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Isaac.

Elle était allonger sur ce lit,comme une personne sans vie

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Elle était allonger sur ce lit,comme une personne sans vie. C'était affreux la douleur que je ressentais à ce moment là.

Pourquoi c'est moi qui m'en suit sorti? Je donnerai coeur et âme pour revenir en arrière,les yeux fermés si j'avais le choix d'être à sa place je l'aurais fais.

Il ne pouvait pas me m'enlever. Non,pas maintenant. Il a attendu qu'elle soit importance dans ma vie,que je tienne à elle pour la faire partir? Ce n'était absolument pas le moment qu'elle s'en aille.

J'ai le cœur meurtri,j'ai tellement mal que il m'est impossible de calmer cette putain de douleur,je l'a veux au près de moi. J'ai tellement honte,c'est de ma faute tout ça. J'étais tellement heureux ce soir la que j'ai même pas fais attention a un quelconque danger,j'étais tellement heureux à l'idée qu'elle et moi allions enfin accomplir une étape dans notre vie,j'étais dans un rêve qui a vite tourner au cauchemars.

-Yemma : « Isaac,vient manger mon fils je t'ai emmenée à-...»

-Isaac : « J'ai pas faim,quand elle reviendra je le ferai elle-...»

-Rehan : « Tu vas pas te privé de manger parce que elle est dans le c-...»

-Isaac : « Déjà qui t'a autoriser à mettre un pied ici toi hein? Arrache ta gueule de là,j'veux pas te voir.»

J'avais même pas fais attention à çà présence et honnêtement je m'en contre fiche. Il faisait l'intéressant zerhma il venait la voir,mais dehors il l'a donnait même pas l'heure,bouffon.

-Isaac : « Arrache toi qu'est ce que tu comprends pas la,j'ai l'air de faire un spectacle pour que tu me regardes comme sa zebi,casse toi.»

-Aziz : « Calme toi,tu-...»

-Isaac : « Ferme la toi aussi,casse toi. Même pas cassez vous tous w'allah je veux voir personne.»

Honnêtement je m'en foutais complètement de passer pour le dernier des bouffons mais les voir tous là à me prendre en pitié me mettais hors de moi,j'avais pas de temps à les accorder mon esprit était bien occuper à autre chose que les écoutais.

-Yemma : « On repasse après.»

Faite dont vous aviez envie ça m'est complètement égale. Mais yeux parcoururent tout le long de son corps,elle était bandait sur tout le bras gauche et la jambe droite. Elle avait des petites blessures sur son beau visage. Rien que la regardait me soulager et m'apaiser le coeur.

-Isaac : « Réveille toi ma princesse,j'ai besoin de toi dit-il en liant délicatement leurs mains. Tu peux pas me laisser comme ça,ni laisser ton fils. Je ne veux même pas imaginer ce que ça me ferait si jamais tu n'en viens pas à te réveiller. Bat-toi,je t'en supplie.»

Désespérer ma tête tomba en avant sur le rebord du lit,ça faisait à peine une semaine qu'elle n'était plus la que je n'en pouvais déjà plus. J'ai même pas une seule fois quitter cette hôpital depuis que nous y somme,je ne veux pas.

-Isaac : « Tu peux pas me laisser,tu peux pas me laisser répéta t-il en boucle

Je sentis une main à niveau de mon épaule,je leva aussitôt la tête ayant espoir que ça puisse être elle,mais c'est avec désespoir que je tombe sur l'infirmière.

-Infirmière : « Je dois changer madame vous pouvez alla-...»

-Isaac : « Tous les jours je suis là t'ouvre pas ta bouche pour me dire quelque chose et aujourd'hui zerhma tu le fais,j'bouge pas.»

Ils commençaient à tous m'énerver dans cette hôpital,j'avais l'impression qu'ils ne servait à rien,c'était le cas bordel. C'est quoi ses personnels incapable. Et puis qu'est ce qu'elle voulait à me faire chier habituellement elle l'a changer dans la chambre,elle n'avait rien à me dire je ne regardais même pas.

-Infirmière : « Vous êtes sur la défensive pour rien,vous savez ça ne sert à rien d'être accrocher comme ça peut-être que madame partira bientôt.»

-Isaac : « Tu ne sais pas c'est quoi perdre une personne chère,en attendant parle pas avec moi je te connais et j'ai pas non plus envie de te connaître ni entendre tes conneries,change ma femme et parle pas chinois.»

-Infirmière : « Sincèrement c'est votre femme?»

-Isaac : « Je te demande comment elle va t'a grand mère moi? Non,alors me casse pas les couilles sah.»

Une migraine,Je l'ai laisser parler seul j'en avais absolument rien à branler ce qu'elle me racontait. J'étais bien trop occuper à espérer qu'Aleina puisse ce réveiller. Les gens trop curieux comme ça,je les aimes pas ils veulent tout savoir sur ta vie et jacter dessus après. Même dans le mal j'irais jamais me confier chez un inconnue,c'est ce tirait une balle dans le pied faire ça.

-Isaac : « Ne jamais renoncer face à la difficulté. Il faut que tu te battes jusqu'au bout ma princesse.»

Je n'ai pas forcément les mots pour te le dire mais je suis là pour toi,mais je sais que tu le sais,tu le sens.

Je pense à toi chaque jour. Que ma force soit avec toi. Tu ne sors pas une seul fois de mon esprit. J'ai tellement peur de ce qui peut ce passer que je reste accrocher à ton chevet. J'ai peur de bouger de la chambre et que je revienne qu'on me dise que tu n'es plus là.

Je ne veux pas rater ma chance d'être heureux avec toi,j'sais que j'peux te rendre heureuse et que ensemble ça serait le bonheur absolu. Tu ne peux pas me laisser,je  t'en supplie. Ne fais pas ça.

Je sentis le drap bouger,je lève ma tête et aperçoit Aleina essayait d'ouvrir les yeux. À ce moment j'étais tellement heureux que je n'ai même pas eu de réaction.

C'était incroyable et magique. J'étais tellement content,elle ouvrit grand ces yeux et me regarda l'air perdu. Elle observa la pièce dans un silence totale,l'infirmière c'était occuper d'aller chercher les autres.

-Isaac : « J'suis tellement heureux,merci mon dieu. W'allah je-...»

-Aleina : « Excusez-moi de vous interrompre mais ou je suis? Et qui êtes-vous?»

Double vie - 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant