verre en une seule gorgée. Après 2 minutes, il est K.O au sol, et l'une des filles fait un appel. Ichiro ne peut plus se lever, et sa vision est perturbée de manière inexpliquée. Les deux autres filles continuent de rire et de l'embrasser partout sur le visage ; il pense être au paradis.

Antonio et ses partenaires rentrent dans la chambre et regardent le chef de Chikara sur le lit qui dort profondément. Les femmes l'ont très solidement attaché, alors les hommes d'Antonio sortent de l'hôtel sans histoires pour le faire monter dans une voiture.

« Merci mesdames pour votre aide. Votre récompense sera du comme promis. »

A l'aube, Ichiro ouvre doucement ses yeux et essaie de ce rappelé d'hier soir. Il se souvient de la belle jeune femme aux cheveux rouges ; ensuite, plus rien. Il réalise ensuite que sa bouche est scotchée, que ses bras lui font un mal de chien, et qu'il est en sueur. Il bouge et le bruit des chaines qui le retient retentit. Il panique ; C'est quoi cette m*rde !?. Il tourne la tête et remarque des cadavres ; ceux de ces hommes. Il bouge de plus en plus pour essayer de se détacher, mais c'est en vain. Au bout du compte, sa chaise tombe avec son corps, et au loin il entend des pas qui s'approchent. 'M*rde, m*rde, M*RDE, FAIS CHI*R, M*RDE !'

Soudainement une grande porte s'ouvre et quatre hommes rentrent doucement. Deux autres hommes le relèvent du sol ; la lumière du soleil l'aveugle.

« Regardez-le, pathétique et dégouttant...Amenez-le dehors ! Et brûlez-moi tout ça

On lui met un sac noir sur la tête, et il murmure sans arrêt. Ichiro peut sentir l'odeur de la gazoline, et peut entendre le bruit du liquide coulant sur le sol. Quand on le lui enlève quelques minutes plus tard, Il est assis sur une chaise au plein milieu du désert avec quatre hommes habilles en noir qui l'entoure.

« Alors tu penses venir ici sur nos territoires et tuer qui te chante, ou voler ce qui te chante... Les choses ne se font jamais de cette manière mon vieux ». C'était bien sur le chef de la mafia Russe Feogor Bogati, avec son accent Russe mis à l'évidence.

« Vous faites la plus grosse bêtise de votre vie ! » exclame Ichiro. Un baffle lui atterrit au visage.

« Calme-toi Feo, on en finira avec lui après » dit le chef Iraqien Akbaru Hamza après avoir craché au sol.

« Ma famille va tous vous exterminer ! ». Le nez d'Ichiro coule du sang et son visage à des marques bleues et noires.

Finalement le troisième et le quatrième étaient le père et son fils, Les Benedicto, qui ont en mains des gallons de gazoline rouges et des briquets. « Famille ? Toi, tu possèdes de la famille, espèce de chien ?! Tu as osé toucher à nos familles, alors on t'expédie là où tu devrais être. Rien de personnel, juste du business pas vrai ? Et bien voilà... ».

Après ces propos, Guido et Antonio versent toute la gazoline sur le pauvre monsieur qui cri des insultes en Japonais ; il devait rejoindre ses partenaires tôt ou tard. Le Russe prend un briquet, ainsi que l'Iraqien, et bien sur les deux Italiens. Ensemble ils les envoient sur Ichiro qui, au moment où les flammes commencent à apparaître, hurle comme un fou retenu prisonnier. Les quatre ont ensuite fumé leurs cigares comme si de rien n'était, et sans dire des au revoir, ils partent tous vers leurs propres chemins.

Après ces longs jours aux USA, Antonio part avec son père vers l'Italie pour ensuite retourner en Espagne. Il n'a pas téléphoné Angella pour des raisons de sécurité, mais bien sûr elle ignorait tout cela. Il se demande, sous la douche chez lui en Italie, si elle l'aime encore ; il envisage avec certitude que cette attitude ne lui a surement pas plu. Après une bonne douche et un bon diner, il décide de surprendre la femme de ses rêves en lui payant une visite. Il salut d'abord son père qui se trouve a son bureau.

« Padre, je m'en vais aujourd'hui. Je ne peux plus passer une journée ici, j'ai raté trop de classe. » Antonio dit en regardant son père fumer son cigare préféré dans la salle.

Trop classe.

« Hm. C'est sûr. Tu es certain que c'est la seule et l'unique raison de ton empressement ? » Guido demande en toute franchise.

Antonio sourit et embrasse la joue de son père. Il monte prend son bagage qui était pose sur la dernière marche d'escalier, et fonce vers la porte d'entrée. Il conduit vraiment vite et se fout des policiers ; il doit se rendre à la piste de son jet. Il a besoin d'elle et ceci le plus tôt possible. 



L'Espagne, j'arrive !

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*Soumis a l'Amour*Où les histoires vivent. Découvrez maintenant