Je m'appelle Inès, j'ai 27 ans et je vis à Ijarmaouas. Un petit village situé dans la région du rif au nord du Maroc.
Enfin ça c'est depuis deux ans. Avant ça je vivais à Bruxelles Capitale de la Belgique, Capitale de l'Europe. J'y suis née et je n...
Inès est juste à couper le souffle, ses beaux cheveux sont enfin détachés et je ne m'étais pas trompé: ils sont magnifiques.
Elle a maquillé ses petits yeux de chinoise qui fait encore plus ressortir son côté asiatique et a souligné sa petite bouche d'un rose clair.
Elle me regarde dans les yeux, quand je descends les miens sur son magnifique corps souligné à la perfection dans cette robe jaune fleuri.
Je vois sa petite gorge déglutir et elle se mord la lèvre, comme elle le fait souvent.
Ce moment est interrompu par Sonya qui court vers moi. Elle aussi a été chez le coiffeur, elle est sublime.
Nous nous en allons dans une tente loué pour nous cinq.
Après 7 heures en voiture, je sens mes jambes lourdes. J'aimerais bien me les dégourdir, mais je n'y arrive pas.
Une fois dans la tente, des serveurs nous apporte de la cuisine marocaine typique, un vrai délice pour les papilles ...
Mais bon nous sommes marocains et habitué à ceci, donc nous mangeons sans trop nous y attarder.
Sonya et la mère d'Inès font une sieste sur les magnifiques sièges. Tandis que mon oncle et Inès entame une partie de carte.
Elle s'est installé par terre, sur ses genoux.
Elle rit aux éclats, je n'arrive pas à détacher mes yeux d'elle.
Je suis sure qu'il y'a eu quelque chose entre nous.
Une étrange jalousie m'empare lorsque le serveur qui dépose le thé, lui sourit et la regarde avec insistance.
- Abou ?
Je sers la mâchoire de nerfs, je quitte enfin ce serveur des yeux et me concentre sur elle.
Elle me tend un verre de thé
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Je la remercie et détourne mon regard.
Bon sang, elle me rend fou!
J'ai envie de pouvoir me lever sur mes jambes, de la prendre dans mes bras, sa tête contre mon torse et de l'embrasser tendrement.
Mon oncle s'endort à son tour et elle s'installe près de moi.
Elle sent la vanille...
- Abou? ... est-ce que tu veux qu'on se promène un peu ?
- avec mon fauteuil sur le sable?
- oh oui pardon
Elle semble déçue, elle s'apprête à se lever quand je dépose ma main sur la sienne.
Elle me regarde étonnée de mon geste, un étrange sentiment de possession m'envahit.