Chapitre 27 : Nightmare or not a new song

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P.D.V.Violetta :

Tout tourne autour de moi. Je me tourne et me retourne dans le lit. Je suis réveillée depuis une bonne heure. Je crois que j'angoisse trop sur le notre départ. Je ne sais plus si c'est une bonne idée mais nous devons tenter le tout pour le tout avec Léon. Je ferme à nouveau les yeux et essaye de me replonger dans mon rêve.

* Rêve *

Nous étions sur la route lorsque soudain j'entendis les sirènes des gendarmes. Je regardais Léon il avait l'air inquiet et ralentit pensant que cela serait pour la vitesse et que nous aurions un simple contrôle des papiers. Léon se gara sur le bas côté. Les gendarmes nous rejoignirent et se garèrent devant la voiture de Léon. Ils descendirent de voiture et Léon sortit de la sienne. Il parla quelque minutes lorsque l'agent pour une raison que j'ignore emmena Léon et me fis descendre à mon tour de la voiture. Je commençais à m'inquiéter. L'agent me fit monter avec lui dans le camion et me plaça à côté de Léon. J'osais à peine le regarder. J'étais tellement dans mes pensées que je ne sentis pas la main de Léon sur la mienne. Il faisait quelque cercles sans doute pour me rassurer mais je fus plus inquiète qu'autre chose. Léon se rapprocha de moi et me murmura un faible désolé. Je ne comprenais pas la raison de ses excuses. Je vis l'agent avec son téléphone. Il appela sans doutes ses supérieurs pour vérifier nos antécédents. J'entendis une fin de conversation ou il dis qu'ils avait retrouver quelque chose mais je ne fis pas de rapprochement avec quoi que ce soit. Je pris la main de Léon et continua de m'inquiéter le long du trajet. Lorsque nous furent arriver au poste, les agents nous firent assoir sur une chaise et prirent notre déclaration. La personne en face de nous nous dit qu'une personne allait venir chercher Léon mais que je resterais un peu plus de temps car il fallait trouver la personne qui viendrait me récupérer après les kilomètres que nous avions fait. Nous attendirent quelques heures, lorsque nous entendirent les cris du père de Léon dans le commissariat, demandant ou se trouvait celui-ci. Il regarda par-dessus les épaules de l'agent et nous vus. Il contourna et nous rejoint. Il se mit devant Léon et le gifla. Léon releva la tête et regarda son père avec un regard noir. Mon corps tremblait. Je n'osais pas m'interposer entre eux mais je ne voulais en aucun cas que Léon souffre par ma faute. J'essaya de parler mais aucun son ne sortit. Le père de Léon se tourna alors vers moi. J'eus peur de lui. Je voulu reculer mais je ne pu. Ce dernier se mit devant moi et me hurla dessus que si la situation était de cette sorte c'est que ce fut entièrement de ma faute. Léon se retourna vers son père et hurlait également. J'entendis leurs hurlement qui résonnait dans mes oreilles et un seul revenait sans arrêt " C'est de ta faute" "C'est de ta faute" "C'EST DE TA FAUTE"

*Fin du rêve*

Je me réveilla en sursaut. Jamais je n'avais rêvé de la sorte. Je pense que je pensais trop au voyage et que celui-ci me stressais plus que je ne l'aurais imaginé. Je me tourna de l'autre côté. L'autre partie du lit était vide. Léon était repartie chez lui pour ne pas éveiller les soupçons sur notre relation mais il fallait bien avoué qu'il me manquait. Je regardait au loin l'heure sur le réveil. Il affichait deux heure quarante. Je me leva du lit et me dirigea vers la cuisine. Je fit couler l'eau et me servit un verre. Je bus quelque gorgées puis alla me passer le visage sous l'eau dans la salle de bains. Je regarda mon reflet à travers le miroir. Je ne serait pas présentable. On aurait dit que je me serait battu avec mon oreiller toute la nuit et que celui-ci aurait gagner. Je passa un peu de maquillage, m'habilla en vitesse et fit ma valise. Je regroupa les dernière affaire lorsque mon téléphone s'alluma. Je regarda le message de Léon me disant qu'il partait de la maison et qu'il me rejoindrait dans les prochaines minutes. Je débrancha le fil de mon téléphone et mis mon chargeur dans mon sac. Je ferma ma valise et soupira en remarquant l'appartement vide. Il y a quelques minutes les affaires de Léon et les miennes était encore éparpillés dans la pièce. Je mis ma valise devant la porte, pris un post it sur le frigo et écris un mot à Ludmilla et Fédérico pour que ces derniers ne s'inquiètent pas. Je pris mes clés et ouvris la porte. Je ferma à double tour la porte et pris la direction du parking. J'eus à peine le temps d'installer ma valise sur le sol que deux mains se posèrent devant mes yeux.

??? : Devine qui c'est ?

Moi : Léon ?

??? : Perdu.

Je fus encore plus inquiète devant la négation de la réponse. La personne enleva ses mains de mes yeux. Je me retourna et découvris mes deux meilleurs amis. Je me dirigea vers eux et les pris dans mes bras. Qu'est ce que je ferais sans eux. Ils n'était pas mes meilleurs amis pour rien.

Moi : Vous allez vraiment me manquer.

Ludmilla : Toi aussi Violetta.

Je vus qu'elle avait les larmes aux yeux puis d'un coup de nouveau plus rien.

??? : Devine qui c'est ?

Moi : Vous n'êtes vraiment pas les meilleures amis pour rien vous deux n'est ce pas mon chéri ?

Léon : Tu as bien deviné ?

Léon enleva ses mains en je me retourna vers lui. Il avança sa tête vers la mienne et me déposa un baiser léger mais avec plein 'émotions. Je ressentais sa peur avait il vu la même chose que moi ? Je n'osa pas lui poser la question de peur de le braquer. Il me serra dans ses bras puis se détacha pour mettre ma valise dans sa voiture. J'eu un regard inquiet dans sa direction mais essaya de chasser mon mauvais rêve de mes pensés. Fédérico alla vers son meilleur ami tandis que je me dirigea vers Ludmilla. Celle-ci n'avais toujours pas bouger. Je la pris dans mes bras et la rassura du mieux que je pus. Elle mis ses mains derrière mon dos et pleura à chaude larmes. Je la laissa faire quelques minutes. Lorsque nous nous détachâmes je la vis renifler et elle avait les yeux rouge et gonflé par l'émotion.

Moi : Si on m'avait dis qu'un jour tu pleurerais pour moi. Tu te souviens de notre rencontre il y a trois ans ?

Ludmilla : Tais toi idiote.

Moi : Tu va me manquer Ludmilla.

Ludmilla : Toi aussi Violetta. Prends soin de toi.

Moi : Je n'y manquerais pas.

Nous nous firent encore quelques embrassades puis vint le tour de Fédérico ce fut certes moins explicite mais ce n'était pas pour autant que nous aimions pas. Il était mon meilleur ami au même titre que Ludmilla mais il montrait mois ses émotions. Je regarda du côté de Ludmilla et Léon ou il en était ce n'était pas vraiment chaleureux . J'entendis Ludmilla dire à Léon de faire bien attention à moi si il ne voulait pas avoir d'ennui. Je plaignais Léon. Ce n'était pas des dires mais plutôt des hurlements que Ludmilla disait à Léon. Si cela continuait elle allait finir par réveiller tout le monde. Fédérico s'éloigna de moi et se dirigea vers elle la prenant par la taille et la calma. Je rejoignis Léon un peu troublé par la situation. Nous nous dirigeons vers la voiture et il m'ouvrit la porte. Je m'installa côté passager et il se mit à mes cotés. Je le regarda. Il démarra la voiture. Je lança un dernier regard vers mes amis et leur fit un dernier signe avant que nous tournâmes. Je regarda la route et appuya ma tête sur la fenêtre. Je m'endormis songeuse de ce qui allait nous arriver. Mon rêve était il autant prémonitoire ou était ce juste de l'anxiété ? 

Our story, our battle tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant