Sa tête était lourde. Il faisait froid et il entendait des gens murmurer autour de lui. Avec effort, il parvint à ouvrir les yeux. La lumière lui agressa les pupilles et il ne parvint pas à savoir où il était. Mais il comprit rapidement pourquoi il avait si froid, il été nus et allongé à même le sol. Son étonnement passa devint de l'inquiétude quand il se rendit compte qu'il n'était pas le seul dans ce cas . Autour de lui, ils devaient être une dizaine dans le même état, certains étaient réveillé, d'autre complètement endormi.
Il tenta de ce remémorer ces derniers souvenirs. Le roux était rentré chez lui après son travail. Comme tout les jours il était exténué, il avait enchaîné 16 heures de travail consécutif et n'avait qu'une seul envie, retrouver son lit chéri. Il avait comme d'habitude pausé ces chaussures dans l'entrée avant de traverser le salon ou se trouvait aujourd'hui sa mère, affalée dans le canapé entrain de fumer. Étonnamment cette fois ci elle le regarda avec un sourire en coin et lui lança un petit « Bonjour mon chéri, comment vas-tu ? ». L'ado resta interdit devant cette question. Cela faisait peut être 3 jours qu'elle ne lui avait pas adressé la parole et au moins 2 semaines que ce n'était pas pour l'insulter ou lui demander du fric. Si il avais été plus en forme peut être qu'il se serait douté qu'elle avait encore manigancé quelque chose mais étant debout depuis si longtemps il avait mis ça sur le dos de l'une de ces lubies passagères et avait rejoint prestement sa chambre sans même lui répondre. Mais, maintenant il s'en souvenais, 2 hommes l'y attendaient et il n'eut pas le temps de s'enfuir que l'un des intrus le plaqua contre le mur pendant que le second lui mis un chiffon à l'odeur étrange contre le nez et la bouche. Il tenta de ne pas respirer puis de ne pas sombrer mais malgré tous ces efforts, il s'effondra rapidement. Cette salope était donc certainement à l'origine de son enlèvement.
Plusieurs gardes rodaient dans la pièce et lorsque l'un d'eux remarqua que Mo était réveillé, il se dirigea tout de suite vers lui. Arrivé à son niveau, il s'accroupit et prit le visage du jeune toujours nu et allongé face au sol dans l'une de ces large main.
« - Alors la belle au bois dormant, on a fait un bon somme ?
- va te faire foutre connard, répondit du tac au tac le roux »
La sentence de son ravisseur pour cette affront ne se fit pas attendre. L'homme pris sa victime par le cou et commença à le soulever ainsi. Mo, toujours ensuqué par ce que lui avait fait respiré ces ravisseurs, ne parvint pas à s'appuyer correctement sur ces jambes et ne pus que saisir de ces deux mains le bras de l'homme pour tenté de diminuer la pression sur son cou. Le gardien l'avais presque complètement relevé quand il rapprocha dangereusement son visage de celui du jeune qui tentait de garder un air en colère sur son visage, bien qu'il était intérieurement mort de peur.
« - Si je veut t'appeler princesse, belle au bois dormant, salope, chienne ou vide couille je le fait, tu comprend ? Lui demanda le molosse avec un sourire pervers collé au le visage. Ici tu n'est rien de plus qu'une marchandise qui vas bientôt être vendu alors tu ferme ta gueule, sinon je vais m'assurer que ton court séjour ici soit le pire possible, c'est clair ? »
Et là ou il attendait que le jeune réagisse comme tout les autres le faisaient, c'est à dire ce la jouer profil bas et acquiescer, il reçu à la place un crachat en pleine figure suivi d'un faible mais audible « vas te faire foutre connard ». Instantanément il resserra sa prise sur le cou de sa victime, essuya son visage et là ces traits passèrent de pervers à carrément carnassier, avec ces yeux presque exorbité et un large sourire qui dévoilait toutes ces dents. Mo continuait tant bien que mal à soutenir son regard malgré le fait qu'il n'arrivait presque plus à respirer et que sa gorge était littéralement en feu quand il reçu un coup de genoux dans le ventre puis fut ensuite projeté avec force par terre. Son abdomen le faisait atrocement souffrir et ces poumon, qui recevais enfin cet air salvateur, le faisait paradoxalement atrocement souffrir. Toujours haletant, il ramena instinctivement ces jambes vers son ventre et protégea sa tête de ces avant-bras, persuadé que d'autres coups allaient arriver quand il entendit un second garde foncer sur eux et empêcher son collègue d'asséner les coups qu'il avais prévu.
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Don't close your heart
FanfictionLe bonheur. Mo Guan Shan avait connu ça pendant quelques années, dans son enfance quand il était avec ses trois amis mais depuis son déménagent et son entré au lycée, sa vie n'avait cessé de se transformer pour devenir petit à petit un enfer. Mais...