Chapitre 29 : We are together, a new song.

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P.D.V.Violetta :

Nous étions sur la route depuis un petit moment, lorsque je me réveilla. Je regardais le paysage puis je regardait l'heure. Ma montre affichait sept heure du matin. J'avais réussi à m'endormis cinq heure. Pas étonnant après la nuit que j'avais passé. Je resta dans la position que j'étais et pris quelque minutes pour me réveiller. Mon portable vibra, je le sortit du sac et regarda qui m'avais écris. C'étais Ludmilla et Fédérico. Je lis leur message. ""Ma chérie, prends soin de toi. Tu va énormément me manquer. Qui aurait pu penser il y a trois ans que nous serions les meilleurs amis sachant que je te détestait. J'ai appris à t'aimer tu es une personne merveilleuse et je ne regrette pas d'avoir changer mon avis sur toi. Fédérico est avec moi il me dis de te dire qu'il t'aime très fort ainsi que Léon. On vous aime nous l'oubliez jamais et j'espère qu'on se reverra bientôt. " Je pleura en lisant le message. Ma meilleure amie allait me manquer mais Fédérico aussi. C'est à cet instant que j'ai réalisé que j'étais partis et que je les avais laissé derrière. Je sentis une pression sur ma main. Je me tourna vers Léon. Celui-ci avait pris ma main et avait l'air inquiet de me voir comme ça. Il devait penser que je regrettait mon geste d'être parti avec lui alors que non mais j'avais toujours mon appréhension et ce rêve qui ne me quittait pas. Je resserra la main de Léon le regarda et sourit.

Léon : Tu va bien Violetta ?

Sa question, je ne m'y attendait pas. Allais je bien ou au contraire étais je trop nerveuse pour notre voyage ? Je ne voulus pas l'inquiéter avec mes états d'âmes. Je le regarda avec insistance et dit.

Moi : Oui ca va? Léon je...

Léon : Violetta je ne veux pas que tu me caches des choses. Si ca ne va pas tu me le dis. Je le sens que tu n'es pas bien et je ne veux pas te voir comme ça.

Il est tellement gentil avec moi. Je mis ma main sur la sienne et la rapprocha de mon visage. Je mis sa main sur ma joue. Son contact me réchauffait. Comment je pouvais encore lui cacher ce rêve. Je ne voulais le voir triste pour moi. Je pris mon courage à deux main et me lança. Peut être qu'à cause de ca on ferait demi tour mais je devais être clair avec Léon.

Moi : Léon, je....

Léon freina d'un coup la voiture. Je ne comprenais pas. Il tourna sur une petite route de campagne. Nous atterrîmes quelque minutes plus tard devant un lac. Léon gara la voiture, descendit et vint m'ouvrir la portière. Il me tendis sa main que j'accepta. Nous marchâmes quelques minutes avant de nous installer. Je me mis devant Léon. Il resserra son étreinte auprès de moi et mis sa tête sur mon épaule. Il me fis quelques bisous dans le cou avant de se remettre droit et de fixer l'horizonµ. Je vira au rouge tellement je rougissait. Léon se détacha de moi et se mis devant moi. Il me fixa et je perdit dans ses yeux. Je pense qu'il voulais que je lui raconte ce que j'allais lui dire dans la voiture.

Léon : Violetta, dis moi ce qu'il se passe ?

Moi : Léon j'ai fais un mauvais rêve sur notre voyage cette nuit et j'ai un mauvais pressentiment.

Léon : C'est cela qui te rends si anxieuse ? De quoi as-tu rêvé.

Moi : J'ai rêvé qu'on se faisait arrêté par les gendarmes et que ton père avais débarqué pour venir te chercher et me hurlait dessus que tout était de ma faute.

Léon eut un effet de surprise. Il me regarda et me pris dans ses bras. Je voulais lui demander pourquoi il avais eu l'air inquiet au moment de notre départ. Je me dis qu'il me le dirais en temps et en heure. Nous restâmes encore quelques minutes puis Léon me tendis à nouveau sa main. Nous nous rendirent devant la voiture et j'entendis mon ventre qui avait faim. Léon ria et me dit que nous arrêterons manger quelques chose. Je fus honteuse devant lui. Léon sortit son téléphone et appela quelqu'un. Je n'entendis pas tout à part les mots réservation pour deux. Je me demandais ce que cela pouvais être. Léon ouvrit sa portière et se réinstalla à mes côtés. Il démarra de nouveau la voiture et nous répriment la route.

Léon : Désolé d'avoir été aussi long, je voulais nous réservés l'hôtel pour cette nuit.

Moi : Ce n'est rien. Tu as bien fais.

Léon : Violetta tu sais ton rêve.

Moi : Oui.

Léon : J'ai fais le même.

Moi : Tu te moques de moi ?

Léon : Non je suis on ne peut plus sérieux.

Moi : Qu'est ce que ça veut dire Léon ? Qu'on fais une erreur en ne partant que tous les deux ?

Léon : Je ne sais pas c'était peut être juste de l'anxiété. Je ne voulais pas te le dire pour ne pas t'inquiéter.

Moi : Tu as bien fais de me le dire. Je ne veut plus voir cet air si triste sur ton visage.

Léon : Promis.

Nous rions. Je pense que nous parler nous à fais plus de bien que prévu. Léon s'arrêta à nouveau plus loin sur une aire de repos qu'il avait trouvé. Pendant qu'il allait mettre de l'essence dans sa voiture, je me dirigea vers la cafétéria et me mis dans la file pour commander. Lorsque ce fus mon tour je demandais deux pains au chocolats et deux cafés. Léon me rejoins quelques minutes plus tard après avoir garer la voiture et s'installa à mes côtés. Il avait l'air heureux avec moi. J'étais peut être trop angoissé pour profiter pleinement du voyage. Je ne voulais pas inquiéter Léon alors je pris sur moi et enfuis ce sentiments malgré moi. Léon fredonnait un air que j'adorais. Je l'écouta et essaya de chercher des paroles.

Léon : Violetta qu'est ce qu'il se passe ?

Moi : Cet air ou la tu entendu ?

Léon : Pourquoi tu me poses cette question ?

Moi : Il me semble l'avoir déjà entendue.

Léon : Tu es sérieuse ? J'ai entendue quelqu'un le fredonner il y a peu de temps et je l'avais en tête.

Moi : Cette chanson me rappelle quelque chose.

Léon : Quelque chose qui aurais un rapport avec ton enfance ?

Moi : Je ne sais pas mais je ferais tout pour le découvrir.

Léon : Je t'aiderais si tu veux bien de mon aide.

Moi : Je ne sais pas laisse moi réfléchir.

Léon fit un air de boudeur. Je riait intérieurement. Je m'approcha de lui et lui fit un bisous sur la joue. Il rougit. Je le trouvais tellement mignon.

Moi : Bien sur que je veux mon chéri.

Léon sourit et m'embrassa pour réponse il prit ma main et nous repartîmes pour de nouveaux horizons.

P.D.V. ??? :

Ce matin, je me rendis dans la chambre de mon fils. Je voulais l'appeler pour peaufiner des rendez vous d"affaires et que tout soit parfait. Je frappa et n'obtenu aucune réponse. J'ouvris donc la porte et constata que le lit était vide et que toute ses affaires avais disparus. J'eus un sourire en coin et appela la personne qui étai avec moi sur cette affaire.

??? : Allo, c'est moi. Il est bien parti.

??? : Nous n'avons plus qu'a le suivre.

???: J'appelle la gendarmerie aussi pour signaler sa disparition.

??? : Je vous promet que nous allons le retrouver.

Nous rions tout les deux. Cette fille va plonger et mon fils sera obligé d'être avec la fille que je lui est choisi. C'est son destin. Non notre destin. 

Our story, our battle tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant