Our story, our battle tome 1

Chapitre 7: Explain me, a new song

P.D.V. Violetta :

Je me réveille et je suis toujours dans les bras de Léon. Je relève la tête et je vois l'inquiétude sur son visage. Tout d'un coup tout me revient en tête comme une claque au milieu de la figure. Le message de Fédé, le feu qui à ravager ma maison, l'acte héroïque de Léon pour sauver Fédé mais surtout la mort de mon père. J'avais du mal à réaliser que je ne le reverrais plus. Je laissa échapper mes larmes. Je pense que Léon à du m'entendre car il à baisser la tête vers moi et semblait inquiet pour moi.

Léon : Tout va bien se passer, je te promet d'être toujours là pour te protéger.

Moi : Et moi dans tout ça, je n'ai pas mon mot à dire ?

Léon : Violetta, tu es en état de choc. Il faut que tu sois forte et je ne veux pas que tu portes ce fardeau toute seule.

Léon avait l'air sincère dans ses paroles, je voulais bien croire qu'il voulait m'aider mais j'avais du mal à faire confiance d'autant plus quand il s'agit d'une personne que je ne connais pas assez. Léon marcha encore un long moment et il décida de passer par un parc. Il trouva un banc et on s'y posa. Il me déposa doucement à ses côtés. Je me surpris à reposer ma tête sur son épaules. J'aimais autant son contact que j'étais réticente de ne pas le connaitre. Léon comprit mon désarroi et ne bougea pas pour autant.

Léon : Qu'est ce que tu veut savoir ?

Je fus surprise car je ne m'attendais pas à ce qu'il me pose la question. Je voulais le connaitre lui et savoir qui il était. Pourquoi je réussissait à avoir une connexion entre nous et pourquoi son contact me faisait du bien mais avant tout je me devais de lui dire autre chose que j'avais sur le cœur.

Moi : Imbécile.

Les larmes me montèrent et je n'osait plus regarder Léon en face. Je regardais le sol et je ne pouvais pas savoir qu'elle était sa réaction.

Léon : Pardon ?

Moi : Tu m'as bien entendu tu n'es qu'un imbécile.

Léon : Qu'est ce que j'ai fait ?

Moi : Tu te rends compte que tu aurais pu y rester dans les flammes ? Même si tu as sauver Fédé ça n'explique pas tout. Pourquoi tu t'es élancé et tu te rends compte que tu m'as laissé ? Si jamais il t'étais arrivé quelque chose qu'est ce que j'aurais fait.

Léon : Je comprends que tu soit en colère mais...

Moi : Je ne suis pas en colère mais je cherche juste à comprendre pourquoi à chaque fois tu viens à mon secours sans que je te le demande. Je ne t'attires que des ennuis et pourtant tu reste à mes côtés.

Léon se rapprocha réduisant la distance qu'il y avais entre nous et me pris dans ses bras. Il me murmura ces mots.

Léon : Parce que tu es mon étourdie et que s'il t'arrive des malheurs, je ne veut pas que tu soit seul à les assumer.

Je rougis, et dire qu'il y a quelque temps il me tapais sur le système. En fait quand je l'ai rencontré je ressentais comme des papillons dans mon cœur. Comme si il était la personne qui me délivrais de tout le mal que je pouvais avoir.

Moi : Tu n'es quand même qu'un imbécile.

Léon : Je le suis peut être mais je suis ton imbécile.

Je souris sa remarque ne me déplut pas bien au contraire. Je me rapprochait de lui certes mais on y allait en douceur. Je ne sais pas ce que pouvais ressentir Léon à mon égard.

Moi : Comment va Fédé ?

Léon soupira à ma demande, je me demandait si ce dernier avait eu un problème ou non ?

Léon : Il va bien. Il à été pris en charge par les pompiers à leur arrivée. Malheureusement pour ta maison il n'y avais plus rien à faire. Et il ont retrouvé le corps de ton père brûlé. Mais Fédérico va bien. Il délirait complètement. Il pensais qu'il étais mort et que je venais le retrouver moi aussi.

Moi : Je suis soulagée qu'il aille bien ca me réchauffe le cœur au moins de savoir que lui s'en est sorti par rapport à d'autres.

Léon : Violetta tu ne doit pas pleurer. Tu dois être forte. C'est certainement ce que ton père aurais voulu que tu sois et que tu ne t'apitoie pas sur ton sort. C'est qui pour toi Fédérico.

Sa question avait une once de jalousie en elle. Je ne savais pas que Léon était jaloux pour moi.

Moi : Mon confident. La personne à qui je me confie quand j'ai de la peine. La personne qui me redonne le sourire. Au départ ce n'était pas gagné car je le trouvais arrogant et prétentieux comme pas deux. Il as su me montrer qui il était, une personne formidable attachante avec qui tu peut toujours discuter ou chanter durant des heures. Je l'ai connu sous la facette de star mais avant d'être une star il est avant tout mon meilleur ami et je ne le changerais pour rien au monde.

Léon fut soulager que je dise que Fédérico ne soit que mon meilleur ami. Ses traits du visage s'adoucirent et je pu admirer ses magnifiques yeux briller de mille feux. Il avais l'air heureux je pense que je lui sous entende qu'il avait toutes ses chances avec moi.

Moi : Et pour toi il représente qui ?

Léon : il représente également mon meilleur ami. On s'est rencontré il y a 2 ans en Italie lors de l'un de ses séjours. Nos parents se connaissent et on ne s'appréciait guère. Pourtant j'ai réussi à briser la carapace de Fédérico et on s'est beaucoup parlé. Il m'avait parlé de ses relations amoureuses et amicales. Je ne savais pas avec qui était.

Moi : Je comprends à présent pourquoi tu étais jaloux.

Léon : Moi jaloux ?

Moi : Parfaitement, tu es jaloux de mon amitié avec Fédérico.

Léon : Non du tout, je suis jaloux de la complicité que vous pouviez avoir.

Moi : Tu admet être jaloux.

Léon : Oui je l'admet. Je veux que tu admettes que tu l'étais aussi lorsque que je parlais à Francesca

Moi : Ce n'est pas de ma faute. C'est toi l'imbécile qui l'a confondu avec moi.

Léon : Cela ne réponds pas à la question.

Moi : Je l'admets tu es contente.

Léon : Très.

Il me serra contre lui. Je sentit son cœur battre à tout rompre. Sa présence me rassurait et je pense que mes sentiments pour lui sont grandissant et que malgré que l'on soit amis aujourd'hui peut être qu'un jour nous seront ensemble je peut l'envisager. J'allais m'aventurer dans une relation mais avant ça je devais être sur des sentiments de Léon à mon égard.

Moi : Léon explique moi ce qu'il se passe entre nous. Explique moi ce que tu ressens quand on est ensemble.

Léon me regarda dubitative à ma question et semblait cherchait ses mots.

Léon :....