Chapitre 38

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Une fois rentré il me bloque encore contre la porte, il m'embrasse avec tellement de désir que mes jambes deviennent presque de la guimauve. Il descend ses baisers dans mon cou, sa main me caresse la cuisse un léger gémissement s'échappe de ma bouche, et je sens son sourire dans mon cou.

Je déboutonne sa chemise et la fais voler dans l'appartement, je n'en peux plus j'ai besoin de toucher sa peau, son tee-shirt et suis la même direction que sa chemise. Il s'arrête et enlève ma robe, il regarde mon corps comme si c'était la première fois, j'en profite pour mettre mes mains sur ce torse qui m'appelle. Il se mord la lèvre, ses yeux sont noirs de désirs, il me plaque encore plus contre la porte, nos baisers sont plus sauvages. Nos souffles sont de plus en plus saccadés.

Mattéo - Je te préviens si sa frappe tu n'ouvre pas

Je ne compte ouvrir à personne, je souris et il me soulève mes jambes s'enroulent automatiquement autour de sa taille. Mattéo me dépose délicatement sur mon lit, il ce place au-dessus de moi. Il dégrafe mon soutien-gorge qui semble inutile à ses yeux, sa descente de baiser torride recommence sur ma peau déjà brûlante de désir. Il part de mon oreille pour s'arrêter sur ma poitrine, il joue avec mon téton durci par l'hésitation, ses mains me caressent les cuisses, mon corps se cambre à chaque geste de sa part. J'en peux plus, je le veux.

Je me mets de façon à me retrouver au-dessus de lui, je vais prendre moi aussi mon temps et jouer avec ce corps de dieu grec. Je lui embrasse le lobe de l'oreille, et mes mains commencent à déboutonner ce pantalon qui lui aussi est inutile et lui retire. Je vois son membre bien durci sous ce caleçon qui va vite retrouver ses amis par terre. Je reprends possession de ses lèvres, et mes lèvres repartent à la découverte de ce corps. Je descends lentement de son cou, à son ventre et j'enlève ce caleçon pour libérer l'objet de mes désirs.

Mattéo me fait encore tourner, il enlève mon string qui est le dernier rempart pour nous combler entièrement. Je n'en peux plus, je veux le sentir entièrement en moi, je grogne un peu pour lui montrer que je n'ai plus du tout envie d'attendre. Il rentre enfin en moi, je ne peux retenir les gémissements qui sortent de ma bouche, au début il est doux. Il s'arrête et je grogne encore.

Mattéo - Je t'aime princesse

On m'a perdu pour de bon

Il intensifie ces va et vient, j'ai mes mains sur son dos mes ongles sont rentrés dans sa peau, je mets mes jambes de façon à ce qu'il est plus de place. Mes mains se baladent de son dos musclé à ses fesses super sexy, Il ne me quitte plus des yeux, et continue d'intensifier la cadence de ces va et viens.

Moi - Je t'aime aussi

Nos gémissements sont de plus en plus fort, nos respirations sont de plus en plus saccadés, jusqu'à arriver au moment du plaisir ultime de la jouissance ensemble. Il est allongé sur moi, on essaye de reprendre notre souffle, il se retire et se met à côté de moi. Nos yeux ne se quittent plus, on vient enfin de se retrouver et ce bonheur est juste magnifique.

Mattéo - Princesse je t'aime depuis le premier jour ou je t'ai vu. Je n'ai jamais aimé quelqu'un comme ça avant toi.

J'ai les larmes aux yeux cette déclaration ai juste sublime, j'ai de la chance de l'avoir dans ma vie. Je comprends à ce moment précis, que l'amour que l'on peut ressentir pour une personne est l'une des choses les plus belles au monde.

Moi - Je t'aime aussi mon cœur , depuis le premier regard entre nous, tu as complètement chamboulé ma vie. Et tu m'as rendu accro à toi.

Mattéo - Alors princesse, je fais l'amour comme un dieu ?

Moi - Je m'en souviens plus

 Le passé peut-il tout gâcher ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant