Chapitre 26 : a blond storm, a new song

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P.D.V. Violetta :

Suite à la révélations de Fédérico et Luna ce dernier la prit dans ses bras dans d'autres circonstances, Ludmilla aurait été jalouse mais la il n'y avait pas de raison. J'espérais fortement que Fédérico retrouve son frère. Fédérico remercia Luna pour les informations qu'elle lui apportait et se libéra. Nous entendirent les sac d'une personne tomber et les fruits atterrirent à nos pieds. Nous nous retournâmes et découvrirent Ludmilla. Celle-ci était rouge de colère et était au bord des larmes. Fédérico se dégagea de Luna et rattrapa Ludmilla qui commençais à se retourner et à partir. Elle s'engagea dans la rue et Fédérico lui retient le bras. Elle se dégagea fortement de son bras sans oser dire un mot ce qui énerva Fédérico. Il se mit devant elle et ne la laissa pas passer. Elle se retourna vers nous pour que nous l'aidons mais nous étions décontenancés par la situation. Elle se mit face à Fédérico et le toisa du regard.

Ludmilla : Fédérico, laisse moi passer.

Fédérico : Qu'est ce qui te prends ?

Ludmilla : Qu'est ce qui me prends ? C'est la meilleure je te trouve dans les bras d'une autre fille et tu oses me poser la question ? C'est plus à toi que je devrais la poser.

Fédérico : Ce n'est pas ce que tu crois.

Ludmilla : C'est ce qu'il disent tous.

Fédérico : Laisse moi t'expliquer.

Ludmilla : Je te laisse une minutes pour me dire ce que tu faisait dans les bras d'une autre fille.

Fédérico : C'est une amie de Violetta et je la connaissait de par l'intermédiaire de mon frère . Elle m'a donné quelque informations sur lui mais malheureusement je ne sais pas ou il peut être.

Ludmilla se radoucit un peu et pris la main de mon ami.

Ludmilla : Tu as un frère ? Pourquoi je n'étais pas au courant ?

Moi : Je n'aime pas trop parler de mon passé.

Ludmilla : Pourquoi elle, elle est au courant ?

Fédérico : Elle m'a confondue avec lui.

Léon : Ludmilla, c'est vrai, Luna à confondue Fédérico avec Mattéo.

Ludmilla : Je suis désolé mon amour.

Ludmilla se rapprocha de Fédérico et le prit dans ses bras. Elle ne voulait pas le quitter et Fédérico no plus par ailleurs.

Ludmilla : J'ai bien cru que tu voulais m'abandonner et je ne l'aurais pas supporter.

Fédérico : Ne dis pas de bêtises je ne peut pas te quitter.

Fédérico déposa délicatement ses lèvres sur celle de ma meilleure amie. Celle-ci était heureuse et lui serra la taille resserrant un peu plus son étreinte. Fédérico lui fit quelques bisous dans le cou et réfugia sa tête sur l'épaule de mon amie. J'étais tellement contente pour eux que je versa quelques larmes. Léon le sentit et m'entoura et me serrant part la taille. Je lui murmura un faible merci avant de regarder de nouveau mes deux amis qui était à présent face au coucher de soleil. Je trouvais leur moment tellement romantique que je ne voulais en aucun cas les déranger. Ils avaient l'air dans leur bulle tout les deux. Nous les laissâmes donc seul tout les deux et nous rendirent à notre place. Je trouva refuge dans les bras de Léon. Ce dernier regarda de nouveau la feuille l'air inquiet. J'allais lui demander ce qui n'allait pas quand je le vit soupirer et d'un coup prendre la feuille, la déchirer et pousser sa chaise pour se lever et se diriger vers la rue. Je regarda en direction d'Alex essayant de comprendre le comportement de mon petit ami. Celui-ci avait l'air autant dubitatif que moi. Je me leva à mon tour et essaya de rattraper Léon. Je courut à travers la rue lorsque je le vit poser sur un banc en face de moi l'air pensif. Il regarda le sol en se prenant les mains. Je me dirigea à sa rencontre, traversa la route et essaya de me mettre à côté de lui. Il était tellement dans ses pensées qu'il ne m'avait pas vu. Je mis ma main sur la sienne. Il sursauta et se retourna vers moi. Léon avait l'air surpris de me voir. Il ne laissa rien paraître mais je pouvais déceler au fur et à mesures ses expressions. Je resserra ma main sur la sienne montrant que je voulais être avec lui quoi qu'il arrive. Je me lança.

Moi : Léon, qu'est ce qu'il se passe ?

Je le vis soupirer et se retourner vers moi .

Léon : Il se passe que je ne sais pas si c'est une bonne idée de partir.

Moi : Quoi ? Tu m'as demandé de partir avec toi et j'ai accepté Léon et maintenant tu voudrais revenir sur ta décision. On peut toujours essayer, nos amis sont avec nous autant que ton frère. Tu ne peut pas tout abandonner maintenant Léon. Je suis avec toi nous le somme tous.

Léon : Comprends moi. Je doute fortement de cette décision.

Moi : Cette décision c'est toi qui l'a proposer je te rappelle. J'ai moi aussi des doutes mais si nous n'essayons pas nous serons pas si cette idée est la bonne. Tu sais que je doute chaque jour de notre relation et je me dis que j'ai de la chance de t'avoir à mes côtés. Je ne sais pas ce que je ferais si je n'étais pas avec toi en ce moment. J'aurais surement rejoins mon père et...

Léon : Violetta, ne dis pas ses choses la.

Léon me prit dans ses bras et s'excusa pour son comportement. Il me proposa sa main et je l'accepta. Nous retournâmes près de nos amis sans omettre de leur envoyer un message de notre retour. Léon et moi avions établi un plan de route pour les prochains jours il me regarda en souriant. Je lui rendit un sourire et remercia tout le monde de leur collaboration. Je regarda la feuille et me perdit dedans me demandant ce qu'allait nous réserver ce voyage. Ludmilla me ramena à la raison en mettant sa main sur mon épaule. Elle me dit que tout le monde rentrait et elle me conseilla d'en faire autant car la journée de demain allait sonner un nouveau souffle dans nos vie. Je les accompagna et nous rentrâmes tous vers nos maisons respectives. Je vis un dernier câlin à Léon et l'embrassa avant de rejoindre Fédérico. En arrivant à l'appartement, je reçus un message de Léon me disant qu'il m'aimait et qu'il viendrais me chercher le lendemain au environs des trois heures du matin. Je lui répondit que je l'attendrais et m'allongea sur le lit. Je regarda le plafond et pensa à la journée de demain. Qu'allait elle nous réservé ? Je me perdit dans mes pensées et m'endormit inquiète mais heureuse d'être en compagnie de Léon

P.D.V. ??? :

Je rentra dans la maison et attendit sagement qu'on m'accueille. La gouvernante arriva et pris mes affaires. Elle me dit de passer dans le petit salon et qu'on allait me recevoir. J'attendis quelques minutes quand soudain une voix grave surgit vers moi. Je me leva, fuis la révérence et regarda cette personne qui se dressa devant moi. Je souris et dit :

??? : Tout c'est passé comme prévu monsieur.

??? : Bien, nous allons voir si mon fils va nous trahir.

Nous rions à cœurs joie de suivre cette aventure.

Our story, our battle tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant