P.D.V. Léon :
Je regardais Luna, cette dernière étais essoufflée et posait ses mains sur ses genoux en s'accroupissant. Elle soufflait de longues minutes. Ces cheveux s'envolaient avec le vent. Je regardais Fédérico qui me regardait aussi stupéfait de la révélation de Luna. Nous nous retournâmes vers elle et dîmes en chœur:
Fédérico et moi : Quoi ?
Je vis Luna vacillée sur le côté avant de s'effondrer. Je la retiens avant qu'elle ne touche le sol. Fédérico m'aida à la porter et nous la posons délicatement sur le canapé. Elle devait être épuisé avec le parcours qu'elle avait fait. Une main se mit sur mon épaule me faisant sursauter. Je me retourna et découvrit Ludmilla à moitié endormie. Je lui souris sans doute plus faiblement que je n'aurais voulu le montrer.
Ludmilla : Léon qu'est ce qui se passe ? J'ai entendu sonner et me suis réveillé contrarié.
Ludmilla contourna mon épaule et aperçu Luna.
Ludmilla : Qu'est ce que Luna fait ici ?
Moi : Elle sait ou est Violetta.
Ludmilla : Quoi ?
Nous nous regardons et Fédérico revenu avec une couverture. Ludmilla nous dis d'attendre quelques minutes. Elle parti dans la salle de bain et revenu avec quelque serviette. Elle lui essuya délicatement les cheveux. Fédérico passa la couverture sur elle et nous la laissons dormir.
Ludmilla : Pourquoi pense tu qu'elle est venue nous voir ?
Moi : Je te l'ai dis. Elle sais ou est Violetta.
Ludmilla : Tu pense que nous devons lui faire confiance ?
Fédérico : Avons-nous réellement le choix ?
Je les laissa discuter tous les deux et me retourna vers Luna. Je me demandais comment elle pouvait savoir pour Violetta ? Je me perdis dans mes Pensées et pensa à ces dernières semaine ensemble. Je me souviens du jour ou j'avais réussis à la rejoindre en douce au studio. Je m'était introduit dans sa salle de danse avec mon bouquet de rose que j'avais acheté au préalable ainsi que ma guitare. Violetta était si concentré sur ses pas de danse qu'elle ne m'avais pas vu. Je m'assis sur la table et la regardait. Dans ses geste tout était parfait On aurait dis qu'elle avait fait ça tout sa vie. Je me trouvais émerveiller par cette fille. Je sortis ma guitare et gratta un morceau que j'avais composer pour el.
Si hay amor y nada mas no es
necesario nada, nada mas
Si hay amor olvídate del calendario
No hay nada, nada mas
Donde voy, ahí vas,
Me acompañaras
Donde vayas iré y te seguiré
Hay amor en el aire acércate a mi,
Apuesta por lo que siento
Hay amor en el aire tu confía en mi,
Ya ves que no existe el tiempo
...
Violetta se retourna vers moi et me vit. Je me cacha derrière le bouquet. Cette dernière le pris et m'embrassa sans que je ne puisse m'en rendre compte. Je prolongea le baiser et la laissa faire. Je mis mes mains sur ses hanches et resserra mon étreinte auprès d'elle. Je fus parcouru de frisson. Il fallait avouer que je l'aimais plus que tout. Violetta mit fi au baiser et me regarda. Elle prit ensuite la parole.
Violetta : Léon qu'est ce que tu fais la ?
Moi : Je suis venue te voir princesse.
Violetta rougit à ces mots.
Violetta : Mais.. Et... et ton père qu'est ce qu'il va te dire.
Moi : Ne t'inquiète pas je saurais lui trouver quelque chose à lui dire.
Violetta : Tu prends trop de risque Léon.
Moi : Tu n'aimes pas ça ?
Violetta : Si bien sur mais je ne veut pas qu'il t'arrive quelque chose.
Moi : Il ne m'arrivera rien. Il ne nous arrivera rien.
Violetta : C'est une promesse ?
Moi : Oui.
Je la serra dans mes bras et nous restâmes de longues minutes comme cela.
??? : Léon? Léon ? LEON TU M'ENTENDS ?
Je sursauta et vis mon meilleur ami devant moi inquiet. Je le rassura du mieux que je peux.
Moi : Oui je t'entends, je pensais à Violetta et aux derniers souvenir que nous avions ensemble il y à un problème ?
Ludmilla : Pas vraiment juste que Luna est réveillé.
Moi : Quoi ?
Je me retourna et la vit. Elle regardait un peu partout avant de nous voir. J'alla à son encontre.
Moi : Luna tu te sens bien ?
Luna : Oui à peut près je venais te dire quelque chose Léon.
Moi : Je sais. Dis moi ou est Violetta Luna?
Je mis ma main sur son épaule et attendit une réponse de sa part.
P.D.V. Violetta :
Un mal de crâne incessant me faisait souffrir. Combien de temps avais je dormi ? Je voulu me frotter les yeux mais je sentis quelque chose de lourd retenir mon bras. Je repensais aux derniers événements qu'il s'étaient produits. La seule chose dont je me souvienne était que quelqu'un m'emmenait loin de Léon. Je me rappela son visage triste. Une larme vint effleurer le coin de ma joue. Que devenait Léon ou m'avait il emmenée ?Je bougea à nouveau ma main mais la même sensation que tout à l'heure ne me permis de la bouger. Je bougea les paupière et ouvris les yeux. Je fus aveuglée par une lumière. Je me remis doucement et vis que j'étais attaché sur une table. Je tourna la tête et vis que l'endroit était sombre et qu'aucun Lumière ne me permettait de voir grand-chose. Comment étais je arrivée ici ? Je paniqua lorsqu'une porte s'ouvrit laissant place à une personne. Celle-ci s'avança vers moi et me sourit.
??? : Alors on est réveillée princesse ?
Princesse seule Léon m'appelais comme ça. Je plissa des yeux et reconnut mon meilleure amie. J'étais un peu plus rassurée.
Moi : Fédérico, tu peux pas savoir à quel point je suis heureuse de te revoir.
Je lui sourit et il me endit mon sourire avant de frapper la table dans un excès de colère.
Moi : Qu'est ce qui te prends enfin ?
??? : Je vais vous apprendre à me prendre pour Fédérico. On va commencer par toi. Tu es proche de mon frère et de son meilleur ami pas vrai ?
Je ne répondis pas de suite. Je le sentis se rapprocher de moi et mettre une main sur ma jambe. Je voulu me débattre mais ne pu bouger.
?? : Réponds avant que je ne monte ma main plus haut. Moins tu répondra et plus tu souffriraµ. Même si tu me réponds tu va souffrir. Léon comme toi ne sortirez pas indemne de cette histoire. Je l'entendis rire et le regarda de travers avant qu'il ne jette à nouveau son regard sur moi. Il avait l'air en colère et j'avais peur de ce qu'il pouvais me faire.
??? : J'attends toujours ta réponse.
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Our story, our battle tome 1
RomanceNouvelle histoire Léonetta, je vous laisse la découvrir