La Revanche

Chapitre 49

➡️ De certains comportements Généraux et bénéfiques ⚘ :

Le prophète Aleyhi Salatul Wa Sallam a dit : < Maintenez vos enfants chez vous lorsque vient la nuit car c'est à ce moment que les démons se répandent. Lorsque, alors, la nuit s'est bien installée, laissez-leur la possibilité de sortir. Fermez vos portes en mentionnant le Nom de Dieu, car le diable n'ouvre pas une porte fermée. Maintenez les outres fermées en mentionnant le Nom de Dieu. Recouvrez vos récipients, ne serait ce qu'en posant quelque chose dessus en mentionnant le Nom de Dieu, et éteignez vos lampes >.
(Rapporté par Buhârî et Muslim).

Puisse Dieu accorder miséricorde, salut et bénédiction à notre prophète Muhammad ainsi qu'à sa famille et à l'ensemble de ses compagnons.

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➡️ Caractère méritoire du rappel de Dieu ⚘ :

Le prophète Sallalahu Aleyhi wa Sallam nous dit : < Il en est de celui qui évoque le souvenir de son Seigneur et de celui qui ne L'évoque comme il en est du vivant et du mort >.
< Ne vous indiquerai-je point la meilleure des oeuvres que vous puissiez accomplir, la plus pure auprès de votre Seigneur, celle qui vous élève le plus en degrés, qui est le plus méritoire que l'or et l'argent que vous pourriez dépenser et plus méritoire encore que le combat que vous pourriez mener contre votre ennemi sur les champs de bataille ?> Ils ( les compagnons ) dirent: < Bien sûr, ( ô prophète ) >. Et ce dernier de dire alors: < L'évocation du souvenir de Dieu, Exalté soit-Il >.
(Rapporté par Tirmidî et ibn Mâja).

Dieu, Exalté soit-Il, dit: < Je suis pour Mon serviteur ce qu'il croit que Je dois être, et Je suis avec lui chaque fois qu'il évoque le souvenir de Mon Nom. Ainsi, s'il M'évoque en lui-même, Je l'évoque en moi-même. S'il M'évoque auprès d'une assistance, Je l'évoque auprès d'une assistance meilleure encore. S'il se rapproche de Moi d'un empan, Je me rapproche de lui d'une coudé. S'il se rapproche de Moi d'une coudée, Je me rapproche de lui d'une brasse. Et s'il vient à Moi en marchant, J'irai vers lui en accourant >.
( Rapporté par Buhârî et Muslim ).

Source : La citadelle du musulman de Shayh al- Qahtânî, chapitre 132 page 320/ 12, 13,14.

Wa Allahu A'lam

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- Salam aleykum ! Salut-il habituellement en joignant ses mains claires, immaculées et soigneuses !

- Aleykum salam, murmura Oumou qui s'en tamponner le coquillard !

- Oum...

- Ta mère est dans le salon, dit-elle en se retournant pour déposer bébé Muhammad !

Elle le donna à Ma Fati, sachant pertinemment que Youssoupha voudrait le porter aussi. Le bébé dormit illico dans les bras de sa mémère car il n'avait pas dormit la veille forçant constamment pour rester éveiller.
Youssoupha salua intensément sa mère les yeux rivés sur Oumou, sans les ciller d'ailleurs. Son air glacial le rendit frileux. Sa température changea et l'atmosphère lui parut fétide. Son ex femme ne lui a même pas donné l'occasion de le saluer chaleureusement. Hélas, il a oublié d'appréhender la rencontre. Il acquiesça, le cœur touché, en rejoignant le lieu indiqué, ne voulant pas provoquer d'exaspérations.
S'asseyant près de sa mère, il caressait les petites mains de bébé Muhammad qui dormichonnait. Sa voisine très triste, manquait de convulser car elle voyait la lueur de tristesse qui reflètait sur ses mirettes.

- Comment tu te portes ?

- Très bien mon fils, tu es émacié là, qu'est ce qui ne va pas ? C'est le bureau ? Questionna Ma Fati très inquiète !