Chapitre 33

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Je laisse mon enfant aux filles pour aujourd'hui. Je file dans la salle de bain et me laisse glisser sous les goûtes brûlantes que laisse tomber le jet. J'en sors et met une longue robe mauve à manches longues.

Je pose mon sac sur le siège passager et enclenche la clé. Une fois arrivé à destination, je pose ma tête sur l'appuie tête en réfléchissant à comment ça aller ce passer. La boule dans ma gorge ne cessé de se manifester. Je pousse la poignée et arrive lentement à la porte. Seule la voiture de ma belle mère était là. J'en déduit que mon père est au travail. Je n'ose pas toquer donc, me rappelant que je possédais encore les clé je les sors de mon sac. Je tourne la clé dans la serrure et elle bloque, je me décide donc à toquer. J'entend les pas ce rapprocher de la porte ce qui me fais d'autant plus stresser. La clanche s'abaisse et la porte s'entre baille. La tête d'une femme en pyjama, le maquillage coulant et les cheveux ébouriffés se pose devant moi. Une odeur d'alcool se répand dans mes narines, j'attrape sa main sans reconnaître ma belle mère. Je me décide enfin à m'infiltrer sans demander. Aucun mot n'étaient sortis d'aucune de nos deux bouches. Le canapé était inondé de pizza et de bouteilles de bières vide. Les fenêtre était fermé et de la drogue était sur la table. Ni une ni deux je pars en courant vers la chambre de Marine. Je la trouve allongée en boule dans son lit, je m'approche jusqu'à m'assoir près d'elle.

« Quesqu'il se passe? »

Elle pleurait à n'en plus s'arrêter,

« Marc... Marc, il est parti hier midi car il a dit qu'il avait une autre femme depuis quelques mois et maman elle est devenue folle »

Elle pleure de plus belle en me prenant dans ces bras. Comment elle a pu faire ça à sa propre fille? Et pourquoi mon père est-il parti!? Je demande à Marine de filer dans la voiture et je redescend l'escalier en deux temps trois mouvement avant de me retrouver nez à nez avec la femme empestant l'alcool,

« Où est-t-il?! »

Elle me tend un papier froissé et humide surement liée à des larme et tourne la tête.

Je le déplit à contre coeur et réussi à déchiffrer les quelques mots,

« Je pars, je ne t'aime plus »
...

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