Chapitre 19 : Where are you Violetta ? A new song

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P.D.V. Violetta :

J'étais parti précipitamment, je ne voulais pas revoir Léon. Si ce que m'avait dit Francesca était vrai, il devrait se marier mais pourquoi ne m'en avait il pas parler ? Il voulait certainement me voir pleurer et m'enfuir comme aujourd'hui. Mes larmes ruisselèrent le long de mon corps mais je ne pris pas le temps de m'en rendre compte. Je devais partir le plus loin possible de Léon mais pour aller ou ? Je ne pouvais pas retourner à la maison et ma tante était partie en voyage. Je ne réfléchis même pas. Je m'arrêta quelque seconde est sentie mon téléphone vibrer. Je récupéra ce dernier et regarda. Encore un coup de téléphone de Léon. Je rangea dans ma poche le téléphone et repris cette fois mon chemin sans courir et en essayant de réfléchir ou aller. Au bout de quelque seconde mon téléphone sonna de nouveau et la personne insista alors je décrocha sans savoir qui fut mon interlocuteur.

Moi : Qu'est ce que tu veux Léon ?

??? : Du calme ce n'est que moi.

Moi : Francesca, qu'est ce qu'il se passe ?

Francesca : Rien ne t'inquiète pas. Je m'inquiète pour toi ou tu es ? Je peux venir te chercher si tu veux ?

Moi : Non, j'ai besoin d'être seule.

Francesca : Violetta, je...

Moi : Tu n'as pas à être désolé Francesca, je me suis fait bernée par un amour que je croyais réciproque. Si tu es avec Léon, dis lui que je ne veux plus le voir.

Francesca : Entendue, sache que je t'aime ma Vilu.

Moi : Moi aussi ma Fran.

Je raccrocha en espérant que Francesca passerait le message à Léon et que ce dernier ne fasse plus irruption dans ma vie. Mes pas me conduiront à l'endroit ou j'avais l'habitude d'aller avec Léon quand j'avais des problèmes. Je m'assis sur le banc et me surpris à pleurer. Léon me manquait mais il m'avais mentit. Pourquoi ?

P.D.V. Léon :

A la suite du coup de fil de Francesca avec mon étourdie cette dernière raccrocha et me regarda en me faisant un hochement de tête négatif. Je me dirigea vers le mur et donna un coup de dedans. Je mis ma tête contre et senti le frais . Une main vint doucement se placer sur mon épaule. Je détourna le regard est tomba sur Fédérico. Ce dernier me pris dans ses bras et je me laissa pleurer. Pourquoi la vie était elle si compliquer et me séparait de celle que j'aimais ? Fédérico me laissa pleurer autant que j'en avais besoin. J'avais les yeux boursoufflés par les larmes. Ce n'était rien en comparaison à ce que devais ressentir Violetta. Je me libéra de son emprise, pris mon téléphone sorti sur le pallier et réessaya de l'appeler mais cette dernière avait du filtrer mes appels. Je retourna dans l'appartement et pris celui de Francesca laisser sur la table non sans lui avoir demander son accord. J'appela Violetta. Celle-ci répondit et j'entendis un son faible.

Violetta : A... Allo ?

Moi : Violetta, il faut que je te parle ?

Violetta : Léon ??? je n'ai rien à te dire.

Moi : Si tu n'as rien à me dire tu peut me laisser parler alors ?

Violetta : Ce n'est pas comme ça que ça marche. Tu compte encore jouer avec mon cœur. Je te préviens Léon si c'est pour me faire plus de mal qu'autre chose tu peut rester ou tu es.

Moi : Non, je te promets que non. Je suis aussi mal que toi mais je dois te voir dis moi ou tu es ?

Violetta : Je suis la ou va quand on a nos problèmes sur le banc à attendre désespérément qu'on me dise que ce que je te dis est une erreur.

Moi : Je t'interdis de dire que c'est une erreur. Je te rejoins et on va se parler Violetta.

Violetta : Qui te dis que je serais encore la quand tu arrivera ? Qui te dis que je voudrais t'écouter ?

Moi : Ton cœur.

Un blanc se mit entre nous laissant à chacun de réfléchir.

Moi : Violetta tu es toujours là ?

Violetta : Oui je suis toujours là. Tu as réussi à me calmer je ne sais pas comment tu fais j'ai beau être énervé après toi je me dis que je peut t'attendre.

Léon : Attends moi surtout.

Je raccrocha non sans omettre un je t'aime qui n'eu aucune réponse mais je savait qu'elle m'aimait. Il ne fallait pas que j'en doute. Je retourna au sein de l'appartement, rendit son téléphone à Francesca, prit ma veste et dit à mes amis que je rejoignais Violetta. Je laissa les clés à Fédérico et pris la direction de notre endroit. Je me mis à courir à travers les rues. Au bout d'une bonne demi heure j'arriva à notre banc. Je la vu assise, regardant vers l'horizon. Je me surpris à aller à sa rencontre posa ma main sur son épaule et la regarda en lui chantant :

No soy ave para volar,
Y en un cuadro no se pintar
No soy poeta escultor.
Tan solo soy lo que soy.

Las estrellas no se leer,
Y la luna no bajare.
No soy el cielo, ni el sol...
Tan solo soy.

Pero hay cosas que si sé,
Ven aquí y te mostraré.
En tu ojos puedo ver....
Lo puedes lograr, prueba imaginar.

Podemos pintar, colores al alma,
Podemos gritar iee eê
Podemos volar, sin tener alas...
Ser la letra en mi canción,
Y tallarme en tu voz.

No soy el sol que se pone en el mar,
No se nada que este por pasar.
No soy un príncipe azul...
Tan solo soy.

Pero hay cosas que si sé,
Ven aquí y te mostraré.
En tu ojos puedo ver....
Lo puedes lograr, (lo puedes lograr...)
Prueba imaginar.

Podemos pintar, colores al alma,
Podemos gritar iee eê
Podemos volar, sin tener alas...
Ser la letra en mi canción...

No es el destino,
Ni la suerte que vino por mi.
Lo imaginamos...
Y la magia te trajo hasta aquí...

Podemos pintar, colores al alma,
Podemos gritar iee eê
Podemos volar, si tener alas...
Ser la letra en mi canción...
Podemos pintar, colores al alma,
Podemos gritar iee eê
Podemos volar, si tener alas...
Ser la letra en mi canción...
Y tallarme en tu voz.

Violetta m'écouta chanter et se blottit dans mes bras. Je lui posa un baiser sur le front et lui demanda de m'écouter. Elle hocha la tête. Je me lança dans un récit qui changerait radicalement notre décision.

Our story, our battle tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant