Tome 1: La guerrière indomptable.

Chapitre 19.

Elle sourit en fronçant des sourcils puis se dandina lentement de sorte à le rendre dingue.

Altaïr- Tu vas vraiment me tuer mon amour, seigneur détache moi que je puisse te donner également du plaisir si c'est cela que tu cherches.

Azylis- Non, je veux découvrir de moi même d'abord.

Altaïr- Mais ce n'est pas comme cela que tu vas découvrir grand-chose, mon dieu Azylis...détache moi et je te montrerai l'extase, je t'en prie mon amour ! Rugit il profondément

Azylis- Combien de fois dois je te dire que je déteste me faire dominer par un homme, alors cesse de parler et laisse moi voir.

Altaïr- Au grand jamais je te laisserai te sentir dominée ! Mais tu n'en profiteras pas autant de la sorte ! Seigneur Azylis, qui t'as donc appris tout cela ?! Tu es horrible ! Gémit il lorsqu'elle mordit l'un de ses pectoraux

Azylis- Voyons voir, jusqu'à quel point pourrai je te faire de l'effet.

Azylis recula puis enleva le dernier tissu de son corps. De là, Altaïr tenta de se détacher de toute ses force pour pouvoir sauter sur sa femme mais en vain. Son sang ne faisait qu'un tour alors que ses veines pulsait de désir. Depuis presque un an, il se retenait de la posséder et aujourd'hui était la goutte d'eau qui fit déborder le vase. D'où tenait elle autant de force pour l'attacher de la sorte ? La jeune femme commença à l'embrasser partout sur le corps ce qui provoquait une douleur lancinante à l'entre jambe d'Altaïr.

Azylis était ingénue, pas ignorante. Elle ne savait pas ce que c'était la notion de ne faire qu'un mais la voir à l'œuvre comme cela, ne faisait que surprendre l'highlander. Son corps devint chaud et son cœur se mit à trembler. Elle n'aurait jamais cru que cela pouvait être jouissif de mettre un homme dans un état de faiblesse avec une autre manière que la violence. Elle n'aurait jamais cru que rien qu'en touchant et embrassant le corps d'un homme lui ferait ressentir autant d'émotion et de plaisir. Sa curiosité monta en fusion en même temps que son désir. Elle le déshabilla de sorte à ce qu'il se retrouva enfin nu sous elle puis mordit son cou jusqu'au saignement. Altaïr grogna de douleur puis hoqueta lorsqu'elle lécha sa blessure. Celle ci recula sa tête en passant sa langue sur ses lèvres puis émit un sourire sadique.

Azylis- Suis je donc ta faiblesse Fraser ?

Altaïr- Bien évidemment Azylis Grogna t il les yeux mis clos 

Elle empoigna ces joues d'une main puis planta ses griffes dans sa barbe de trois jours tout en s'approchant de ces lèvres.

Azylis- Promet moi de ne jamais aller voir ailleurs est ce clair ? Tu m'appartiens. Tu es a moi.

Altaïr- Lâche un rire rauque Je peux en dire autant pour toi diablesse.

Azylis- J'ai eu beaucoup de mal à t'accepter alors penses tu vraiment que je suis capable de mettre en pratique mon savoir sur un autre homme que toi abruti ? Plisse des yeux

Altaïr- Seigneur Azylis qu'est ce que tu es provocante, embrasse moi pour qu'on puissent sceller notre promesse !

Elle s'empara de sa bouche en un baiser profond tandis que des frissons lui parcouraient le corps. Il avait trop envie d'elle et attendait le moment crucial qu'elle puisse enfin le monter. Ce n'était pas une humaine, c'était le diable en personne. Elle était la première femme à l'avoir mis dans un état troublant, il était habitué à ce que se soit lui qui tirait plaisir, il etait habitué à ce que se soit lui qui dominait, il était habitué à ce que se soit lui qui mettait les femmes en extase, les voir cambrées, haletante, et prête à s'offrir à lui mais n'aurait jamais cru qu'un jour se cela changera. Il mordit sa lèvre inférieur tandis qu'Azylis mit en pratique ce que Bertha et Anna lui ont appris. Une émotion enflammé lui traversa la poitrine quand la petite guerrière porta son regard vers la virilité imposante de ce dernier. D'un air fasciné, elle toucha du bout des doigts le gland ce qui arracha un grognement rauque a son mari. Tremblant, il serra des dents puis haleta.