P.D.V. Léon:
Tout tourne autour de moi. Je me tourne et me retourne dans le lit. Je suis réveillé depuis une bonne heure. Je crois que j'angoisse trop sur le notre départ. Je ne sais plus si c'est une bonne idée mais nous devons tenter le tout pour le tout avec Violetta. Je ferme à nouveau les yeux et essaye de me replonger dans mon rêve.
* Rêve *
Nous étions sur la route lorsque soudain j'entendis les sirènes des gendarmes. Je regarde Violetta d'un coin de l'œil. Je remarqua qu'elle me regardait et ne savait pas trop comment réagir. Je réduis ma vitesse pendant que j'étais dans l'excès et que nous n'aurions qu'un avertissement et un contrôle des papiers. Je me gara sur le bas côté de la route et attendis que les gendarmes nous rejoignent. Ils se mirent devant ma voiture et descendirent de celle-ci pour venir à notre encontre. Je sortis à mon tour et je demanda des explications à l'agent. Ce dernier me soutient qu'il avait été appelé car elle pensais que son fils avait été embarqué dans une histoire par une fille et qu'elle le menaçait s'il n'y avait pas d'accord de ma part de divulguer des informations sur ma famille. Je tomba des nus comment mon père pouvais me faire ça et endurer la responsabilité de la faute sur Violetta. Je la regarda à nouveau. Elle n'avait pas bougé et regardait toujours devant elle en se tenant ferment les deux mains. Elle avait l'air angoissé et ne savait pas ce qu'il se tramait. Je me devais de la préserver et de ne pas lui faire mettre sur le dos la faute commise par mon père. Je pris mon courage à deux main et dis à ce même agent que c'est moi qui avais pris l'initiative d'emmener avec moi Violetta et que s'il avait besoin d'un coupable je me portait garant. L'agent compatissait avec moi mais il ne pouvait pas nous laisser repartir. Il me dit de le suivre et il m'emmena à son camion et me dit d'attendre. Quelques minutes plus tard, je fus rejoins par Violetta je ne comprenais pas pourquoi il l'avais emmené mais je ferais mon maximum pour qu'elle soit acquittée. Je la regarda. Elle regardait le sol et ne bougeait pas. Je pense qu'elle était à mille lieux d'imaginer la tournure des événements que cela allait engendrer en partant. J'avança ma main sur la sienne pour la rassurer un temps soi peu et lui montrer que nous allions surmonter cela ensemble. Je fis quelque cercle avec mes doigts et sentit que Violetta n'étais pas plus réceptive. Elle trembla et pour seule réponse, appuya son regard sur moi. Il fut peu convaincant. La seule chose que je regrettais fut qu'elle est perdu son joli sourire et que ce problème n'était pas le sien mais plutôt le mien. Je l'avais déjà forcé à quitter ses amis il ne manquerais plus qu'elle est des problèmes plus important de par ma faute. Je me rapprocha alors et lui murmura à l'oreille un faible désolé. Je vis qu'elle ne répondis aucun mot et cela m'attrista encore plus. J'attendis quelque minutes le regard posé sur cette fille. Elle faisait tellement battre mon cœur. Quelque instant plus tard je sentit une pression sur ma main et vu que Violetta resserra ma main mais ne dis aucun mot. Nous continuâmes le trajet en silence. nous furent arriver au poste, les agents nous firent assoir sur une chaise et prirent notre déclaration. La personne en face de nous nous dit qu'une personne va venir me chercher mais Violetta devrais rester un peu plus de temps car il faudrait trouver une personne capable de venir la chercher après les kilomètre que nous avions fait. Nous attendirent quelques heures lorsque nous entendirent les cris de mon père dans le commissariat demandant ou je me trouvais. Il regarda par-dessus les épaules de l'agent et nous vus. Il contourna et nous rejoint. Il se mit devant moi et me gifla. Je ne l'avais jamais vu autant en colère. Je commençait à ressentir de la peur mais je ne voulait pas lui montrer de peur de paraitre faible devant lui et de ne pas arriver à protéger Violetta. Je releva la tête et regarda mon père d'un regard noir. Je suivais du regard les actions de Violetta. Elle avait l'air inquiète et tremblait. Elle voulait me parler certainement mais elle n'y arrivait pas tellement elle était paralysée par la peur. Je regarda mon père qui semblait en avoir fini avec moi et qui fixait Violetta. Je me devais de m'interposer avant qu'il lui fasse du mal. Je ne pu bouger avant que mon père se mette à hurler sur elle. J'était apeuré des mots qu'il employait avec elle. Je hurlais sur mon père au moment ou il dit à Violetta que si nous en étions là à présent c'était entièrement de sa faute. C'est faux c'est de la mienne et je ne veux pas qu'elle endosse une responsabilité qui n'est pas la sienne. Nous nous hurlions dessus tout les deux laissant Violetta. Je voulais la rassurer mais j'en étais incapable. Mon père n'arretait pas de Hurler que c'était de sa faute. SA FAUTE.
*Fin du rêve*
Je me réveilla en sursaut. Jamais je n'avais rêvé de la sorte. Je pense que je pensais trop au voyage et que celui-ci me stressais plus que je ne l'aurais imaginé. Je me tourna de l'autre côté. L'autre partie du lit était vide. Violetta était retournée à l'appartement après l'après midi que nous avions passé. J'étais repartie à la maison pour ne pas éveiller le moindre soupçon sur mes intentions de partir avec Violetta. Je devais bien avoué que Violetta me manquait plus que ce que je n'aurais imaginé. Je regardait au loin l'heure sur le réveil. Il affichait deux heure quarante. Je me leva du lit et me dirigea vers la salle de bain. Je me regarda quelque minutes. Je ne serait pas présentable. On aurait dit que je me serait battu avec mon oreiller toute la nuit et que celui-ci aurait gagner. Je fis couler l'eau et pris une douche rapide. Je m'habilla en vitesse, fit ma valise et regroupa le tout dans le hall. Je me retourna une dernière fois sur cette maison qui fut la mienne mais ou je ne trouvais plus ma place. J'avais déjà mis quelque affaires la veille dans la voiture. Je pris mon téléphone et envoya un message à Violetta disant que je serais la dans les prochaines minutes. Je mis la voiture en route rangea la valise et démarra pour partir vers notre appartement. Quelque minutes plus tard , j'arriva sur le parking, vit Violetta avec Fédérico et Ludmilla. Je décida de garer la voiture. Je sortis et me dirigea vers eux. Je me mis sur la pointe des pieds pour ne pas qu'elle m'entende et quand je fus arriver à son hauteur je lui banda les yeux et dis :
Moi : devine qui c'est ?
Moi : Vous n'êtes vraiment pas les meilleures amis pour rien vous deux n'est ce pas mon chéri ?
Léon : Tu as bien deviné ?
J'enleva mes main et elle se retourna vers moi. J'avança ma tête vers la sienne et lui déposa un baiser léger mais avec plein 'émotions. Je ressentais sa peur avait elle vu la même chose que moi ? Je n'osa pas lui poser la question de peur de la braquer. Je la serra dans mes bras puis me détacha pour mettre sa valise dans sa voiture. J'eu un regard inquiet dans sa direction mais essaya de chasser mon mauvais rêve de mes pensés. Fédérico vint vers moi et me dis
Fédérico : Promet moi de faire attention et de m'envoyer un message.
Moi : Promis.
Je pris mon meilleur ami dans mes bras et le remercia pour ce qu'il avait fait pour moi. Il allait beaucoup me manquer car il était vraiment comme un frère pour moi. Nous prirent encore quelque minute et il faut reconnaitre qu'il sait vraiment remonter le moral et changer les idées car il avait réussi à me faire rire et à penser à autre chose. Ensuite Fédérico se dirigea vers Violetta et Ludmilla vint vers moi. C'étais certes beaucoup moins chaleureux qu'avec Fédérico. Je vis qu'elle avait beaucoup pleuré. Je sais que Violetta allait beaucoup lui manqué. En aucun cas c'était un adieu mais plutôt un au revoir et je sais que nous nos reverrons bientôt. Je la pris malgré tout dans mes bras. Il faut dire qu'elle était surprise et se laissa faire. Elle referma ses mains dans mon dos et pleura quelques minutes. Elle se ressaisit rapidement et s'éloigne de moi en me regardant d'un air sérieux. Il faut avouer que la meilleure amie de Violetta me fait peur. Ludmilla pris la parole.
Ludmilla : Promet moi de faire bien attention à Violetta.
Moi : Je te le promet.
Ludmilla : Si ne tient pas tes promesses tu auras affaires à moi Léon tu M'entends.
Je soupira. Je regardait Ludmilla qui continuait de hurler me demandant de faire attention à Violetta. Fédérico arriva de nulle part prenant sa petite amie par la taille et la calma de par sa présence. Violetta me rejoignit et il faut bien avouer que j'étais troublé de la situation. Nous nous dirigeons vers la voiture et je lui ouvris la porte. Elle s'installa côté passager et je me mis à mes cotés. Je la regarda puis démarra la voiture. Je lançais un dernier regard à Fédérico qui me fit un signe de tête avant de se tourner vers Ludmilla et de pleurer dans ses bras. Je regarda Violetta qui était appuyée la tête contre la fenêtre. Elle avait réussi à s'endormir mais elle avait tout le même l'air inquiet. Je tourna du côté de l'autoroute et m'élança vers l'inconnu. Mon rêve était il autant prémonitoire ou était ce juste de l'anxiété ?
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Our story, our battle tome 1
RomanceNouvelle histoire Léonetta, je vous laisse la découvrir