Nous tombons sur Ludmilla qui nous regarda dubitative de la situation dans laquelle nous étions. Elle se mit à rire. Son rire était nerveux car nous nous mîmes à rire avec elle de bon cœur. Ludmilla m'entraina avec elle dans la chambre. Je remarqua qu'elle avait branché de nombreux fers que ce soit pour lisser que pour boucler. Elle m'installa sur un siège et mis un drap sur le miroir. Elle m'annonça que je ne me verrais qu'au résultat. Je me devais de lui faire confiance. Elle commença par me coiffer et pris de nombreux fers. Je m'inquiétais mais je savais que c'était Ludmilla qui s'en occupait. Fédérico revint en courant et semblait montrer quelque chose à Ludmilla qui avait acquiescé. Je me demandait ce qu'il se passait. Ludmilla passa derrière moi et me mis la main sur l'épaule.
Ludmilla : Prête ?
Moi : Oui je suis prête.
Elle enleva sa main et se dirigea vers le miroir. Elle abaissa le drap et me laissa admirer son travail. Elle avait lissé le bas des cheveux et avait remonter le haut en boucle puis avait fait une tresse qui partait sur les côtés. Son travail était excellent. Je me redressa et me réfugia dans ses bras en lui lançant mes louanges.
Moi : Milles merci... Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
Ludmilla : Je crois que tu serais tout simplement perdu. Encore une aide de la supernova.
Moi : Je m'incline devant ton travail.
Ludmilla : Mais de rien c'est normal.
Elle se retourna et regarda Fédérico qui était devant l'entrebâillement de la porte. Ce dernier n'ait pas décrocher un mot et semblait admiratif devant le travail de sa petite amie.
Ludmilla : Alors, tu penses que Léon va l'aimer comme ça ?
Fédérico : Si même moi je reste sans voix devant ton travail il ne peut que l'aimer et si ce n'est pas le cas je m'occuperais personnellement de son cas.
Moi : Ne vas pas m'abimer mon Léon toi.
Fédérico : Si mademoiselle me le demande. En attendant essaye cette robe et je tient à préciser que tu n'a pas le choix.
Moi : Merci à tout les deux.
Je me dirigea derrière le paravent et mis la robe que les deux avait choisi. Elle était simple et je me demandait comment j'avais fait pour ne pas la voir au sein de mon dressing. Cette robe était blanche, sans manche et partait sur du noir pour le bas. Je ne pouvais pas me voir mais je pense que cette tenue plus le travail effectué par Ludmilla allai plaire à Léon. Une fois la robe mise je sortit et pu observer la réaction de Ludmilla et de Fédérico. Ces derniers était admiratif.
Ludmilla : Ma belle tu es magnifique.
Fédérico : Je te garantis que si Léon était amoureux de toi il va t'aimer encore plus.
Je rougis encore plus.
Moi : Je ne vous remercierais jamais assez tout les deux.
Ludmilla et Fédérico : je t'en prie.
Fédérico regarda l'heure et me prit soudainement le bras.
Fédérico : Je suis désolé de vous pressé princesse mais votre prince vous attends.
Moi : Tu es idiot.
Fédérico : Je vous emmène sur les lieux du rendez vous.
Ludmilla : Prends bien soin d'elle.
Fédérico : Je n'y manquerais pas.
Il l'embrassa d'un baiser léger et me pris par le bras. Nous sortons de l'appartement et nous dirigeons vers le taxi que Fédérico avait prévu au préalable. Durant le trajet, Fédérico sentit mon anxiété. Il mis sa main au dessus de la mienne pour me rassurer. Je le remercia du regard. Il me sourit et regarda de nouveau la route. Quelque minute plus tard, le taxi s'arrêta et Fédérico n véritable gentleman vint de mon côté ouvrir la portière. Il me tendit son bras et nous nous mîmes en route vers le café. De loin, j'aperçus Léon. Il avait l'air concentrer sur des papiers. Ses traits du visage était fermés. On aurait dit qu'il avait l'air de ne pas avoir dormi depuis de nombreux jour. Je m'inquiétait réellement pour lui. Fédérico remarqua mon étonnement et sourit. Lorsque nous arrivâmes à proximité du café, je vus Léon relever la tête. Son visage se radoucit à ma vue et il rougissait à vue d'œil. Le rouge me monta au joues. Fédérico se posa devant son meilleur ami et l'enlaça. Puis il lui dit.
Fédérico : Je t'ai amené ta princesse à destination.
Je souris à sa remarque et Léon aussi par la même occasion. Léon avança vers moi et m'enlaça. Son contact m'avait manqué plus que ce que j'avais pensé. Léon m'embrassa et m'invita à m'assoir et Fédérico nous laissa expliquant qu'il allait rejoindre Ludmilla. Je le remercia et lui dit de remercier Ludmilla pour son travail. Il le ferait et nous quitta nous laissant seul tout les deux. Un blanc s'était installé entre nous. Léon n'osait pas me parler du coup j'essaya tant bien que mal d'engager la conversation.
Moi : Comment va tu ?
Léon : Je vais bien ... Violetta je..
Moi : Tu n'as pas à t'excuser Léon. Je sais que ce que tu fais tu le fais pour nous. Pour que nous puissions être ensemble. J'aimerais que ce soit plus simple et j'aimerais aussi pouvoir faire quelque chose de mon côté qui arrangerait la situation.
Léon : Je sais que tu comprends mais je sais aussi que ce n'est pas simple. Mes parents ont refusé que nous soyons ensemble soit disant que mon destin n'est pas fait pour être avec toi mais on ne contrôle pas l'amour. Violetta je suis amoureux de toi depuis le premier jour ou je t'ai rencontré. Cela peut paraitre fou car je ne sentait pas que tu ressentait les mêmes attentes que moi. J'ai ressenti un besoin de t'aimer, te chérir et je ne pense pas que cela changera de si tôt.
Moi : Léon, je t'aime et je ne veux pas te perdre. C'est seulement la décision de tes parents. Elle importe peu dans tes choix. Au final, l'avenir t'appartient et je sais que l'on pourra être ensemble. Tu as été pour moi un véritable soutien, un bel échappatoire à cette sombre histoire. J'aurais pu rejoindre les personnes qui m'était les plus chers mais je t'ai rencontré et je dois admettre que je suis tombée amoureuse de toi. Une journée sans toi et devenu un cauchemar car tu me manques Léon oui tu me manques et je pense à toi à chaque moment de la journée.
Léon sortit sa guitare et je me demandais ce qu'il voulait faire quand je sentit un air qui me plairait il se mit à chanter:
Léon : easy come, easy go for a minute
I can't keep my hands off you
You're a million dollar bill don't forget itI wanna spend my time on you
And I been wondering from morning to night
Stuck in delirium, I'm loosing my mind
Do you feel it? Do you feel it?
Feel so real, real, real
You're my great escape
Feel too good to give away
And with every breath I take
I can't help myself, I can't help myself
You're my great escape
I won't let you get away
And with every breath I take
I can't help myself, I can't help myself ohoh
Wide awake, wanna stay tunnel vision
Falling for the sweetest sin
I wanna taste everything when we're kissing
I love it when we're skin to skin
And I been wondering from morning to night
Stuck in delirium, I'm loosing my mind
Do you feel it? Do you feel it?
Feel so real, real, real
You're my great escape
Feel so good to give away
And with every breath I take
I can't help myself, I can't help myself
You're my great escape
I won't let you get away
And with every breath I take
I can't help my myseIf can't help myself ohoh
I'll be running, I'll be running, I'll be running
I'll be running, I'll be running, I'll be running
You're my great escape
Feel so good to give away
And with every breath I take
I can't help myself, I can't help myself
You're my great escape
I won't let you get away
And with every breath I take
I can't help myself, I can't help myself ohohJe n'en revenais pas sa chanson était tout bonnement magnifique. Je me réfugia dans ses bras et l'embrassa. Nous étions bien tous les deux. Nous n'avions pas sentit une présence derrière nous.
??? : Léon comment va tu mon frère ?
Léon regarda ce dernier avant d'afficher un sourire.
Léon : Alex ?
Ce garçon s'appelait alors Alex et était le frère de Léon. En tout cas j'étais contente pour Léon d'avoir retrouvé son frère mais allait il nous attirer des ennuis ou allait il supporter son frère je resta méfiante face à lui mais tenait toujours fermement la main de Léon.
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Our story, our battle tome 1
RomanceNouvelle histoire Léonetta, je vous laisse la découvrir