La Mort :
《 Qu'importe la force de caractère de la personne, qu'importe le lieu où elle se réfugie ou le moyen par lequel elle se protège, elle peut rencontrer sa mort à n'importe quel moment. Elle n'a pas le choix. Dis: "La mort que vous fuyez va certes vous rencontrer. Ensuite vous serez ramenés à Celui qui connaît parfaitement le monde invisible et le monde visible et qui vous informera alors de ce que vous faisiez." (Sourate al-Jumua: 8)
Où que vous soyez, la mort vous atteindra, fussiez-vous dans des tours imprenables... (Sourate an-Nisa: 78)
Pour ces raisons-là, nous devons arrêter de tricher avec nous-mêmes ou de jouer les indifférents, et nous efforcer de gagner la satisfaction de Dieu durant cette durée de vie qu'Il nous accorde. Dont Lui Seul connaît le terme.
Notre prophète Mohammed (psl) nous a dit que l'un des moyens de se prémunir contre le durcissement du cœur et d'atteindre la piété est de se rappeler souvent de la mort.
Abdallah Ibn Umar rapporte que le Messager de Dieu (psl) a dit: "Vos cœurs deviennent rouillés comme le fer touché par l'eau." On lui demanda comment les nettoyer. Il répondit: "En se rappelant souvent de la mort et en récitant souvent le Coran." (al-Tirmidhi, 673) 》
Extrait : Islam Media
NDA : Qui veux la suite du paradis ? Parce que j'ai remarqué que l'enfer a eu moins de votes. ( Rires ) Dîtes, qué passa ? Ça pique ou ça goutte ?
Bon, je blagues, effet Marianne ...Qu'Allah vous protège et vous guide les frères et soeurs ! Je souhaite de tout coeur qu'il donne à chacun de vous le meilleur pour lui.
● Et s'il vous plaît repassez vers le chapitre 26 pour voter parce que je l'avais supprimé pour le rectifier, ensuite je l'ai republié. Merci d'avance.Wa Allâhou A'lam
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Vous arrive-t-il de penser à la souffrance de nos mères durant l'accouchement ? Ce n'est pas pour rien qu'on affirme que notre paradis se trouve sous leurs pieds. Rien n'est plus beau, que de voir le sourire angélique de sa mère, ses éclats de rires avec une magnifique dentition toute blanche, ses deux mains qu'elle joigne pour te transmettre leur joie franche. Elles sont tellement douces comme les docteurs honnêtes et affectifs avec leur longue blouse blanche. Ma grand-mère me disait jadis, d'éviter de rendre ma génitrice en colère. Lorsqu'elles nous crient dessus alors que nous ne sommes même pas fautifs, de grâce taisons-nous. Si nous sommes à l'extérieur, qu'importe le lieu, défendons-les jusqu'à en perdre le souffle.
Si elles ne se sentent pas bien, suspendons donc tout ce que nous faisons et prenons soin d'elles. La santé d'une mère n'a pas de prix, et nous aurons le temps de poursuivre notre activité suite à leur bénédiction.
Si nous avons ne serait ce qu'un petit billet de mille francs, achetons une petite chose qui les fera énormément plaisir. Les actes ne valent que si l'intention est bonne.Ma mère adore les pommes, un jour elle m'avait remis deux cents francs pour mon goûter. C'était quand j'étais à l'élémentaire. En allant à l'école, elle a eu des maux de ventre atroces, elle gémissait, puis vomissait, du coup elle n'avait rien avalé. Moi aussi je n'avais rien mangé de toute la journée pour pouvoir lui acheter cette pomme qui coûtait exactement ce qui se trouvait dans ma poche.
Au retour, je suis passée par le marchand de fruits pour acheter la pomme. C'est au moment où je me retournais pour rebrousser chemin, qu'un homme de 170 kilos m'a bousculée rageusement et ma chute ressemblait presque à celle des trucages de Jackie Chan dans ses films chinois. Et la pomme rejoignît furtivement la boue, elle était toute sale et toute deguelasse comme une vielle vase sans décor dont la potière est lasse. J'ai pleuré longuement, et en me relevant je fit face à deux sachets de pommes, toutes fraîches, chacun contenant une douzaine. J'ai sourit au monsieur avec un visage baigné de larmes, et il s'est finalement excusé en arrageant ma robe et mes cheveux qui étaient en bataille.
Mon intention était juste de lui offrir une pomme, et je me retrouve comme ça avec ving quatre fruits. Allah fait bien les choses.
Arrivée dans ma demeure, J'ai dévalé les escaliers pour lui tendre les deux sachets. Mais connaissant nos mères, elles nous demandent en premier lieu, d'où provenait ces sachets. Je lui ai narré ce petit passage brièvement, et elle m'a pris fortement dans ses bras en éclatant bruyamment. Ensuite elle m'a dit ceci " Yalla bo meuss moy yalla sama doom, yalla nala sunu borom aar ( Qu'Allah fasse que tu ne dévies jamais son chemin ma fille, et qu'il te protège ! ) "
Même si à l'adolescence, j'étais libre comme une feuille morte en faisant ce que bon me semble, sa prière m'a poursuivit et aujourd'hui je pratique jalousement ma religion.
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La Revanche
Non-FictionVoulez-vous découvrir l'histoire d'Oumou Kalsoum ? Alors vous attendez quoi ? la balle est dans votre camp !!!