Our story, our battle tome 1

Chapitre 38 : Luna our last hope, a new song

P.D.V. Léon :

Je les regardais dubitatif de leur réponse. Comment Luna pourrait elle nous aider ? Fédérico me ramena à la réalité en claquant ses doigts. Je secoua la tête et regarda mon meilleur ami. Les traits de son visages était inquiétant mais il avait l'air plus inquiet pour moi.

Fédérico : Léon... Tu es avec nous ?

Moi : Oui, excuse moi Fédérico. Je pensais à ce que tu venais de dire.

Fédérico : Quel est donc ta déduction ?

Moi : En quoi Luna nous aidera à retrouver ton frère jumeau ?

Fédérico : Tu oublie un détail Léon. Luna est la seule à connaître Mattéo après moi. Je pense donc qu'elle le connaît plus que moi comme elle est sortie avec mon frère plus d'un an.

Moi : Ton frère te parlait à l'époque ?

Fédérico : On se parlait très peu. Le plus souvent en vidéo. On était souvent éloigner l'un de l'autre .

Moi : Qu'est ce qui vous à fait couper les ponts tous les deux ?

Fédérico soupirait face à moi. Ne voulait il pas m'en parler. Je sentais que ce sujet était fragile pour luiµ. Je voulais me montrer aussi présent qu'il l'avais été pour moi à l'époque.

Moi : Fédé...

Fédérico : Pour diverses raisons. Tu dois te demander pourquoi je n'ai jamais essayer de renouer avec lui? J'ai essayé plusieurs fois d'aller le voir à sa porte. Personne ne répondait, j'en déduisait donc que je ne tombais jamais au bon moment. Pourtant, je sentais sa présence et sentait qu'il nous voulais plus me voir. Je vais t'expliquer pourquoi. C'est simple, nos carrières ont pris deux tournant différent lorsque j'ai été contacté pour participer à x factor et lui à été refusé. Il pensait que je refuserait de participé sans lui or j'ai accepté. Ma carrière à débuté et je me suis éloigné au fur et à mesure de mon frère. Un ami à essayé de nous réconciliez. Il y est arrivé au bout de quelques mois. Mais un jour, j'ai eu une petite amie. Mon frère était autant intéressé par elle que moi. Nous somme resté ensemble deux ans. Un jour, le producteur m'a appelé et je devais me rendre à l'agence. J'ai prévenue ma petite amie qui m'a dit qu'elle m'attendrait à la maison. Quelque heure plus tard je suis revenu à la maison et j'ai découvert mon frère et ma petite amie s'embrasser devant moi. Mon frère m'a vu, à sourit et à dit : tu vois que c'est possible, tout ce qui est à toi sera aussi à moi désormais. Depuis, j'ai claqué la porte et suis parti loin de lui. Aujourd'hui, je protège encore Ludmilla de mon frère.

Je le regardait me parler de son récit et je comprends pourquoi il était difficile pour lui de se mettre à nu en me parlant de son passé avec son frère. Je pris Fédérico dans mes bras. Je lui promis d'être la pour lui. Ludmilla partie en cuisine nous faire du thé. Je garda le salon. Celui était dévasté. Les lampes était renversés, les papiers éparpillés. Seule la cuisine était intacte. Fédérico pris place dans le fauteuil, Ludmilla se mit face à lui. J'allais les rejoindre lorsque deux chose ont retenu mon attention.

Fédérico : Léon ?

Je ne l'entendait plus et me dirigea sur ce que j'observait. Lorsque j'arriva à la hauteur, je me baissa et pris l'objet dans mes mains. La première chose était la photo de Violetta et moi dans le parc que nous visité la semaine dernière et la deuxième la bague que je lui avait offert le même jour. Que faisait il dans le salon? Je les rangea précieusement dans ma poche. Je me tourna vers Fédérico et Ludmilla qui me regardait étonnés ?

Fédérico : Tu as trouvé quelque chose Léon ?

Moi : Oui. J'ai trouvé une photo de Violetta et moi ainsi que sa bague .

Fédérico : Qu'est ce que ca veut dire à ton avis.

Moi : Je ne sais pas.

Je pris place à côté d'eux et pensais à Violetta. Je me perdit dans mes pensées. Je regarda ma tasse et pensais à ce que Violetta pouvais endurer. Ludmilla me ramena à la réalité en passant sa main devant mon visage. Je la regarda et la remercia silencieusement. Son visage était désolé.

Fédérico : Ludmilla ! Gronda il.

Ludmilla : Enfin Fédérico, Léon à le droit d'entendre la conversation. Se justifia elle.

Moi : De quoi parliez vous ?

Fédérico : Nous parlions du plan pour sauver Violetta ?

Moi : Quelle est la solution à adopter ?

Ludmilla : Nous pensions que tu pourrais continuer de jouer le couple avec Stéphie et essayer de lui soutirer des informations.

Moi : Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne l'aime pas et je ne vois pas revenir devant mon père en me résignant à accepter alors que ma petite amie est en danger.

Fédérico : Je t'avais dis qu'il allait refuser.

Ludmilla : Avons-nous réellement le choix ?

Moi : En tout cas je propose de continuer à chercher que d'accepter de me marier avec elle.

Fédérico : Je comprends Léon.

Nous cherchâmes de nombreuses solutions pendant de nombreuses heures. Quelques idées étaient bonne mais non réalisâmes. Ludmilla s'endormit sur l'épaule de Fédérico sans doute à cause de l'épuisement. Tous les deux nous continuâmes de chercher. Un moment plus tard, je me pris la tête dans les mains et dans un élan de colère jeta les papiers présents sur la table. ,Je me leva et me dirigea dans la cuisine. Fédérico posa délicatement Ludmilla contre le fauteuil et me rejoins.

Fédérico : Qu'est ce qui se passe Léon ?

Moi : On arrive à rien on ne la retrouvera jamais.

Fédérico : Ne dis pas ça, je suis sur du contraire.

Moi : Tu sais j'aimerais avoir ton optimisme.

Fédérico : Tout va bien se passer.

Nous n'eûmes pas le temps de parler plus que j'entendis des pas sur le palier. Ils se rapprochèrent de la portes et s'arrêtèrent. On frappa à la porte. Je ne répondis pas de suite. La personne insista. Je me déplaça devant la porte et l'ouvris la tête. Derrière la porte, se trouvait Luna. Cette dernière était trempé et au bord des larmes.

Luna : Je sais ou est Violetta.