Tome 1: La guerrière indomptable.

Chapitre 7.

Azylis se trouvait dans les écuries du château royal entrain de nourrir Achille avec des pommes avant de rentrer chez elle. Faire équipe avec ce coureur de jupon ? Et puis quoi encore, pesta t elle au fond d'elle. Pourquoi le roi tenait-il autant qu'elle s'associe avec ce chevalier. Elle ne le connaissait pas et n'avait guère envie de lui prêtait main forte. Depuis très jeune elle avait toujours agit seul, ce n'était pas un prétentieux comme ce type qui allait tout changer. Elle grogna en crispant son visage de colère puis sortit Achille de l'écurie. Le roi était un homme sadique maintenant qu'elle y pensait. Pourquoi avait il pris cette décision aussi insensé, n'avait elle pas prêter serment d'agir dans l'ombre pour servir la lumière ? Elle était censée agir seul pas en groupe. Elle détestait de plus en plus Fraser même si il n'y était pour rien. Pour l'instant c'était la dernière personne qu'elle aimerait voir.

Mais malheureusement, la jeune femme trouva justement la personne concerné devant elle, adossé contre le mur de l'écurie, arborant son plus beau sourire malicieux. En le dévisageant de la sorte, elle n'avait qu'une seule envie;  lui infliger un crochet bien placé mais se refréna. Cette dernière l'ignora en passant devant lui avec son cheval mais il l'en empêcha en s'interposant devant elle.

Altaïr- Je pense qu'une conversation s'impose mademoiselle MacCraig.

Elle lui jeta un regard furieux qui fit un bond au cœur d'Altaïr puis détourna son regard ailleurs. Personne ne te regarde, profites en, élimine ce mal être pour ton bien être, sursurra la voix. Azylis souffla profondément tout en serrant les reines avec un de ses mains.

Azylis- Je ne suis pas d'humeur à parler, encore moins avec vous, éloignez vous.

Altaïr- N'êtes vous pas contente de vous associer avec moi pour traquer le tueur ?

Azylis- Monsieur Fraser, sachez que je suis une personne qui agit toujours seule et ce n'est pas un homme tel que vous qui changera quoi que ce soit, je trouverai le tueur sans vous, votre collaboration je peux très bien m'en passer Souffla t elle d'un regard glacial Maintenant ôtez vous de mon chemin, votre haleine fait ressortir mon mauvais côté Sourire diabolique et ce n'est sera pas joli à voir alors soyez gentille et ne dites rien au roi.

Lorsqu'elle fut sur le point de monter sur Achille, Altaïr l'attrapa par le bras et la plaqua contre le mur afin de poser sa main à coté de son visage tandis qu'elle fixait le chevalier d'un air impassible et étonnamment calme. Ce dernier lâcha un rire nerveux en regardant ailleurs avant de porter un regard sérieux vers Azylis.

Altaïr- Je pense vous n'avez pas idée avec qui vous parlez miss MacCraig mais comme le roi m'a conseillé je vais prendre mon mal en patience et ne pas tenter une folie qui pourrez me le faire regretter Souffla t il d'un ton sec le roi a ordonné qu'on fassent équipe et je tiens à exécuter son ordre que vous le vouliez ou non, si vous pensez que je suis effrayé par votre personne tout comme ces gens faibles qui vous évitent comme la mort, vous vous trompez ma jolie, je suis un homme très perspicace et je ne lâcherai pas l'affaire tant que nous nous avancerons pas ensemble sur cette affaire Dit il en appuyant bien sur le mot « ensemble »

Ils se fixèrent dans le blanc des yeux d'un air froid à en donner des frissons durant un moment avant qu'Azylis poussa Altaïr par l'épaule d'un geste sec et monta sur Achille. Quel être méprisable, pour qui se prend il sérieusement ? Pensa-t-elle, les muscles contractés et le visage crispé de colère.

Azylis- J'ai mon propre rythme sur les missions qu'on me soumettes Fronce des sourcils Ralentissez moi et je vous castre est ce clair ?

Altaïr- J'ai peur Mentit il avec un sourire ténébreux mais je saurais m'adapter si c'est ça qui vous inquiète mademoiselle MacCraig.