Chapitre 22

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Nazim : tu voulais être ma femme ? Ok t’aura ce que tu voulais . 

Il me pousse dans la voiture , ferme la porte et monte à coté de moi . 

Moi : qu’es-que tu fais ? t’es fou !! 

Nazim : met ta ceinture .

Moi : je veux descendre 

Nazim en criant à haute voix : METS TA CEINTURE !!! 

J’avais super méga peur !!! il était enragé ! il avait le regard de tueur ! un regard noir ! il roule très vite , le regard rivé sur la route . Mon téléphone se met à sonner c’était Kaan qui voulait se rassurer que tout allait bien .

Au fait avec Kaan on est devenu de bon potes , on passait toute la journée ensemble dans le magasin , il me faisait rire avec son français mélangé avec un peu de turc , arabe , il est de nature calme , avec lui on sent la sérénité il est devenu un véritable ami sur qui je pouvais compter les yeux fermés .

Donc mon téléphone sonne , je le prend puis je n’ai rien vu venir que Nazim l’a prit , il l’a mit dans sa poche . 

Moi : rend moi mon téléphone !! Nazim t’es conscient de ce que tu fais ? ou va tu m’emmener ? qu’es-que tu va faire ?

Il me répond pas , roule vite , on arrive dans une cité , il se garde et sort de la voiture , me tiens par le coude pour me faire marcher plus vite.

Moi : lâche moi Nazim je veux pas rentrer !! 

il me dit rien 

y avait des hommes qui tenaient le mur , personne n'a bougé pour venir voir ce qu'il se passe , il y avait même quelques uns qui rigolaient ! 

je n'avais aucun espoir que quelqu'un vienne me sauver .

on rentre dans l’immeuble , je ne cessais de lui dire de me laisser partir , il répondait pas ! on prend l’ascenseur , puis il sort des clés de sa poche , toujours me tenant le coude , ouvre une porte et me pousse à l’intérieur et ferme la porte à clé .

Je me suis retrouvée dans un appart que je connaissais pas avec un homme que je reconnais plus , c’était un monstre devant moi pas l’homme que j’ai aimé . 

Moi : pourquoi tu m’a emmené ici ? qu’es-que tu va me faire ? 

Je commençais à pleurer . 

Lui m’ignorant se dirige vers la cuisine , je me précipite vers la porte essayant de l’ouvrir .

Nazim : t’casse même pas la tête à crier personne ne viendra même pas les flics n’osent pas approcher la tess . 

Je vais dans la cuisine , je le trouve entrain d’allumer un joint tranquillement . 

Moi : laisse moi partir ! t'es devenu complètement cinglé !!

Nazim : on doit parler .

Moi : je veux pas parler ici ! 

Nazim : tu veux jamais parler toi !! pourquoi tu comprend pas !! 

Moi : comprendre quoi !! explique moi !

Nazim : je t'aime Faten !! elle c'est juste une p*** que je connais même pas son prénom . 

Moi : je m'en bats !!! je veux rentrer chez moi , fais ce que tu veux de ta vie ! je ne veux plus de toi dans la mienne 

Il se rapproche de moi , je recule , j’avais vraiment peur de lui , je le reconnaissais plus , je recule jusqu’à l’autre bout du couloir , je vois une porte ouverte à ma droite c’était une chambre avec un grand lit , je commençais à flipper à la limiter je suer !! il arrive jusqu’à moi et me plaque contre le mur .

Je sentais tout le poids de son corps collé sur le mien .

Nazim : wlh je t’aime plus que ma vie Faten , c toi ma femme ! 

Son regard était bizarre ça me donnait des frissons ( pas des frissons de plaisir mais de peur hun ! ) 

Moi : Nazim tu me touche wlh tu va le regretter 

Nazim : pourquoi tu m’aime pas ?

Moi : Nazim t’es pas conscient ! tu le regrettera 

Nazim : ya pas d’autre façon pour que tu sois à moi à vie 

Moi : je serai jamais à toi si tu me touche 

Il dit rien 

Moi : laisse moi partiiir je t'en supplie Nazim 

Mon téléphone dans sa poche se met à sonner , il était à peu près 21 h , il le sort et son visage changeait de couleur .

Nazim : dis moi pas que c’est juste ton pote !! pourquoi il arrête pas de t’appeler ( il parlait de Kaan ) 

Moi : wlh c mon pote y a rien entre nous , stp laisse moi partir 

Au début j’ai cru avoir réussis à la convaincre , il se met à réfléchir puis me prend par le coude aussi violemment qu’il pouvait me pousse vers la chambre , en moins d’une seconde je me suis retrouvée sur le lit Nazim sur moi .

Je pleurais je le supplier de me laisser partir , de ne pas me faire du mal , de ne pas me toucher . Il tenait mes poignées avec ses mains , me bloquait les pieds avec ses pieds , son visage était si prêt du mien , il détaillé mon visage et mes traits puis il se met à …… 

Perfection d'amour ? Je dirais bien mon histoire .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant