Chapitre 25.

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Elle se trouvait assise devant sa coiffeuse entrain de brosser ses long cheveux blanc et lisse, habillée seulement d’une nuisette blanche qui lui arrivait à mi cuisse avec des bretelles fines et de la dentelle sur le décolleté. Altaïr retira ses bottes avec précipitation, déboutonna son pantalon puis s’approcha à grand pas vers Azylis afin de se placer derrière elle. La jeune femme émit un léger sourire ténébreux, posa sa brosse puis se mit debout sur la chaise pour prendre de la hauteur sur son mari. Ce dernier posa ses mains sur ces hanches puis enfouit son nez entre sa poitrine sans la quitter des yeux brûlant de désir. Azylis entoura ses bras autour de la nuque d’Altaïr puis fit de même avec ses jambes autour de sa taille.

Altaïr- Je prie le seigneur qu’on ne viennent pas nous interrompre la prochaine fois.

Azylis- Si c’est le cas, on ignorera puis c’est tout.

Altaïr lâcha un rire rauque tout en marchant vers le lit. Celui ci allongea doucement sa femme sur le matelas puis se mit sur elle sans y mettre tout son poids. Elle ferma les yeux quand leurs bouches se rencontrèrent et pendant un très long moment, Altaïr se contenta de l’embrasser sans cesse, comme ci il avait envie de ne jamais s’arrêter. Il enfouit ses doigts dans ces longs cheveux doux et soutint sa tête alors que leurs langues se mêlaient avec passion.

Altaïr- Oh Azylis.. je t’aime tellement que j’en deviens fou…

Le souffle court, Azylis s’abandonna aux baisers d’Altaïr partout sur son visage, sa poitrine et ses jambes. Il l’attrapa par la taille puis le tira vers lui afin de la ré embrasser à nouveau tout en se frottant contre la jeune guerrière. Azylis émit un léger hoquet lorsqu’elle sentit la virilité de son mari durcir contre son intimité. Le grognement d’Altaïr se mêla à ses soupires tandis que ces baisers devenaient de plus en plus vorace, ce dernier dévorait la bouche de sa belle tout en pressant son corps contre le sien. Petit à petit il se débarrassa de la léger robe d’Azylis puis la jeta de l’autre côté de sa chambre avant de bloquer son regard fasciné sur sa poitrine généreuse.

Altaïr- Seigneur j’ignore ce que j’ai fais de bien pour être autant gâté de la sorte Souffla t il en posant sa main sur sa poitrine Elle sont si ferme, si belle et...énorme…Comment tu arrivais à gérer tes combats avec une poitrine pareille ?

Azylis- C’est un cadeau du ciel abruti ! Rugit t elle en lui donnant un coup de poing au visage

Une fois de plus, elle se fit mal à la main tandis qu’Altaïr rit avant d’embrasser ces phalanges d’un air affectueux. Celle ci lui jeta un regard à la fois vexé et fâché, encadra son visage avec ses mains puis l’embrassa à plein bouche avant de pénétrer sa langue pour aller chercher la sienne et la mordre. Ce dernier gémit en tentant de reculer sa tête mais il eut très mal pour faire le moindre mouvement alors pour se libérer, il dut pincer l’un de ces tétons. Azylis sentit un électrochoc lorsque son mari se mit à masser sa poitrine. Ce dernier émit un rire à la fois sadique et rauque puis lécha, suça et mordilla ces seins en grognant de satisfaction.

Haletante, elle rejeta sa tête en arrière et se cambra en empoignant les cheveux du chevalier. C’était la première qu’Azylis se faisait toucher de la sorte par un homme. Elle n’aurait jamais cru que cela pouvait être aussi bon, passionnant et palpitant d’avoir un contact aussi intime avec son mari. Il la rendait tellement faible et molle qu’elle n’avait même pas la force d’être autant active que ce dernier.

Altaïr- Tu as eu ton moment de domination la dernière fois Lèche son ventre C’est à mon tour maintenant Murmura t il d’une voix rauque

Tome 1: La guerrière indomptable.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant