P.D.V. Violetta :
Moi : En retard pourquoi ?
Fédérico : Tu n'as pas oublié ton rendez vous avec Léon ?
Moi : Il me reste encore du temps il n'es que quatorze heure.
Fédérico soupira à ma réponse.
Fédérico : Tu ne va pas te présenter comme ça quand même ?
Moi : Dis tout de suite que je ressemble à rien ? De son meilleur ami cela fais toujours plaisir.
Fédérico : Non, tu ne ressemble pas à rien mais il est préférable que tu mettes une robe, arranges tes cheveux et mettes une touche de maquillage si tu vois ce que je veux dire.
Moi : Non je ne vois pas et même il s'agit de Léon. Quel serait l'occasion pour que je me refasse une beauté ?
Fédérico : C'est peut être la dernière fois que tu le vois. Ça te va comme réponse ?
Je sursauta à sa réponse. Léon ne m'avait pas parlé de ça dans sa lettre . Je commençait à m'inquiéter. Fédérico le sentit et se retourna vers moi.
Fédérico : Violetta, tu n'as pas à t'inquiéter. Léon l'à dit, il fera tout pour être avec toi. Il respectera sa promesse ou trouvera toujours une solution. Tu es ce qu'il à de plus cher Violetta. Je vais te demander une faveur. Ne l'abandonne pas. Je ne veux pas le retrouve comme la dernière fois.
Moi : Tu me dis que 'est peut être la dernière fois que je le vois et me demande de ne pas m'inquiéter ? Non mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Je m'inquiète sans cesse pour Léon. Il est ce que j'ai de plus cher. Après ce qu'il m'a révélé, comment veux tu que je reste calme avec ce qu'il endure au quotidien du à la pression de son père ? S'il lui arrivait quelque chose je ne m'en remettrais pas. Par contre, je vais te dire une chose. Je te promets que je ne l'abandonnerais pas. Je puise ma force en lui quand il n'est pas la je me sens triste.
Fédérico : Merci Violetta. Je te garantis que tu vas le revoir. Mais pour l'instant je dois te préparer pour le rendez vous du siècle.
Moi : N'en rajoute pas non plus et d'ailleurs tu n'es pas avec Ludmilla ?
Fédérico : Elle nous attends à l'appartement. Elle est partie telle une furie quand je me suis fait aborder par une bande de fans.
Moi : Fédé ....
Fédérico : Ce n'est pas de ma faute si je suis irrésistible.
Moi ; J'aurais tout entendue. Tu as dis quoi ?
Fédérico : Que j'étais irrésistible.
Moi : Toi ? Irrésistible ? Comment j'ai fais pour te résister alors ?
Fédérico : Tu es peut être amoureuse de moi mais ne le sais pas encore.
Moi : Idiot.
Fédérico : Ou alors non. J'ai une réponse rationnelle à tout ça. Vu que tu sors avec mon meilleur ami tu es tombé sous son charme avant moi.
Moi : Tu va arrêter de dire des idioties à la fin ?Je vais limite croire que tu prends le melon.
Fédérico : Tiens, tu me rappelle quelqu'un mais il m'avais dis que j'étais un génie lui.
Moi : De qui tu parles ?
Fédérico : De Léon. Pour cela vous vous complétez bien.
Je rougis à sa réponse.
Fédérico : On dirait que tu vas mieux ?
Moi : C'est vrai, c'est grâce à toi. Merci Fédérico.
Fédérico : C'est normal. Je suis peut être bien un génie finalement.
Je le frappa contre toute attentes.
Fédérico : Aie... Vilu...
Moi : Ne me dis pas que le grand génie que tu es à eu mal à cause d'une fille ? Je m'offenserais.
Fédérico : Non. Mais je vois qu'il ne vaut mieux pas te chercher.
Moi : Non. On y va ?
Fédérico : Je rêve. C'est toi la pressée maintenant ?
Moi : Pour Léon oui.
Je me mis à courir le laissant un peu en retrait. Il se mit à courir également quand d'un coup je m'arrêta devant les portes. Fédérico, dans son élan, ne m'ayant pas vu me rentra dedans, me faisant tomber au passage. Fédérico se releva non sans difficulté et me tendis la main que j'accepta. Je me redressa.
Fédérico : Pourquoi tu t'es arrêtée ? Je croyais que tu étais pressée ?
Moi : Je viens de me rappeler que j'ai oublié mon parapluie à la maison ce matin et tu as vu ce temps menaçant ?
Fédérico : On à qu'a courir et même tu devra te changer.
Moi : Tu as raison.
Fédérico : Toujours.
Moi : Tu ne vas pas recommencer.
Nous nous mettons à rire d'un coup. Fédérico n'étais pas mon meilleur ami pour rien. Il me prit la main et nous coururent à travers rue. J'avais un point de côté mais je le laissa vite de côté repensant à Léon. Que faisait il à cet instant précis ? Comment avait réagit ses parents vis-à-vis de notre relation ? Tant de question se bousculait dans ma tête que je manqua plusieurs fois de tomber. La dernière fois fut près de l'appartement et Fédérico me rattrapa, il se montrait prévenant avec moi.
Fédérico : Alors on est dans la lune ?
Moi : Très drôle. Je pensais à autre chose surtout.
Fédérico : A autre chose ou à quelqu'un en particulier ?
Il se rapprocha de moi et me murmura à l'oreille le nom de la personne que j'aime le plus. Mon cœur ne fit qu'un tour.
Fédérico : J'ai vu juste à ce que je vois.
Moi : C'est pas juste. Je ne peut même pas me venger mais sache que tu ne perds rien pour attendre.
Fédérico : J'ai hâte de voir ça.
Pourquoi on se comportait comme chien et chat ? Je n'en avais aucune idée mais ça fonctionnait toujours comme cela entre nous depuis que Fédérico à fait irruption dans ma vie. Je dois bien reconnaitre que ce n'était pas simple. Au début, il était prétentieux comme pas deux et pourtant on à réussi à établir un lien de confiance entre nous et il est devenu une personne à qui je pouvais confier mes doutes, mes peines et mes relations. Il m'avait conseillé pour Thomas mais est ce que c'était pour préserver ma prochaine relation avec Léon ? Après tout il se connaissais aussi tout les deux et je ne connaissais pas leur histoire. Il y avais tant de chose que je ne connaissais pas de Léon. Pourtant au vu de nombreux mois que nous avions passé ensemble , je pensais un connaître un peu plus. Peut être que cela viendra avec le temps. Je ne dois pas le brusquer. Léon à suffisamment de problème dans sa vie pour que je lui rajoute mon problème par-dessus le marché.
Fédérico : Allo la terre ! Violetta tu es avec moi ?
Moi : Oui bien sûr.
Fédérico : Te connaissant, tu n'as pas écouté un traitre mot de ce que j'ai dis. Tu étais sur la planète Léon.
Moi: Entre autres mais aussi sur ta planète.
Fédérico : Laisse ma planète tranquille. Seule Ludmilla peut y accéder.
Moi : Quel rabat joie. Je croyais que tu étais irrésistible.
Fédérico : C'est vrai mais mon cœur est pris et je n'irais pas voir ailleurs.
Moi : Je suis fière de toi.
Je lui ébouriffa les cheveux, lui tira la langue et m'élança vers l'appartement en rigolant. Je me sentais légère avec mes amis. Nous rentrons dans l'appartement en même temps avec Fédérico qui avait essayer de me rattraper pour se venger entre temps. Nous tombons sur Ludmilla qui nous regarda dubitative de la situation dans laquelle nous étions.
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Our story, our battle tome 1
RomanceNouvelle histoire Léonetta, je vous laisse la découvrir