Our story, our battle tome 1

Chapitre 10 : new love, and problem, a new song

Avec Léon, nous avons profité de nombreux mois durant. Deux semaines après notre mis en couple Fédérico et sorti de l'hôpital. Nous faisions beaucoup de sortie tout les quatre. Bien sur, Léon m'avais proposé de venir habiter chez lui mais je n'ai jamais accepté. Je préférais avoir mon indépendance et ne pas imposer une nouvelle présence à la famille de Léon. Du coup j'ai trouvé la solution d'habiter avec Fédérico et Ludmilla mais ce n'était qu'une option temporaire et je sais que peu de temps après il m'aurait dit de partir. Bien évidemment Léon m'a fait la plus belle des surprises. Un soir que je rentrais du studio, je l'ai croisé au coin d'une rue et il m'a dit de le suivre avec un bandeau sur les yeux. Je redoutais le pire mais je devais faire une confiance aveugle en Léon autant qu'il me le faisait. Il me prit la main et me fit avancer avec lui. Brusquement, nous nous arrêtons. Léon retira le bandeau et je fus surprise de tomber sur l'appartement de Fédérico et Ludmilla je ne voyait pas ou il voulait en venir. Il me tendit les clés et me montra l'appartement voisin en me disant que c'était le notre et que les propriétaires était partie et qu'il avait préféré sauter sur l'occasion de pouvoir prendre un appartement voisin de nos amis. J'étais tellement heureuse que je sauta au cou de Léon faisant abstraction de tout ce qui pouvait m'entourer. Nous avons passer de nombreux mois à nous retrouver des soirées jeu avec Fédérico et Ludmilla ou simplement tous les deux. Les saisons se sont enchainées à une vitesse et nous avions beaucoup répété avec Léon pour notre spectacle. Léon chanterais une partie une partie anglais et moi une partie française. Le refrain donnait:

" - Donne moi ton cœur.

- Give me your heart.

- Je ferais tout pour que tu me revienne.

- My love, wait after me.

- Je ne cesserais de t'aimer comme à notre première rencontre.

- Our first date. "

La chanson parlais de l'amour qui m'unissait à Léon. On devait jouer la représentation à notre retour des vacances de Noël et ce serais noté sur notre parcours. Je stressais un peu mais Léon avais toujours su trouver les mots pour me rassurer. Aujourd'hui, nous sommes la veille de Noël et je n'ai toujours aucun cadeau pour Léon. Je devrais peut être faire un tour dans les magasins et voir ce que je peut trouver. Je fis quelques tours en centre ville et m'arrêta dans une boutique de parfum. J'humecta quelque odeurs quand un me reviens de tête. Je pris celui qui me semblait le plus adapter pour lui avec une gourmette et nos noms liés à chaque boucle d'une infini et retourna à notre appartement préparer le repas que l'on devait manger tous les deux ce soir. Le repas m'occupa une bonne partie de l'âpres midi. Lorsque je releva la tête du plan de travail il était déjà dix huit heures. Je me prépara en vitesse. Je boucla mes cheveux, mit une robe cintré avec une petite ceinture et un gilet par-dessus et me remaquilla légèrement. J'eus à peine le temps de finir qu'on sonna à la porte. Lorsque j'ouvris cette dernière c'était Léon qui se tenait devant moi. Qu'est ce qu'il était séduisant. Je me mordait la lèvre intérieur tout en le dévisageant. Je ne pouvait pas détourner mon regard tellement j'étais troublé. Je l'invita à rentrer et il le fit. Il retira la main de son dos et m'offrit le plus magnifique des bouquets de fleurs. Je mis ses fleurs dans un vase et l'invita au salon. Le salon avait été décoré par des bougies et des pétales de roses un peu partout. Je l'invita à s'assoir sur le canapé et nous parlions de tout et de rien lorsqu'il entama un sujet qui fâche. Non s'en m'en déplaire mais j'aurais préféré parler d'autre chose. Je me cala ma tête sur ses genoux et lui jouant avec mes doigts. Nous devions avoir cette discussion un jour de toute façon et j'aimerais également apprendre à le connaitre :

Léon : Violetta, que s'est il passé il y a deux ans avec Thomas ?

Moi : Avec Thomas, il ne s'est absolument rien passé. Si tu veux savoir la vérité, à mon arrivée à Buenos Aires je ne connaissait personne et mon père m'enfermait dans ma chambre. On déménageait beaucoup pour ses affaires. En arrivant, j'ai eu une grosse dispute avec mon père sur ce sujet et je me suis enfuie en cachette de la maison sous la pluie. Je n'ai réussis à trouver un arbre qu'au bout de quelque minutes pour m'y abriter. Mes vêtements était d'ores et déjà trempés mais je devais poursuivre. En voulant repartir, je suis tombé sur Thomas et j'ai glissé tombant maladroitement dans ses bras. J'étais attiré par lui dès les premières minutes ou je l'ai vu mais j'ai compris bien plus tard que ce n'était qu'une cause perdue car Francesca était elle aussi amoureuse de Thomas à l'époque. J'ai préféré faire taire mes sentiments et faire en sorte que ma meilleure amie soit heureuse avec le garçon qu'elle aime. Malheureusement pour moi, les sentiments ne s'effacent pas comme ça du jour au lendemain et Thomas ne comprenait pas mon éloignement et Francesca ma proximité avec lui. J'ai coupé les ponts avec les deux jusqu'au départ de Thomas et me suis réconcilié avec Francesca par la suite. Elle ne m'en voulait pas plus que ça et s'était rendu compte que ses sentiments n'était que d'amitié pour Thomas. Et toi Léon avec Stéphie ?

Léon continuait d me raconter son histoire tout en me caressant les cheveux. J'avais appris que sa relation avec Stéphie était compliqué dans le sens ou il s'était rencontré étant petits et que depuis il ne s'était pas quitté. Lorsque Léon partait dans un autre pays, Stéphie s'arrangeait toujours pour le suivre et inversement. Un jour, Léon voulait parler avec elle mais elle à essayer de le rendre jaloux avec une autre. Je ne comprenais pas cette optique de vouloir rendre jaloux la personne qu'on aime lorsque je me rendit compte que j'avais fait exactement pareil avec lui lorsque Thomas était revenue dans ma vie. J'esquissa un sourire que Léon ne vit pas mais je ne lui en tiendrait pas rigueur. Il continua de me parler un peu de lui et des relations qu'il avait eu ne voulant plus de secrets entre nous. Je regarda subitement l'heure sur mon téléphone il afficha minuit moins cinq. Je dis à Léon que je revenais de suite lui demandant expressément de m'attendre. Le temps que je monte chercher les cadeaux, j'entendis mon téléphone sonner. Je me demandais qui s'était et je dis à Léon de laisser passer je voulais être tranquille qu'avec lui ce soir la. Je reviens avec les deux cadeaux pour lui et les lui offrit lui demandant d'attendre cinq minuit. Je partis dans la cuisine et coupa le gâteau. Je ramena deux part, une pour lui et une autre pour moi. Léon était surpris de mes talents de cuisinière. Il croqua le premier dans le gâteau et sa mine faisait plaisir à voir. J'aimais les expressions du visage qu'il avais avec moi. Il étais sincère et je ne devais pas lui cacher mes sentiments. Minuit sonna et Léon m'attira doucement contre lui. Il releva mon visage et déposa un baiser sensuel et plein de chaleurs. Les lèvre de Léon étaient douces. Je ne me lasserais jamais de me répéter que j'avais le meilleur petit ami au monde. Et oui j'avais. Cr la minute d'après tout à basculer et s'est transformé en cauchemar. Mon téléphone s'est remis à sonner avec insistance et je n'aurais pas du décrocher. C'était Francesca et la tournure des événements allait certainement pas être des plus joyeuse vu que je l'entendait pleurer à l'autre bout du téléphone.

" - Francesca qu'est ce qu'il se passe ?

- Violetta Diégo m'a quitté mais tu sais pourquoi je n'ai pas besoin de te faire un dessin. Comment t'as pu me faire ça Violetta ? Comment t'as pu coucher avec le petit ami de ta meilleure amie ?

- attends je n'ai rien fait ?

- Et ça ce n'est rien ? "

Elle m'envoya une photo qui resta malheureusement sur l'écran trop longtemps. Léon passa sa tête sur mon épaule et voulais me demander qui était au téléphone qui s'était. Lorsqu'il se ravisa et je le sentit trembler derrière moi. Je me retourna vers lui. Je reçu une nouvelle notification sur mon téléphone. Je n'aurais pas du ouvrir cette page. Sur celle-ci on pouvait lire

" Violetta et Diégo nouvelle idylle devant les caméras ? Qu'en pense leur petits amis ?"

Je pleura à chaudes larmes. Je tenais toujours la main de Léon mais il la relâcha brusquement. Il laissa les cadeaux sur le canapé et quitta l'appartement sans dire un mot me laissant seul dans la pénombre avec cette rumeur qui était monté de toute pièce. Je devait récupérer Léon mais la question restait comment ?