"Et se que je vis me hanteras toute ma vie. J'eu la sensation qu'on m'hottais mon cœur.
Je vis Alby embrasser Newt."
Je sens comme un déchirement au niveau de ma poitrine. Se que j'avais tant redouté c'était produit. Je ne savais pas exactement se qui c'était passé, et je ne voulais pas le savoir. Pour l'instant, je ne pouvais tout simplement plus bouger. J'étais pétrifiée. Pétrifiée d'effroi, d'horreur, pour tout dire je m'en foutais. Car je suffoquais. J'avais du mal à respirée à cause de la chose qui écrasais ma poitrine. J'avais tellement mal que je me pliais en deux sous la douleur, les yeux pourtant immobile. Fixer sur la personne que j'aimais, sans doute le plus au monde.
Celui avec une tiniasse blonde encore toute ébouriffé par sa journée dans le Labyrinthe. Avec ses grand yeux marron intense écarquillé par la surprise. Personne ne bougeais c'était le silence le plus totale que j'avais connus depuis maintenant plusieurs mois. Avec tout les coureurs et les quelle blocards qui étaient présent, on attendais tous la réaction de Newt.
Et évidemment qui était au premier rang ? Gally. Quand j'arrivas enfin à supporter la douleur qui m'atteignais la poitrine, je devias légèrement le regard, et, maintenant, je savais que c'était la pire chose que j'avais jamais faite de toute ma vie. Quand je regarda Alby, toute la douleur qui m'habitais se multiplia. Il tenais le visage de Newt a une main et le prenais par la taille de l'autre. Il l'attira à lui et colla son corps au siens, de manière à être aussi souder qu'un mur de brique. Sa bouche volta sur ses lèvres a une vitesse et avec une tendresse tellement insoupçonnée, que j'eu peur que mes genoux ne se dérobe sous moi. Newt était toujours sans réaction, mais cela ne découragea pas Alby, qui devait manifestement attendre se moment depuis longtemps.
Puis, il réagit. Tout d'abord il plaça doucement ses mains sur son torse, comme pour le repousser. Mais tout d'un coup, il sembla hésiter, puis, au lieux de le repousser il s'accrocha à sa chemise à l'attira encore plus contre lui.
Je suis au bord des larmes. Je ne sais même plus se que sa faisais d'avoir un cœur, le miens a été détruit dans le massacre qui a tué tout l'espoirs qui m'animais. Je suis vide. Vide comme une huître utilisé, bonne à jeter à la poubelle. À quoi bon maintenant ? Toute la joie qui ma un jour animée n'est plus qu'un lointain souvenir. C'est comme si quelqu'un s'amusais a m'arracher a petit bous, tout mon cœur. Comme si on avait mis une brique sur ma poitrine et qu'on appuyais jusqu'à se que mes os craque.
Je sentis une main se poser sur mon épaule, mais je ne pouvais plus bouger. Puis, un changement se fit : Newt se débatta brutalement et repoussa Alby. Je ne compris pas se qu'il se passais. Il l'embrassais pour ensuite le repousser ? Ça n'a aucun sens. A pars lui briser le cœur, et le miens par la même occasion.
Personne ne bouge, personne ne parle. Certain ne respire même plus. Tout le monde attend que Newt s'explique. Évidemment, maintenant, tout le bloc est arrivés.
-Je... Alby je... je ne sais pas quoi te dire, tu a toujours connus mais sentiment pour toi... Bégaie-t-il ( et je crois rêver, car je le vois me jeter un regard. Sûrement parce qu'il connais mes sentiments à son égard. ), et je... je ne sais pas se qui ma pris... je suis vraiment désol...
-Non c'est ma faute... je savais que tu... que tu... Le coupa-t-il en sanglotant à moitié.
Mais il ne pus pas finir sa phrase, et il s'enfuit dans la forêt. Personne ne bougeais. On fixais tous, sois Newt, sois l'endroit où Alby avais disparus. Quand je releva la tête, je vis ses yeux, si magnifique, poser sur moi. Ils étaient plein de culpabilité, et de haine de sois même, et je crois que se qu'il vis dans les miens le detruit encore plus. Il n'y vit que de la souffrance, le genre de souffrance qui vous grignote de l'intérieur.
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Le Labyrinthe
FanfictionUne nouvelle personne arrive dans le Labyrinthe, une fille. Thomas n'est pas encore arrivé. Comment se débrouillera-t-elle au milieu d'une bande de garçon, certain plus pervers que d'autres... Et si il y en avait un en particulier, qui réussissait à...