P.D.V. Léon :
Lundi 7h00
La sonnerie de mon réveil "Tu Resplandor" se met à sonner et me réveille. A chaque fois que je l'écoute je me demande qui peut être la voix féminine derrière cette chanson. Elle me fais tellement de bien et me fais oublier une période de ma vie. Il y a quatre ans j'ai participé à la version espagnole du film high school musical et ce n'est pas que je le regrette mais j'aurais préféré rester dans l'ombre plutôt qu'être sous les feux des projecteurs. Je ne suis pas quelqu'un qui aime s'afficher pour pouvoir prétendre exister. Chacun à sa propre lumière qui brille au fond de son cœur c'est ce que je me dis. Sur ce tournage, j'ai eu l'occasion de rencontré la personne avec qui aujourd'hui je partage ma vie Stéphie. Elle est adorable, simple et comprends mon point de vue en tout point quand je dis que je ne veut en aucun cas être comparé à des grandes stars. Aujourd'hui, j'ai tourné la page et je préfère me consacrer sur mes études plutôt que de rester dans le chant. pas parce que chaque personne que je connait me dise que j'ai une voix faite pour rester dans la chanson mais parce que c'est mon envie et personne ne me fera changer d'avis. J'éteins mon réveil et me prépare mon partir en cours quand je reçois une notification sur mon téléphone c'est un mail de l'université de Buenos aire. Je l'ouvris et tomba des nus à la lecture de cet e-mail
" Bonjour,
N'ayant pas donné suite pour la poursuite de vos étude, nous ne pouvons donner un avis favorable à votre candidature, nous vous souhaitons une bonne continuation dans votre poursuite scolaire ainsi que votre recherche d'université
cordialement
L'université de Buenos aire "
Je relus le message plusieurs fois pour être sur que je ne rêvais pas mais le message étais bien réel. J'avais du mal à accusé le coup car j'étais persuadé d'avoir remplis les papiers nécessaires pour pouvoir être un élève de l'université de Buenos aire. Mais le dossier je l'avais confié à ma mère pour qu'elle puisse leur faire parvenir. Je ne comprenais pas pourquoi il ne l'avais pas reçu soit il s'étais perdu au courrier soit il ne leur étais pas parvenu. je descendis en trombe les escalier à la recherche de mes parents. Je trouva mon père en pleine conversation avec quelqu'un au téléphone et ma mère en train de ranger ses dossiers. Je ne voulais pas un scandale sachant que mon père m'en voudrait de lui avoir fait rater une occasion d('avoir du travail. Ma mère leva les yeux et me vis chercher des papiers.
Ma mère : Tu cherches quelque chose mon chéri ?
Moi : Non pas particulièrement. Je me documente sur deux trois chose et je regardais si vous aviez des livres.
Ma mère : Sur quoi ?
Moi : Sur la diplomatie par exemple.
Ma mère : Attends, je vais regarder.
Elle rabattis un peu la porte et regarda ce qu'elle pouvais avoir. Je m'approcha d'elle et ferma la porte sans faire de bruit. Ma mère se retourna et me regarda d'un air interrogateur.
Ma mère : Pourquoi as tu fermé la porte ?
Moi : Je ne voulais pas déranger papa dans sa conversation.
Ma mère : Tu as quelque chose de particulier à me demander qui nécessite que tu exclu ton père ?
Moi : Oui. Dis moi Tu as bien envoyé mon formulaire d'inscription pour l'université de Buenos aire ?
Ma mère : Bien sûr que oui pourquoi tu me poses cette question ?
Moi : Car ta réponse ne concorde pas avec le mail que j'ai reçu de leur part
Ma mère : Viens en au fait, je n'ai pas toute la journée, j'ai du travail et si je parle avec toi ça ne va pas se faire tout seul si tu vois ce que je veux dire.
Je lui montra mon téléphone et lui mis la page de mon mail. Il alterna entre le téléphone et moi et ne comprenais pas ce qui avais bien pu se passer. Je la vis s'inquiéter et se diriger lentement vers son sac. Elle commença à le fouiller minutieusement et s'arrêta d'un seul coup.
Moi : Qu'est ce qui se passe. Tu m'inquiètes tu te lèves, cherches dans ton sac et t'arrêtes d'un coup comme ça.
Ma mère : Je suis désolé mon chéri.
Moi : Désolé de quoi ? De quoi tu parles ?
Ma mère : Je parles de ça.
Elle me sortis une enveloppe et je la regarda dubitative. Elle me la tendis et me regarda honteuse. Je crois que je comprenais ou j'avais peur de comprendre ce que c'étais. Lorsque je l'eu enfin entre les mains, je n'eu plus aucune suspicion à savoir de quoi il s'agissait. Il s'agissait de mon formulaire d'inscription à l'université. Que faisait il encore la ?
Moi : Tu peux m'expliquer ce que ce dossier fais encore là alors que je t'avais demander de me l'envoyer ?
Ma mère : Je suis désolé mon chéri.
Moi : J'attends plus une explication et tu m'en dois une non ?
Ma mère : J'avais beaucoup de papiers à envoyé ce jour là et je pensais avoir tout envoyer au courrier.
Moi : Tu avais mis mon dossier dans ton sac et tes courriers ou ?
Ma mère : Je les avais à la main.
Moi : Je ne vais pas chercher plus loin. Tu as envoyé tes dossiers que tu avais en main mais tu as oublié mon courriers. Lorsqu'il s'agis de tes clients cela passe en priorité mais lorsqu'il s'agis de ton fils, tu peux te permettre d'oublier. J'ai compris qu'à vos yeux je passerais toujours après et ça dans n'importe qu'elle situation. Je vais aller dans qu'elle école maintenant.
Ma mère : Tu as été inscrit au studio. Nous avons reçu une lettre hier matin au courrier. Elle nous était adressé mais elle correspondait à tes études.
Moi : Et vous n'avez pas juger bon de m'avertir ? Tu sais quoi reste avec ton travail il te va si bien. Toi comme mon père lorsque vous privilégierez votre vie de famille vous me ferez signe.
J'étais tellement énervé que je pris la plupart des dossiers de ma mère et les envoya sur le sol. J'ouvris la porte et n'attendis pas mon reste pour sortir de cette maison. Je savais que leur travail étais important mais de la à en oublier leur fils il ne fallait pas exagérer non plus. Je n'entendis pas ma mère m'appelé. J'avais besoin d'un peu d'air donc je chercha en urgence mes écouteurs pris mes affaires et mon téléphone et sorti. Ils pouvaient bien me chercher cela m'étais égal tant qu'il ne comprendrait pas que leur fils était important à leur yeux, je ne leur adresserait plus la parole. Je pris une grande respiration et mis ma musique dans mes oreilles. J'avais besoin de changer d'air avant d'aller dans cette nouvelle école. Je n'avais demander aucun détails concernant cette nouvelle école ou je devais me rendre à ma mère, mais je me disais que me connaissant elle aurait choisi en fonction de mes spécialité. Plus j'avançai plus je me disais que même si mes parents n'étaient pas exemplaires, je ne devais pas leur en vouloir. j'écoutais une chanson qui expliquait justement que malgré que la vie ne soit pas parfaite on pouvais pardonner une erreur mais on ne pouvais pas pardonner ce qui n'était pas pardonnable. Je leva la tête et tomba sur quelqu'un qui devais vraiment être étourdi pour ne pas regarder ou elle allai. Cette personne allait traverser et se faire renverser. Je courus dans sa direction et la retient en arrière en criant
Moi : Attention.
Je laissa le camion passer et la personne se retourna en me regardant. Je ne m'étais pas rendu compte que je la tenais toujours. Je baissa la tête cherchant son regard mais elle me regardait pas comme je l'aurais espérer, elle était en colère . Pourquoi ? je l'avais sauver d'une mort certaine ? Qu'avais je temps fais de mal ?
A suivre
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Our story, our battle tome 1
RomanceNouvelle histoire Léonetta, je vous laisse la découvrir