Our story, our battle tome 1

Chapitre 47 : what solution can be find ? a new song

P.D.V. Léon :

Je regardais Ludmilla, cette dernière fixait la porte avec inquiétudes. Je me leva de ma chaise la faisant sursauter. Je m'avança à sa hauteur et lui dit :

Moi : Ludmilla, tu n'as pas à t'inquiéter. Je vais aller lui parler. Prends soin de Violetta pendant mon absence.

Elle hocha la tête pour acquiescer et je la regarda s'installer sur la place dont j'étais assis quelques minutes auparavant. Je fis un dernier regard au filles et sortit de la pièce. Dans le couloir, je chercha Fédérico du regard lorsque je regarda sur ma gauche et entendit mon meilleur ami en larme. Je me mit à sa hauteur et attendit qu'il soit prêt a me parler. Je ne dis rien. Fédérico redressa la tête et me vit. Il fut surpris que je sois à ses côtés et non auprès de Violetta. Ses yeux était rouges et sa mine faisait peine à voir.

Fédérico : Lé... Léon... Qu'est... Qu'est ce que tu fais la ?

Moi : Disons que tu es mon meilleur ami et que j'aimerais comprendre ce qui te met dans cet état.

Fédérico : La pression de tout ces jours qui redescends. Tu n'as pas à t'en faire pour moi.

Moi : Arrêtes de dire ça et dis moi la vérité. Je te connais par cœur et je sais que ce n'est pas ça qui te met dans cet état.

Fédérico : Tu sais ce qui me met dans cet état c'est de me dire que je suis responsable de tout ce qui arrive. Mon frère qui s'en prends à Violetta, le fait que j'ai mis tout ce temps à réaliser ce qu'il se passait et que je ne soit pas intervenu dés que je l'ai su. Le fait que je perde la complicité que j'ai avec ma meilleure amie qui aujourd'hui à peur de me voir. Je sais pas mais des fois je me dis que je ferais mieux de quitter la ville et repartir à zéro.

Moi : Tu voudrais dire partir et laisser Ludmilla ici qui a besoin de toi et qui t'aime comme jamais. Tu ne crois pas que si tu pars, elle se renfermerais sur elle-même ? Elle ne deviendrait pas une personne méchante et en voudrait à tout le monde que tu l'a laissé tomber ?

Fédérico voulu parler mais je l'en empêcha.

Moi : deuxièmement, tu voudrait partir et laisser ta meilleure amie ici. Peut être qu'au jour d'aujourd'hui vous n'êtes pas aussi proche qu'autrefois mais ce n'est pas une raison pour tout laisser tomber et Violetta serais déçu de t'entendre parler ainsi. Ce n'est qu'un passage Fédérico et je sais aussi bien que tu le sais que votre amitié est bien plus forte que ces moment qu'elle viens de vivre. Si vous vous laissiez le temps je suis sur que vous repartirez sur de bonnes bases. Enfin , passons au troisième point. Tu voudrais me laisser ? C'est une blague j'espère. Fédé, on est meilleur ami depuis tellement d'années que je ne compte plus le nombre de fois ou tu as été la pour moi dans mes problèmes familial que dans ma vie personnel. Tu m'as soutenu dans mes bons comme dans mes mauvais moments. Je sais que si tu n'es plus là à mes côtés mon monde va s'effondrer. Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer mais, je me souviens de tous ces moments ou on se disputait pour un rien et on s'est toujours réconcilier. Alors je tiens à te demander une faveur et j'aimerais que tu l'acceptes avant de te dire ce que c'est.

Fédérico : Mais..

Moi : Acceptes Fédérico. Je ne te lâcherais pas tant que tu ne m'aurais pas dis le mot j'accepte.

Fédérico : Tu sais que ce que tu fais c'est du chantage. T'es mon meilleur ami Léon et je sais que ce que je vais te dire va peut être te faire plaisir mais avec ce qu'on a traversé je me rends compte que c'est lâche de me comporter comme je vais le faire. Je reste tu as gagner. Je rendrais tout le monde malheureux et de toute manière je ne me sentirait pas à ma place sans vous, à mes côtés. Léon ?

Moi : Oui ?

Fédérico : J'accepte ta proposition. Maintenant, tu veut bien me dire la proposition que j'ai accepté.

Je ne le laissa pas finir sa phrase que je l'enlaça de bonheur.

Moi :Fédérico, je te remercie .

Fédérico : Mais enfin, pourquoi tu me remercie ?

Moi : Tu viens d'accepter d'être ton témoin de mariage.

Fédérico: Moi, j'ai accepté d'être ton témoin de mariage ? Tu te maries avec Stéphie ?

Moi : Des fois je me demandes si tu n'es pas né idiot ou si tu le fais vraiment exprès.

Je ria devant mon meilleur ami qui ne comprenais toujours pas.

Moi : Tu ne te rappelle de rien ? Je suis censé me marier avec Violetta et Stéphie est d'accord pour jouer la comédie avec nous. Mon père croit que je me maries avec elle. On à avancé la date du mariage ainsi que l'horaire. Seul ma mère est au courant ainsi que tout les invité. Je voulais que tu sois mon témoin car tu es mon meilleur ami.

Je le pris dans mes bras et je le sentit s'apaiser. Fédérico était mon meilleur ami quoi qu'en dise ou en pense les autres. Je ne le laisserais jamais partir loin de moi pour des mauvaises raison.

Moi : Fédérico, si on retournait à l'intérieur, je suis sur que nos deux princesses nous attendent avec impatience ?

Fédérico : Tu es sur qu'elle veut me voir ?

Moi : En as-tu réellement le choix ? De toute manière, je ne vais pas rester avec toi.

Fédérico : Quoi ? Léon tu peux pas me faire ça ?

Je lui souris et poussa la porte. Je regarda Ludmilla et Violetta. J'appela doucement Ludmilla. Elle se retourna vers moi et nous vit. Elle sourit. Je lui dit de venir un instant dans le couloir. Elle vint à notre encontre. J'exposa mon plan à Ludmilla qui se montra réticente au début mais finit par céder. Après tout, c'était pour le bien de Fédérico que nous faisions cela. Elle l'embrassa sur la joue avant de se diriger avec moi vers le fond du couloir laissant Fédérico seul dans le couloir livrer à lui-même. On l'entendit juste dire cette phrase.

Fédérico : Vous allez pas me laissez seul ?

Allait il entré dans la chambre et resté avec Violetta ? Allait elle accepté que Fédérico soit avec elle ? Nous devions essayé pour eux de les laisser seul mais je me disait malgré tout que c'était trop tôt et trop tard pour faire machine arrière. Nous nous dirigeâmes avec Ludmilla vers la cafétéria et nous assîmes à une table espérant que Fédérico fasse le maximum pour parler à Violetta.

P.D.V. Fédérico :

Que devais je faire ? Je resta de longue minutes à espérer qu'ils reviennent. Personne ne revient vers moi. J'étais perdu. Je regarda en direction de Violetta. Devait allé la voir et risquer de tout gâcher ou au contraire de retrouver notre complicité ? Devais je rester ici et attendre que Léon et Ludmilla reviennent et m'en veulent de me trouver aussi lâche ? Je pris une décision et tant pis pour les conséquences. Après tout, je n'avais plus rien à perdre. Je referma la porte derrière moi et me plaça sur un fauteuil , loin de Violetta. Je m'en voulais de l'avoir laissé tout ce temps auprès de mon frère. J'étais tellement dans mes pensées que je ne regardais plus Violetta. C'est seulement quelque minutes plus tard que nos regards se croisèrent.

Violetta : Fédé ?

Avait réellement fait la plus grosse erreur de toute ma vie ?