Chapitre 41 : I thought you were my friend, a new song

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P.D.V. Violetta :

Je me réveilla le lendemain. Je ressentait la douleur. Je regardais autour de moi. Je ne voyais toujours rien. La porte claqua à nouveau me faisant sursauter. Rien que de bouger me faisait une sensation de brulure.

??? : Alors, on est réveillé princesse ?

J'essaya de parlé mais je ne pu. Le bandeau qu'il m'avais mis autour de la bouche m'en empêchait toujours. Il se rapprocha de moi posa sa main sur ma joue. J'essaya de me dégager mais je ne pu.

??? : Tu es belle Violetta, tu l'étais d'autant plus cette nuit.

Cette nuit ? Qu'avais je fais avec lui. Je le regarda interrogatrice de ce qu'il avais bien pu se passer.

??? : Tu te demande ce qui as bien pu se passer j'imagine. Nous avons fait l'amour ensemble. Du moins sans ton consentement, donc je te laisse imaginer ce qui as bien pu se passer. En tout cas tu était très belle cette nuit.

Je me dégoutais. Comment se type pouvais me regarder et me sourire après ce qu'il avais fait. Il me racontait en détail ce qu'il avait fait et rigolait. Plus il parlait plus je ne pouvais me contenir. Je voulu me dégager mais ce n'étais pas possible. La rage et le dégout me consumait petit à petit. Une larme perla sur le coin de ma joue. Il mit sa main à nouveau sur ma joue et récupéra mes larmes. Puis il embrassa ma joue avant de se tourner à nouveau vers moi et me sourire.

??? : Léon va souffrir autant que toi je te le garanti.

Il parti et referma la porte derrière lui me laissant à nouveau seule dans le noir. Je pensais à Léon et me demandait s'il me pardonnerait un jour. Je l'aimais et espérais le revoir.

P.D.V. Fédérico :

J'étais resté de longues minutes abasourdie par ma rencontre avec mon frère. Je pensais qu'il était partie le plus loin possible de ma vie. Je devais protéger Ludmilla plus que tout. Qu'en était il de Violetta ? Ou l'avait il emmené ? Ludmilla passa plusieurs fois sa main devant mon visage. Je secoua la tête plusieurs fois avant de la regarder. Elle étais énervé et je la comprenais quelque part.

Ludmilla : Fédérico enfin, tu peut me dire ce qu'il se passe ?

Moi : Rien.

Le ton de ma réponse était froid.

Ludmilla : Tu peut me dire pourquoi tu ne m'as pas parlé de ton frère enfin ? on est un couple et je veut partager tes problèmes.

Moi : Tu ne connais rien de mes problèmes d'accord. J'aimerais que tu t'occupes de tes affaires.

Ludmilla : Très bien.

Elle retirait sa main de la mienne et commençait à partir lorsque je me retournais vers elle et mis ma main sur son épaule la forçant à ne pas bouger. Je mis ma tête contre son dos.

Moi : Je suis désolé mon cœur. Je ne sais pas ce qui m'as pris. Je ne suis qu'un idiot.

Ludmilla : Un idiot oui, mais un idiot que j'aime.

Je la serra dans mes bras et l'embrassa dans le cou. Nous nous dirigeâmes à présent vers l'appartement. Lorsque nous le vîmes, on se mit à courir. Ludmilla poussa la porte et j'eu une certaine appréhension à rentrer. Je me demandais quelle serait la réaction de Léon lorsque je lui dévoilerais la vérité. M'en voudrait il ? Ludmilla me poussa à l'intérieur et Nous pûmes apercevoir Léon et Luna qui nous regardais tout les deux avant de prendre un fou rire. Nous nous joignîmes à eux. Mon rire sonnait faux et je pense que Léon ne tarderait pas à s'en rendre compte. Je le vis s'approcher de moi et m'emmener à part.

Léon : Tu peux me dire ce qui se passe Fédérico ?

Moi : Ri... Rien.

Léon : Ne me prends pas pour un idiot. Je suis ton meilleur ami et je sens bien que tu es angoissé.

Moi : Très bien. Je pense savoir qui retiens Violetta.

Léon : C'est une bonne nouvelle ça.

Moi : La mauvaise c'est que je n'ai pas pu la protéger correctement. Je m'en veux Léon tu peux pas savoir.

Léon : Qu'est ce que tu as fait ?

Moi : Déjà je vais te dire qui détiens Violetta. C'est mon frère Léon.

Léon : Mattéo ?

Moi : Lui-même. Il est venu me demander si Violetta était ma petite amie. Je lui ai dit que non. Pourtant il savais de source sur que Violetta et moi étions ensemble. A un moment, il a dit qu'une personne lui avais menti et je lui ai demandé qui. Il m'a répondu Violetta. Elle avais assuré à mon frère que nous étions ensemble. Je ne sais pas ce que Mattéo lui as fait mais je suppose que si Violetta l'a dit c'était pour te protéger toi.

Léon : Tu veux dire que tu sais que c'est ton frère qui retient Violetta et que tu ne l'as pas suivi pour voir ou il allait ?

Moi : Non.

Léon : Mais enfin Fédérico, tu sais ce que je ressent pour Violetta. Tu sais ce que j'endure depuis des jours et tu ne fais rien ? Je rêve la. C'est peut être ton frère mais tu as aussi ta meilleure amie si elle l'est toujours avec lui. Je me demande pourquoi on est ami tout les deux.

Moi : Ne dis pas des choses que tu regretter ais Léon.

Léon : Je veux pas te voir pour le moment. Tu peux renier notre amitié. Je ne sais même pas pourquoi je t'ai sauvé de lui ce jour là si ce n'est pour être avec moi quand j'en ai besoin.

Moi : Mais...

Léon : Va t'en Fédérico !

Moi : Je ne partirais pas d'ici tant que nous n'aurions pas cette conversation.

Léon : Si tu ne pars pas c'est moi qui partirais.

Ludmilla : Qu'est ce qui se passe vous deux ?

Léon : Tu n'as qu'a demandé à ton petit ami s'il n'est pas trop lâche pour te répondre.

Moi : Léon ! On est voisins.

Léon : Gardes les clés et continues de penser à toi.

Léon sorti de l'appartement et claqua la porte nous laissant seuls tous les trois.

Our story, our battle tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant